Visité, ce Week-End une FONDATION parisienne protectrice des ARTS dont les salles vides n’étaient parsemées que de paillettes argentées et d’un mur animé par une vidéo amateur tournée en région bordelaise sur une plage décorée d’un bunker tagué. L’ensemble baptisé THE SILENCE OF THE SEA ( en UK dans le texte) répond au objectifs de « produire, expérimenter et exposer des œuvres nouvelles » afin de mieux questionner le public amateur d’ART CONTEMPORAIN. Qu’une FONDATION soit une entité légale qui agit comme une société offshore n’est pas en soi illégal. Mais n’est-ce pas légèrement immoral de facturer une entrée 5 euros pour faire partager au bobo de service non pas LE SILENCE DE LA MER mais le vide de l’esprit ? JC