Le seul argument qui reste aux politiques c'est de brandir le spectre du nationalisme...
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Ce sont les principaux dirigeants de l'Union, dont Emmanuel Macron et Angela Merkel, qui vendent l'Europe à la Chine, au Maghreb, à l'Iran, à la Turquie, aux royaumes de la Péninsule arabique et autres hiérocraties du Golfe Persique en commerçant avec des États qui méconnaissent la liberté d'expression, sinon les libertés tout court.
Par Daniel Desurvire
Préserver les standards démocratiques, la qualité et la pérennité des institutions sociales, ainsi que le potentiel des actifs des emplois demeure une gageure face aux déferlantes islamiques qui n'ont rien de commun avec l'immigration intra-européenne ou asiatique d'antan, lesquelles en leur temps apportèrent à la France les richesses de la diversité, du labeur, du savoir et du talent.
Or, l'Islam des fondamentalistes et des activistes que leurs coreligionnaires abritent, loin de s'incorporer à la population nationale et d'apporter un retour d'investissement, se ghettoïse et insupporte les ressortissants nationaux de leur pays d'accueil, nonobstant l'assistanat particulièrement coûteux qui découle de cette marginalisation, que d'aucuns voudraient faire passer pour de l'exclusion. À cela s'ajoutent les replis communautaires, les émeutes et le vandalisme dans les zones péri-urbaines, de trafics en tous genres, d'imposition de la shari'a au lieu et place des institutions démocratiques, autrement dit de violence séditieuses et d'attentats terroristes contre la Nation.
De cet état des lieux d'une France souillée, incendiée et taguée, aucun mot n'a transpiré de la logorrhée du Président Macron dans son plaidoyer pour l'Europe, après qu'il lui fut décerné la prestigieuse distinction européenne ; le prix Charlemagne à Aix-La Chapelle ; l'ancienne capitale du Royaume carolingien. Ô paradoxe, ce sont précisément les principaux dirigeants de l'Union, dont Emmanuel Macron et Angela Merkel, qui vendent l'Europe à la Chine, au Maghreb, à l'Iran, à la Turquie, aux royaumes de la Péninsule arabique et autres hiérocraties du Golfe Persique en commerçant avec des États qui méconnaissent la liberté d'expression, sinon les libertés tout court. Ces mêmes dictatures prolétariennes sur fonds rouge, ou théocraties des croissants lunaires, profitent désormais de nos capitaux, de nos usines et des emplois spoliés à leurs ressortissants occidentaux !
Seul argument fort opposé par les multiculturalistes et les ultra-libéraux contre la position citoyenne des patriotes qui veulent stopper l'invasion migratoire en France, raccommoder le budget national et colmater la fuite des emplois au rythme effréné des délocalisations, c'est de brandir le spectre du nationalisme qui conduisit nombre de pays et de blocs alliés par le passé, à se faire la guerre au nom de l'identité et de l'indépendance.
Mais s'agissant de ces pourfendeurs de la Nation, observons plutôt une appréhension décalée de la réalité du terrain ; des motifs plus dogmatiques que de promesses d'adhésion citoyenne, puis de l'angle d'approche des migrations actuelles en Europe qui ne font qu'affecter le pouvoir d'achat, réduire le PIB et augmenter le chômage. Cessons donc de rêver aux vertus du melting-pot, diluons les ethnies et les croyances dans le pays au rythme soft de migrations choisies susceptibles de s'incorporer et pas davantage que la France ne peut en supporter !
Quant à l'alibi de l'humanitarisme ou de la philanthropie envers les plus déshérités de la planète, il ne saurait tenir sans spolier de force les contribuables et les cotisants, autrement dit une charité dispendieuse et irresponsable de nos élus qui la dispense avec l'argent de leurs administrés !
De sorte que l'excuse politique et morale inappropriée aux réalités, qui voudrait éloigner les vieux démons du protectionnisme et de la xénophobie en plaidant pour une ouverture élargie à la concurrence et à l'immigration au nom d'un respectable libéralisme, ne fait qu'affaiblir l'économie face aux pratiques de dumping de l'empire du Milieu, du coût ridicule d'une main-d'œuvre payée au grain de riz ou de semoule, puis des charges fiscales et parafiscales infinitésimales des pays qui avalent nos industries et nous affectent de la misère du tiers-monde ; dont une grande part s'affame et s'entretue au cri d'" Allahu akbar ".
Quant à l'accueil des migrants, il ne s'agit nullement pour les citoyens européens de rompre avec la tradition d'accueil des réfugiés, mais de stopper une invasion qui ne profite quasiment qu'aux seuls musulmans ; une confession qui de surcroît apporte avec elle une incapacité d'intégration dans une large proportion, une misère endémique et une inculture qui explique davantage une motivation économique, sanitaire ou environnementale, plus qu'un motif politique à leur exile. Il ne s'agit donc pas d'un repliement sur soi, d'un sentiment d'intolérance envers l'étranger ni d'un mouvement de rejet d'une ethnie ou d'une religion, mais d'un constat d'échec des gouvernances nationales et européennes successives, lesquelles persistent à ne rien voir ni entendre des méfaits de l'intégrisme qui caractérise ce culte. Pour s'en dédouaner, ces énarques associent les défenseurs des traditions du terroir, de la culture et du patrimoine historiques, à de supposés nationalistes extrémistes taxés des épithètes infamantes de " populiste "voire de " fasciste ".
Ce réflexe légitime d'auto-défense à connotation patriotique, que d'inconditionnels islamophiles voudraient agréger à de l'intolérance, n'est en fait qu'une réponse des citoyens confrontés quotidiennement à cette débauche d'insécurité et de gabegie sociale. En réplique, l'exécutif diabolise ses propres citoyens victimes et rebelles à son incurie, cela pour conjurer cette vérité incontournable dans vingt-sept départements et des milliers de communes sur le territoire ; certes inadéquate à sa politique d'immigration. De fait, jamais l'oligarchie sociale-démocrate au pouvoir, depuis les mandatures de François Mitterrand, n'a proposé d'user de l'arme fatale d'une démocratie directe - à l'opposé de la démocratie représentative, - en l'occurrence le référendum, pour demander l'avis des citoyens-électeurs sur les questions d'accueil massif des réfugiés musulmans issus du tiers-monde. Seul à ce jour, la Grande-Bretagne eut ce courage, ce qui - pour ce motif directeur ne l'oublions pas - conduisit naturellement ce membre de la CE à en sortir.
Mais au-delà du Brexit, c'est désormais la Pologne, l'Autriche, l'Italie, la Catalogne, la Tchéquie, la Grèce, les membres des pays Baltes et des Balkans, la Bulgarie et la Roumanie qui tentent de sortir de cette spirale mortifère emmenée par les assauts d'une immigration dévastatrice en termes de sécurité, de démocratie et d'économie sociale. La passoire Schengen qui a déjà fait le plein de réfugiés illégaux, se trouve désormais relayé par l'appel d'air orchestré par les dirigeants franco-allemands, comme si cette invasion de clandestins qui assèche les caisses de la Solidarité et des finances depuis un demi-siècle n'y suffisait pas.
Alors cessons de diaboliser les soi-disant protectionnistes et patriotes attachés à la vieille France, car le repeuplementne se fera pas dans le respect des Droits de l'homme ni dans l'axe de la culture judéo-chrétienne, mais dans l'obscurantisme panislamique d'un grand khalifat annoncé depuis l'hégire. Non, il ne s'agit pas d'un ordre nouveau européen, mais d'une résurgence insidieuse de la " pensée unique "aux antipodes de l'esprit des Lumières. Non décidément, ce prix Charlemagne n'aurait jamais dû être décerné à celui qui[1], dans la trace de ses prédécesseurs socialistes et libéraux, continue à brader la France au profit d'une élite richissime, cupide et corrompue, laquelle érige des paradis fiscaux dans les coffres de sociétés offshore.
Par ailleurs, il s'agit bien d'une imposture, voire une insulte à notre histoire que de remettre cet emblématique symbole fédérant l'Europe (Karlspreis) dans la prestigieuse salle du couronnement, à un dirigeant qui, sans état d'âme, poursuit imperturbablement l'œuvre destructrice de notre civilisation, en laissant se déverser sur cette Europe celle d'un Islam hégémonique et ethnocidaire, tout en vidant la France de ses industries au motif des coûts de production.
Cette hémorragie financière et industrielle, que saigne le sacro-saint libéralisme d'une concurrence affranchie sous le sceau du libre-échange, participe sans doute des profits colossaux des puissants de ce monde, mais n'a certes rien de patriotique pour le peuple qui en pâtit.
[1]Le clone de la social-démocratie conçu à Sciences Po et Plan B des Républicains et des socialistes réunis après le déni des Français le 23 avril 2017. Le peuple abusé aura enfin compris l'enjeu dévastateur de cette conjuration LRPS, mais ne s'attendait certes pas au résultat des tripatouillages machiavéliques des marionnettistes des frères ennemis de gauche à droite dont il fut victime à son insu.
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