Allium ursinum

Publié le 28 mars 2018 par Sambuca

L’ail des ours n’avait rien à craindre de cet hiver exceptionnel. Le froid, fut-il venu de Sibérie, ne pouvait lui faire peur, il peut supporter jusqu’à -34°. Et la pluie presque quotidienne faisait son bonheur, il aime l’humidité.

Entre le grand Camellia ‘Contessa Lavinia Maggi’ qui commence à fleurir et la petite mare, on voit à gauche le beau tapis d’Allium ursinum et à droite une colonie de ficaires :

La ficaire :

C’est le moment de le cueillir pour la cuisine, juste avant la floraison. Après les feuilles sont moins fraiches.

L’ail des ours n’avait rien à craindre de cet hiver exceptionnel. Le froid, fut-il venu de Sibérie, ne pouvait lui faire peur, il peut supporter jusqu’à -34°. Et la pluie presque quotidienne faisait son bonheur, il aime l’humidité.

Entre le grand Camellia ‘Contessa Lavinia Maggi’ qui commence à fleurir et la petite mare, on voit à gauche le beau tapis d’Allium ursinum et à droite une colonie de ficaires :

La ficaire :

C’est le moment de le cueillir pour la cuisine, juste avant la floraison. Après les feuilles sont moins fraiches.