Autopsie du culte mahométan

Publié le 12 juillet 2018 par Observatoiredumensonge

Une étude approfondie sur l'Islam et une réponse aux interrogations le concernant.

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Observatoire du MENSONGE

Par Daniel Desurvire

CHAPITRE 1
1°) Exhumation des reliefs délétères du Coran et dissection des comportements catatoniques du Prophète induisant des projections mortifères sur ses panégyristes

Il est vraisemblable que l'Islam, qui est apparu dans une région déshéritée du monde, où des légions de barbares s'entretuaient pour engranger des biens, violer des femmes, garnir des enclos d'esclaves, sinon pour subsister. En l'absence de morale, d'instruction et de vertu, les adulateurs du culte d'Allah ne pouvaient guère s'écarter du comportement béotien de leur cicérone céleste tel qu'il s'inscrivait dans la tradition orale. L'un d'eux voulu surpasser les autres pour s'emparer du pouvoir de subjugation sur les siens. Muhammad, correspond à ce type de comportement de l'époque, ou de chevrier il devînt chef de guerre puis un criminel endurci. L'absence de morale et d'éducation, puisque illettré selon l'aveu même des scribes du Coran, poussa ce farouche et rustre belliciste à revêtir l'identité d'un personnage égal aux prophètes de la Bible pour rehausser son prestige, et apparaître tel un pendant du messie (messager ou augure) aux yeux de ses contemporains guère difficile à berner.
Selon toute vraisemblance, Muhammad disposait autour de lui de différents scribes et doctes comme Ali, Othman, Zaïd, Moawia et autres compagnons de guerre, pour laisser quelques traces écrites de son auguste mémoire et de ses néanmoins lugubres œuvres. Muhammad ne savait vraisemblablement ni lire, ni écrire (in Coran, VII.157 et LXII.2). Dans le Coran, il est qualifié de " ummî ", (illettré) ce qui est relaté dans le verset 47, sourate 29 : " Il y avait un temps (la révélation du Coran), où tu ne récitais aucun livre, où tu n'en aurais écrit aucun de ta main droite (la dextre) ". Mais l'interprétation de cette lecture dérange les islamologues, ainsi l'historien Mohamed Talbi (XXe siècle), lequel tenta d'éloigner la lecture directe du Coran au profit d'un décryptage vectoriel (l'intentionnalité des Écritures).
C'est ainsi que des exégètes musulmans traduisent, selon une tendance apologétique et en diagonal, que le Prophète d'une grande culture aurait été de ceux qui maîtrisaient le mieux la littérature et la poésie en son temps. En l'occurrence, même ce qui est écrit de façon évidente, peut être inversé par la pensée de ceux qui n'en veule pas. Cette bibliographie ajustée de façon bien malhabile à l'histoire sainte des " gens du livre ", deviendra le Coran, auquel les contemporains de Muhammad y ajoutèrent des inscriptions supposées sceller ces annales divines pour la postérité (la sunnah), mais avec des témoignages hadîthiques plutôt fragmentaires, réputés authentiques ou non pour mieux servir des interprétations aux strophes redondantes, sans liens ni ordre chronologique et discordantes. Par analogie avec la Bible et les apocryphes : des sourates sont dites abrogées. Mais ô paradoxe, ceux-là apparaissent en clair dans le Coran avec les sourates abrogeantes, sans même avoir effacé les premières !
Le dernier-né des cultes monothéistes, une branche notoirement viciée des religions d'Abraham, aura probablement été l'ambition de quelques-uns à vouloir élever un homme à l'image des grands prédicateurs comme Jésus, Bouddha ou autres sages tantriques. Or Muhammad était inculte et violent de son état. Pour ce faire, les pères de cette confession, fraichement sortie du chapeau, s'employèrent à édifier leurs propres tables de loi pour faire autant que leurs prédécesseurs, mais les avilir pour ériger leur dieu en despote incontestable et obligatoire, sorte de seigneur absolu sur les autres divinités que ce logos prétend écraser. Il apparaît que ce prophète, frustré par l'érudition de ses rivaux juifs et chrétiens, se soit ainsi retranché dans la violence* comme d'une thérapie pour surmonter son anémie intellectuelle. Sur ce registre pathétique, ce démiurge autoproclamé provoqua les autres croyants en leur proposant de mourir pour voir s'ils iront effectivement en enfer ou au ciel ! Selon la définition du psychiatre Pascal de Sutter, " C'est une impression pénible d'être inférieur à la normale ou à un idéal désiré, soit dans un secteur déterminé, soit dans tous les domaines ".
Ce sentiment d'infériorité désagrégeant peut induire un comportement masochiste dès lors que le sujet se replie sur lui-même pour ne pas révéler son handicap, stigmatisant au passage ses propres amis dans un réflexe d'auto-victimisation ; ainsi " le vilain canard " selon Hans C. Andersen. Cette dévalorisation de soi peut engendrer un comportement excessif* pour occuper l'espace blessant d'une déficience ou d'un complexe refoulé. C'est le syndrome du " The Great Dictator " (1940) que Charlie Chaplin su mettre en spectacle avec un humour féroce dans une scène satirique, où Adolf Hitler, sous l'empire d'une crise de démence délirante et narcissique, se met à grimper au rideau et à jouer à la balle avec un globe terrestre en caoutchouc gonflé. Ipso facto, l'effet placebo de la mégalomanie comble ce mal-être enfoui pour remonter jusqu'à la folie extatique.
Vu sous le regard anamorphosé des Chrétiens, dont La divine comédie (Dante Alighieri : début du XIVe siècle), Minos prodigue à chaque pécheur le sort qu'il mérite selon les offenses de son existence temporelle, et son obstination à se complaire dans l'inconduite ou l'hérésie. Cette allégorie fut peinte et dessinée à une époque où le Prophète Mahomet était apparenté à une enseigne diabolique, une figure chtonienne de l'antéchrist. L'enfer, chant XXVIII, extrait de cette commedia florentine :
" Le tonneau, lorsqu'il perd quelque douve ou le fond, ne reste pas béant, comme un que j'aperçus, ouvert depuis le cou jusqu'au trône des pets. Entre ses deux genoux pendillaient ses boyaux, les entrailles à l'air, avec le sac fétide qui prend nos aliments pour les merdifier. Je tenais mon regard rivé sur cette horreur ; il ouvrit, m'ayant vu, de ses mains sa poitrine et dit : "Regarde donc comme je me déchire" ! Vois à quel triste état est réduit Mahomet ! Celui qui va devant en pleurant, c'est Ali, le visage béant du toupet au menton. Tous les autres esprits que tu peux voir ici dans la vie ont été des semeurs de scandale et de schisme ; et voilà ce qui les fend ainsi " !
Dans cette strophe médiévale, on y ressent la dérive, suggérée depuis les frayeurs imprimées par l'Église apostolique qui cherchait à convertir les âmes damnées pour assurer leur Salut, voire d'user de tourments, un calvaire infligé jusqu'à la mort rédemptrice. En ces époques éculées, où la religion égalait en superstition, la société moyenâgeuse n'était alors pas très éloignée de la rugueuse opiniâtreté de l'Islam rétrograde tel qu'il se présente aujourd'hui ; un rameau vicié des cultes monolâtres.
A suivre...

Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.

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