Et ce n’est pas une expression, je l’ai vraiment cru. Depuis mon accident, mais ça ne m’étais plus arrivé récemment, quand je rigole trop, je tousse, j’étouffe et je ne sais plus respirer. Et j’angoisse, je m’énerve, et bien sûr ça empire. Ça ne m’est jamais arrivé qu’en compagnie, et mon beau-frère m’a calmée, fait respirer doucement, et c’est passé.
Mais hier, j’étais seule chez moi, tranquille, sur mon divan, je venais de manger mes tartines. Et paf j’avale de travers. Je me dis que comme d’hab, je vais tousser un peu puis que ça va passer. Ben nenni, pas moyen d’arrêter de tousser, je fais partir les chats qui font dodo sur moi pour me mettre droite, je tousse tant que mes yeux pleurent, je dois être rouge tant j’ai chaud, et je tousse et j’ai du mal à respirer avec tout ça. Et inutile d’appeler Télépronam, d’ici à ce qu’ils envoient quelqu’un en m’entendant agoniser, il sera bien trop tard. J’ai pensé à ce que mon beau-frère me disait quand j’avais ça : « respire doucement doucement, sois zen ».
Je panique.
Il a fallu un temps fou pour que ça passe (bon dans ma tête, ça semblait long mais va savoir), et petit à petit j’ai moins toussé, mieux respiré, et arrêté de cracher, ouf. Je suis restée une demi heure dans mon divan avant de monter au lit, histoire d’être calmée, passque keske j’ai eu peur, cette réaction physique est due à l’accident, je n’avais pas ça avant.
Mais le point positif est que je n’ai pas fait de crise d’asthme, je n’ai rien dû prendre après, j’ai comme d’hab depuis deux jours mis des huiles essentielles d’estragon dans mon diffuseur (keske ça sent fort).
Et ce matin, après la kiné, je suis allée mettre un bocal en verre dans la bulle et profiter un peu du soleil printanier dans le parc. Car yessssssssssssss, j’ai cru mourir (le 11 mars en plus, le jour du birthday de mon beau-frère) mais je suis en vie.
Et ce n’est pas une expression, je l’ai vraiment cru. Depuis mon accident, mais ça ne m’étais plus arrivé récemment, quand je rigole trop, je tousse, j’étouffe et je ne sais plus respirer. Et j’angoisse, je m’énerve, et bien sûr ça empire. Ça ne m’est jamais arrivé qu’en compagnie, et mon beau-frère m’a calmée, fait respirer doucement, et c’est passé.
Mais hier, j’étais seule chez moi, tranquille, sur mon divan, je venais de manger mes tartines. Et paf j’avale de travers. Je me dis que comme d’hab, je vais tousser un peu puis que ça va passer. Ben nenni, pas moyen d’arrêter de tousser, je fais partir les chats qui font dodo sur moi pour me mettre droite, je tousse tant que mes yeux pleurent, je dois être rouge tant j’ai chaud, et je tousse et j’ai du mal à respirer avec tout ça. Et inutile d’appeler Télépronam, d’ici à ce qu’ils envoient quelqu’un en m’entendant agoniser, il sera bien trop tard. J’ai pensé à ce que mon beau-frère me disait quand j’avais ça : « respire doucement doucement, sois zen ».
Je panique.
Il a fallu un temps fou pour que ça passe (bon dans ma tête, ça semblait long mais va savoir), et petit à petit j’ai moins toussé, mieux respiré, et arrêté de cracher, ouf. Je suis restée une demi heure dans mon divan avant de monter au lit, histoire d’être calmée, passque keske j’ai eu peur, cette réaction physique est due à l’accident, je n’avais pas ça avant.
Mais le point positif est que je n’ai pas fait de crise d’asthme, je n’ai rien dû prendre après, j’ai comme d’hab depuis deux jours mis des huiles essentielles d’estragon dans mon diffuseur (keske ça sent fort).
Et ce matin, après la kiné, je suis allée mettre un bocal en verre dans la bulle et profiter un peu du soleil printanier dans le parc. Car yessssssssssssss, j’ai cru mourir (le 11 mars en plus, le jour du birthday de mon beau-frère) mais je suis en vie.