Ceux qui suivent mon blog le savent. Mon terrain est très pauvre, mais cela peut s’amender, mais il est surtout très sec, ne garde même pas l’eau d’arrosage, car c’est du sable pur sur plusieurs mètres de profondeur. Si les Camellia savent se contenter de mes arrosages et ont presque tous survécu, c’est beaucoup plus difficile pour les Rhododendron et je les ai presque tous perdus en été. Pourtant certains, les durs à cuire, me font le plaisir de survivre et de m’offrir leurs superbes floraisons. Ces super résistants, des faciles à vivre, sont le beau blanc que je vous ai montré récemment, Cunningham’s White, car c’était le premier fleuri et 5 Rhododendron catawbiense qui sont maintenant en fleurs.
Sur cette dernière photo on voit tout en haut à gauche le feuillage de Actinidia melanandra qui le surplombe avec une belle promesse de fleurs :
Le pistil est plus long que les étamines :
Ceux qui suivent mon blog le savent. Mon terrain est très pauvre, mais cela peut s’amender, mais il est surtout très sec, ne garde même pas l’eau d’arrosage, car c’est du sable pur sur plusieurs mètres de profondeur. Si les Camellia savent se contenter de mes arrosages et ont presque tous survécu, c’est beaucoup plus difficile pour les Rhododendron et je les ai presque tous perdus en été. Pourtant certains, les durs à cuire, me font le plaisir de survivre et de m’offrir leurs superbes floraisons. Ces super résistants, des faciles à vivre, sont le beau blanc que je vous ai montré récemment, Cunningham’s White, car c’était le premier fleuri et 5 Rhododendron catawbiense qui sont maintenant en fleurs.
Sur cette dernière photo on voit tout en haut à gauche le feuillage de Actinidia melanandra qui le surplombe avec une belle promesse de fleurs :
Le pistil est plus long que les étamines :