J’ai cru que je l’avais perdue. Alors que la lunaire bisannuelle était en fleurs, je ne voyais plus ma lunaire vivace.
En fait, elle garde son feuillage au moins jusqu’en décembre, comme pour accompagner ses siliques, puis elle le perd. Ne pas la voir en avril était tout de même inquiétant. Mais elle a repris d’un coup et, en quelques jours seulement, elle a refait feuillage et fleurs. J’ai repris mes anciennes photos. Tout est normal, L. annua commence à fleurir en avril et L. rediviva en mai.
On voit derrière des fleurs de la bisannuelle, c’est un semis spontané récent.
Elle repose sur son tapis habituel d’aspérule accompagné d’un envahisseur plus récent, le lamier.
Contrairement à Lunaria annua, Lunaria rediviva n’est pas spontanée dans la région, je l’ai plantée. Plus rustique, jusqu’à -23°, elle aime les zones plus nordiques ou les montagnes. Et il ne faut surtout pas oublier de l’arroser.
J’ai cru que je l’avais perdue. Alors que la lunaire bisannuelle était en fleurs, je ne voyais plus ma lunaire vivace.
En fait, elle garde son feuillage au moins jusqu’en décembre, comme pour accompagner ses siliques, puis elle le perd. Ne pas la voir en avril était tout de même inquiétant. Mais elle a repris d’un coup et, en quelques jours seulement, elle a refait feuillage et fleurs. J’ai repris mes anciennes photos. Tout est normal, L. annua commence à fleurir en avril et L. rediviva en mai.
On voit derrière des fleurs de la bisannuelle, c’est un semis spontané récent.
Elle repose sur son tapis habituel d’aspérule accompagné d’un envahisseur plus récent, le lamier.
Contrairement à Lunaria annua, Lunaria rediviva n’est pas spontanée dans la région, je l’ai plantée. Plus rustique, jusqu’à -23°, elle aime les zones plus nordiques ou les montagnes. Et il ne faut surtout pas oublier de l’arroser.