Magazine Journal intime

11/01/2018 : Evidemment

Publié le 11 janvier 2018 par Anaïs Valente

france gall chat.jpg

Ce matin j’ai regardé, dans mon lit, la rediffusion de l’émission pour les 20 ans du décès de Michel Berger, avec France Gall et plein plein de chanteurs qui venaient lui rendre hommage. Emouvant, encore plus en sachant que France l’a rejoint, où qu’il soit. J’avais les larmes aux yeux, mais pas moyen de pleurer à gros sanglots, j’ai toujours une boule dans la gorge.

 Cette chanson fut la plus émouvante of course, chanson écrite par Berger suite au décès de Balavoine, j’avais 12-13 ans, la boule dans ma gorge était énorme :

Y a comme un goût amer en nous
Comme un goût de poussière dans tout
Et la colère qui nous suit partout

Y a des silences qui disent beaucoup
Plus que tous les mots qu'on avoue
Et toutes ces questions qui ne tiennent pas debout

Évidemment
Évidemment
On danse encore
Sur les accords
Qu'on aimait tant

Évidemment
Évidemment
On rit encore
Pour les bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant

Et ces batailles dont on se fout
C'est comme une fatigue, un dégoût
A quoi ça sert de courir partout
On garde cette blessure en nous
Comme une éclaboussure de boue
Qui n'change rien, non, qui change tout

Évidemment
Évidemment
On danse encore
Sur les accords
Qu'on aimait tant

Évidemment
Évidemment
On rit encore
Pour des bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant

Évidemment
Évidemment
On danse encore
Sur les accords
Qu'on aimait tant

Évidemment
Évidemment
On rit encore
Pour des bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant
Non non
Pas comme avant
Pas comme avant

france gall chat.jpg

Ce matin j’ai regardé, dans mon lit, la rediffusion de l’émission pour les 20 ans du décès de Michel Berger, avec France Gall et plein plein de chanteurs qui venaient lui rendre hommage. Emouvant, encore plus en sachant que France l’a rejoint, où qu’il soit. J’avais les larmes aux yeux, mais pas moyen de pleurer à gros sanglots, j’ai toujours une boule dans la gorge.

 Cette chanson fut la plus émouvante of course, chanson écrite par Berger suite au décès de Balavoine, j’avais 12-13 ans, la boule dans ma gorge était énorme :

Y a comme un goût amer en nous
Comme un goût de poussière dans tout
Et la colère qui nous suit partout

Y a des silences qui disent beaucoup
Plus que tous les mots qu'on avoue
Et toutes ces questions qui ne tiennent pas debout

Évidemment
Évidemment
On danse encore
Sur les accords
Qu'on aimait tant

Évidemment
Évidemment
On rit encore
Pour les bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant

Et ces batailles dont on se fout
C'est comme une fatigue, un dégoût
A quoi ça sert de courir partout
On garde cette blessure en nous
Comme une éclaboussure de boue
Qui n'change rien, non, qui change tout

Évidemment
Évidemment
On danse encore
Sur les accords
Qu'on aimait tant

Évidemment
Évidemment
On rit encore
Pour des bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant

Évidemment
Évidemment
On danse encore
Sur les accords
Qu'on aimait tant

Évidemment
Évidemment
On rit encore
Pour des bêtises
Comme des enfants
Mais pas comme avant
Non non
Pas comme avant
Pas comme avant


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