Et puis, parfois, un auteur réussit à condenser une fresque sur 200 pages, et c’est la grâce.
Il y avait La Condition pavillonnaire, de Sophie Divry, par exemple. C’était en 2014. Et maintenant, Des fleurs dans le vent, de Sonia Ristic.
Ce n’est pas le premier roman que je lis d’elle. Il y a quelques mois, j’ai retrouvé le brouillon d’une note que je n’ai finalement jamais publiée ici sur son premier roman, La belle affaire (quelle couverture, quand…