Marcher en forêt,
Pas après pas, sentir l’air frais sur mon visage.
Plonger mes mains au fond de mes poches et respirer.
Je me suis assise un instant…
A la recherche du croque-mitaine, des débordements de sentiments et de mon âme d’enfant.
C’est l’angoisse qui me coupe de ces sens
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