Mes Actinidia kolomikta sont en fleurs. On les dit souvent peu rustiques, réservés à la zone 9. Ils ont pourtant résisté aux températures exceptionnelles cet hiver de -10°. Il ne leur manque pas une branche, pas une feuille, et ils fleurissent. Ils sont cependant en retard, ils fleurissent habituellement en avril. Mais j’ai peut-être tardé à voir les fleurs car elles sont minuscules et cachées par le feuillage.
Ils sont dioïques comme il se doit pour un Actinidia. Mais ils sont vendus le plus souvent sans précision du sexe. C’est parce que seul le mâle est vendu pour des raisons essentiellement décoratives à cause de son feuillage panaché d’argent et de rose au printemps. En amoureuse des plantes, j’ai fini par réagir, au bout de plusieurs années il est vrai, et j’ai fini par apprendre que la femelle donne des petits fruits comestibles. Je lui ai donc acheté une compagne, pas facile à trouver.
Le mâle :
L’ovaire est présent mais tellement atrophique qu’on ne voit que les étamines.
La femelle :
Les étamines semblent bien formées mais elles sont stériles et situées à la base de l’ovaire qui les dépasse. Le gros ovaire est surmonté de nombreux pistils blancs.
Les fruits photographiés plus tard une autre année :
Remarque sur la rusticité : Beaucoup de pépiniéristes mal renseignés le donnent rustique seulement jusqu'à -7°. Les plus sérieux lui autorisent jusqu'à la zone 4. Pas étonnant puisqu'on l'appelle kiwi arctique.
Mes Actinidia kolomikta sont en fleurs. On les dit souvent peu rustiques, réservés à la zone 9. Ils ont pourtant résisté aux températures exceptionnelles cet hiver de -10°. Il ne leur manque pas une branche, pas une feuille, et ils fleurissent. Ils sont cependant en retard, ils fleurissent habituellement en avril. Mais j’ai peut-être tardé à voir les fleurs car elles sont minuscules et cachées par le feuillage.
Ils sont dioïques comme il se doit pour un Actinidia. Mais ils sont vendus le plus souvent sans précision du sexe. C’est parce que seul le mâle est vendu pour des raisons essentiellement décoratives à cause de son feuillage panaché d’argent et de rose au printemps. En amoureuse des plantes, j’ai fini par réagir, au bout de plusieurs années il est vrai, et j’ai fini par apprendre que la femelle donne des petits fruits comestibles. Je lui ai donc acheté une compagne, pas facile à trouver.
Le mâle :
L’ovaire est présent mais tellement atrophique qu’on ne voit que les étamines.
La femelle :
Les étamines semblent bien formées mais elles sont stériles et situées à la base de l’ovaire qui les dépasse. Le gros ovaire est surmonté de nombreux pistils blancs.
Les fruits photographiés plus tard une autre année :
Remarque sur la rusticité : Beaucoup de pépiniéristes mal renseignés le donnent rustique seulement jusqu'à -7°. Les plus sérieux lui autorisent jusqu'à la zone 4. Pas étonnant puisqu'on l'appelle kiwi arctique.