Autopsie du culte mahométan 3

Publié le 26 juillet 2018 par Observatoiredumensonge

Autant dire que les discours et le niveau de culture n'ont guère évolué dans cette religion

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Observatoire du MENSONGE

Par Daniel Desurvire

CHAPITRE 3
1°) Autant dire que les discours et le niveau de culture n'ont guère évolué dans cette religion
Autant dire que les discours et le niveau de culture n'ont guère évolué dans cette religion, faisant de ses catéchumènes des fidèles apeurés, voire prêts à commettre n'importe quel acte irréparable contre les non-musulmans pour échapper à la rancune infernale de leur dieu tortionnaire. Il s'inscrit les pires détails à caractère psychotique dans le Coran, où tantôt la peau calcinée des suppliciés est immédiatement remplacée par une peau neuve (IV.59) pour renouveler indéfiniment le douloureux traitement, ou encore leur faire avaler de l'eau bouillante et couler du métal fondu sur le visage des malheureux (XVIII.28).
À la sourate XLIV, versets 14, 37, 43 à 48 et dans bien d'autres endroits du Coran, tous ces supplices y sont confondus, accueillis dans la joie. Pour apporter une dose de sadisme, dans les braises de l'enfer pousse le zaqquum, un arbre épineux en forme de tête de diable produisant des fruits âcres qui rongent l'estomac, et dont les damnés doivent se nourrir. Il est même proposé un abécédaire pour les Musulmans, apportant moult détails sur ce qui attend les imprudents, lesquels oublieraient d'exécuter l'une des cinq prières quotidiennes, ou dérogeraient aux obligations ordonnées par les cinq piliers du Coran :
" Jahannam : un feu qui brûlera les visages des apostats, des mécréants et des impurs qui y entrent. Leurs visages seront maussades et moroses. Il va ronger leur chair et chaque fois que leur peau aura été consumée, elle sera remplacée par une nouvelle chair afin qu'ils goûtent au châtiment. C'est la plus légère expiation que l'on peut recevoir en enfer. Ladha : parce que le feu ronge les parties de leur corps une à une ou ensemble, intérieurement et extérieurement. Il invitera ceux qui ont abandonné le monothéisme et se seraient détournés du Prophète. Saqar : parce qu'il va brûler la chair de l'être humain et non pas son os. Ce qui fait échouer, dans ce niveau du feu de l'enfer, ceux qui ne font pas la prière, etc.
Al Hutamah : car il va briser les os de l'être humain et brûler le cœur et autres organes internes. La douleur commence à ses pieds et va le brûler tout le long jusqu'à ce qu'elle atteigne le cœur. Puis il y a encore la description de ce qui consume l'enfer (Jaheem), un gros morceau de charbon ardent, un gouffre (Haawiyah) qui laisse s'échapper un souffle de feu (Sa'eer) et quand cette brise sort, elle sera tellement chaude et puissante que tous les suppliciés dans les différents niveaux de l'enfer chercheront vainement refuge. Enfin Al Haawiyah, celui qui entre dans ce niveau de l'enfer ne sortira jamais du feu flamboyant (Ladthaa). Ce microglossaire est destiné aux esprits simples n'en doutons pas, bien que peu de Musulmans évolués adhèrent encore à de telles vaticinations ".
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Les mobiles qui président à une critique appuyée contre les préceptes de l'Islam sont aussi divers que nombreux. Des noms, parmi les plus célèbres penseurs de l'histoire européenne, ne tarissent pas d'arguments les plus explosifs pour dénoncer l'inqualifiable : l'Islam. Il s'agissait alors, entre le XVIe et le XXe siècles, d'examiner une " secte " dont nul ne cherchait à excuser les interprétations coraniques, autrement dit, comme il est de mise au XXIe siècle, de dulcifier la grande majorité des Musulmans - complices par leur silence - en rendant seulement responsable une poignée de fanatiques radicaux et de terroristes.
En ces temps, les Musulmans stigmatisaient la société chrétienne devenue circonspecte à leur égard, voire hostile aux préceptes âpres et caustiques de ce dogme intransigeant et arbitraire, eu égard aux écrits de l'Islam, sa duplicité derrière ses apories doctrinales et son agressivité. Voici dressé un échantillon de ce qu'il se disait alors du monde mahométan, au temps où ce culte ne se réfugiait pas derrière le bouclier de l'article 24-8 de la loi sur la liberté de la presse dans sa version de fin 2004 :
- Pierre le Vénérable, vers 1140, présenta Muhammad comme : " Une créature satanique à mi-chemin entre Arius et l'Antéchrist ". Ce fut dans ces termes fracassants que ce dernier écrivit à Bernard de Clairvaux : " Mitto vobis, carissime, novam translationem contra pessimum nequam Machumet haeresim disputandem " (Je vous envoie, mon cher ami, une nouvelle traduction de la pire hérésie de Mahomet contesté [traduction demandée par l'abbé de Cluny : " Lex Mahumet pseudoprophete "]) ;
- Montaigne (1533-1592), " Quand Mahomet promet aux siens un paradis tapissé, paré d'or et de pierreries, peuplé de garçes d'excellente beauté, de vins et de vivres singuliers, je vois bien que ce sont des moqueurs qui se plient à notre bêtise pour nous emmieller et attirer par ces opinons et espérances, convenables à notre mortel appétit " ;
- André Du Ryer (1580- 1672), sieur de la garde-Malezair, diplomate et orientaliste, traduisit d'arabe en français vernaculaire le Coran " L'Alcoran de Mahomet ". L'œuvre fut édité par Antoine de Sommaville en 1647. Ce linguiste adressa à son commanditaire toute sa consternation en ces termes : " Tu seras étonné que ces absurdités aient infecté la meilleure partie du monde, et avoueras que la connaissance de ce qui est contenu dans ce Livre, rendra cette Loi bien méprisable ". Ce livre fut frappé du sceau de l'inquisition par le Conseil de conscience, notamment par Vincent de Paul ;
- Blaise Pascal (1623-1662), " Ce n'est pas sur ce qu'il y a d'obscur dans Mahomet, et qu'on veut faire passer pour un sens mystérieux que je veux qu'on en juge [...], c'est pourquoi il n'est pas juste de prendre ses obscurités pour des mystères, vu que ses clartés sont ridicules " ;
- Bossuet (1629-1704), évêque de Meaux et précepteur de Louis XIV, " L'Islam ! Cette religion monstrueuse a pour toute raison son ignorance, pour toute persuasion sa violence et sa tyrannie, pour tout miracle ses armes, qui font trembler le monde et rétablissent par force l'empire de Satan dans tout l'univers " (Panégyrique de Saint Pierre Nolasque) ;
- Montesquieu (1689-1755), " C'est un malheur pour la nature humaine, lorsque la religion est donnée par un conquérant. La religion mahométane, qui ne parle que de glaive, agit encore sur les hommes avec cet esprit destructeur qui l'a fondée ". Puis, " La religion des Guèbres (zoroastrisme) rendit autrefois le royaume de Perse florissant. Elle corrigea les mauvais effets du despotisme. Aujourd'hui, la religion mahométane détruit ce même empire ". (De l'esprit des lois) ;
- Voltaire (1694-1778) qui consacra au personnage Muhammad une pièce de théâtre intitulé Le fanatisme ou Mahomet, considéra le Prophète des Musulmans comme " un imposteur, un fanatique et un hypocrite " ;
- D'Alembert (1717-1783), " Les imâms et les muphtis de toutes les sectes me paraissent plus faits qu'on ne croit pour s'entendre ; leur but commun est de subjuguer, par la superstition, la pauvre espèce humaine " ;
- Condorcet (1743-1794), " La religion de Mahomet, la plus simple dans ses dogmes, semble condamner à un esclavage éternel, à une incurable stupidité, toute cette vaste portion de la terre où elle a étendu son empire " ;
- Chateaubriand (1768-1848) nota ceci, " Je dois remarquer que j'ai été le seul, avec Benjamin Constant, à signaler l'imprévoyance des gouvernements chrétiens : un peuple dont l'ordre social est fondé sur l'esclavage et la polygamie est un peuple qu'il faut renvoyer aux steppes des Mongols " (Mémoires, XXIX, 12). Puis, " Tous les éléments de la morale et de la société politique sont au fond du christianisme, tous les germes de la destruction sociale sont dans la religion de Mahomet " (Mémoires d'Outre-tombe) ;
- Arthur Schopenhauer (1788-1860), " Le Coran, ce méchant livre, a suffi pour fonder une grande religion, satisfaire pendant 1 200 ans le besoin métaphysique de plusieurs millions d'hommes. Il a donné un fondement à leur morale, leur a inspiré un singulier mépris de la mort et un enthousiasme capable d'affronter des guerres sanglantes, et d'entreprendre les plus vastes conquêtes. Or, nous y trouvons la plus triste et la plus pauvre forme du théisme. Peut-être le sens nous en échappe-t-il dans les traductions. Cependant je n'ai pu y découvrir une seule idée un peu profonde " (Le Monde comme volonté et comme représentation, Arthur Schopenhauer (traduction d'Auguste Burdeau), éditions Presses universitaires de France, 1943, tome 2, p. 296) ;
- Alfred de Vigny (1797-1863) ironisa, " Croyez en Dieu et en son prophète qui ne sait ni lire ni écrire " ! (Journal d'un poète, été-automne 1829). Puis, " Si l'on préfère la vie à la mort, on doit préférer la civilisation à la barbarie. L'islamisme est le culte le plus immobile et le plus obstiné, il faut bien que les peuples qui le professent périssent s'ils ne changent de culte " (in, journal d'un poète, année 1831) ;
- Alexis de Tocqueville (1805-1859) expliqua, " L'Islam c'est la polygamie, la séquestration des femmes, l'absence de toute vie publique, un gouvernement tyrannique et ombrageux [...]. J'ai beaucoup étudié le Coran [...]. Je vous avoue que je suis sorti de cette étude avec la conviction qu'il y avait eu dans le monde, à tout prendre, peu de religions aussi funestes aux hommes que celle de Mahomet. Elle est, à mon sens, la principale cause de la décadence aujourd'hui si visible du monde musulman [...]. Je la regarde comme une déchéance plutôt que comme un progrès " ;
- Louis Pavy, Évêque d'Alger (1805-1866), " Celui qui prétend être le prophète d'Allah devrait avoir des lettres de créances, c'est-à-dire la prophétie, les miracles et l'intégrité de l'ensemble de sa vie. Rien de tout cela ne se trouve chez Mahomet, cet homme de pillage et de sang prêche sa doctrine à coup de cimeterre, en promenant la mort sur un tiers du globe alors connu " ;
- Gustave Flaubert (1821-1880) ne railla pas, mais s'épris de colère contre cette religion, " Sans doute par l'effet de mon vieux sang normand, depuis la guerre d'Orient, je suis indigné contre l'Angleterre, indigné à en devenir Prussien ! Car enfin, que veut-elle ? Qui l'attaque ? Cette prétention de défendre l'Islamisme (qui est en soi une monstruosité) m'exaspère. Je demande, au nom de l'humanité, à ce qu'on broie la Pierre-Noire pour en jeter les cendres au vent, à ce qu'on détruise La Mecque, et que l'on souille la tombe de Mahomet. Ce serait le moyen de démoraliser le Fanatisme " (Lettre à Mme Roger des Genettes, 12 ou 19 janvier 1878) ;
- Joseph Ernest Renan (1823-1892), " L'Islam est contraire à l'esprit scientifique, hostile au progrès ; il a fait des pays qu'il a conquis un champ fermé à la culture rationnelle de l'esprit [...]. Mahomet nous est rapporté comme un homme doux, sensible, fidèle, exempt de haine. Rien de moins ressemblant à cet ambitieux machiavélique et sans cour [...]. Toute sa conduite dément le caractère entreprenant, audacieux, qu'on est convenu de lui attribuer. Il se montre habituellement faible, irrésolu, peu sûr de lui-même. M. Weil va jusqu'à le traiter de poltron ; il est certain qu'en général il avançait timidement, et résistait presque toujours à l'entraînement de ceux qui l'accompagnaient. Ses précautions dans les batailles étaient peu dignes d'un prophète [...]. Le plus mauvais état social, à ce point de vue, c'est l'état théocratique, comme l'islamisme et l'ancien État pontifical, où le dogme règne directement d'une manière absolue [...]. L'islamisme ne peut exister que comme religion officielle ; quand on le réduira à l'état de religion libre et individuelle, il périra. L'islamisme n'est pas seulement une religion d'État, c'est la religion excluant l'État [...]. Là est la guerre éternelle, la guerre qui ne cessera que quand le dernier fils d'Ismaël sera mort de misère, ou aura été relégué par la terreur au fond du désert. L'Islam est la plus complète négation de l'Europe ; l'Islam est le fanatisme [...]. L'Islam est le dédain de la science, la suppression de la société civile ; c'est l'épouvantable simplicité de l'esprit sémitique, rétrécissant le cerveau humain, le fermant à toute idée délicate, à tout sentiment fin, à toute recherche rationnelle, pour le mettre en face d'une éternelle tautologie : Dieu est Dieu [...]. Toute l'énergie qui s'était déployée dans la fondation de la religion nouvelle appartient à Omar, le glaive qui tranche et décide " ;
- Charles de Foucauld (1858-1916), " Des Musulmans peuvent-ils être vraiment Français ? D'une manière générale, non. Dans cette foi, le Musulman regarde l'Islam comme sa vraie patrie, et les peuples non musulmans comme destinés à être tôt ou tard subjugués par lui musulman ou ses descendants. S'il est soumis à une nation non musulmane, c'est une épreuve passagère ; sa foi l'assure qu'il en sortira et triomphera à son tour de ceux auxquels il est maintenant assujetti ; la sagesse l'engage à subir avec calme son épreuve " (entendu la taqiyya pour attendre et rebondir) ;
- Winston Churchill (1874-1965), " L'influence de cette religion paralyse le développement social de ses fidèles [...]. Il n'existe pas de plus puissante force rétrograde dans le monde [...]. Si la Chrétienté n'était pas protégée par les bras puissants de la science, la civilisation de l'Europe moderne pourrait tomber, comme tomba celle de la Rome antique ".
- Hermann Von Keyserling (1880-1946), " Je fus impressionné par la parenté du national-socialisme avec l'Islam et cette impression n'a fait que se préciser et s'affermir depuis " ;
- André Malraux (1901-1976), " C'est le grand phénomène de notre époque que la violence de la poussée islamique. Sous estimée par la plupart de nos contemporains, cette montée de l'Islam est analogiquement comparable aux débuts du communisme du temps de Lénine. Les conséquences de ce phénomène sont encore imprévisibles. A l'origine de la révolution marxiste, on croyait pouvoir endiguer le courant par des solutions partielles. Ni le christianisme, ni les organisations patronales ou ouvrières n'ont trouvé la réponse. De même aujourd'hui, le monde occidental ne semble guère préparé à affronter le problème de l'Islam. En théorie, la solution paraît d'ailleurs extrêmement difficile. Peut-être serait-elle possible en pratique si, pour nous borner à l'aspect français de la question, celle-ci était pensée et appliquée par un véritable homme d'État. Les données actuelles du problème portent à croire que des formes variées de dictature musulmane vont s'établir successivement à travers le monde arabe. Quand je dis "musulmane" je pense moins aux structures religieuses qu'aux structures temporelles découlant de la doctrine de Mahomet. Peut-être des solutions partielles auraient-elles suffi à endiguer le courant de l'Islam, si elles avaient été appliquées à temps. Actuellement, il est trop tard ! Les "misérables" ont d'ailleurs peu à perdre. Ils préféreront conserver leur misère à l'intérieur d'une communauté musulmane. Leur sort sans doute restera inchangé. Nous avons d'eux une conception trop occidentale. Aux bienfaits que nous prétendons pouvoir leur apporter, ils préféreront l'avenir de leur race. L'Afrique noire ne restera pas longtemps insensible à ce processus. Tout ce que nous pouvons faire, c'est prendre conscience de la gravité du phénomène et tenter d'en retarder l'évolution " (Extrait d'une Intervention du 3 juin 1956 publiée dans l'hebdomadaire américain " Time ").
A suivre...

Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.

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Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

(1) Élisabeth Badinter, " Nous revenons aujourd'hui, sans s'en rendre compte, à une pensée obligatoire qui ressemble fort au dogmatisme d'antan. Les leçons d'histoire ne servent plus à rien. D'anciens sujets tabous, telle que la religion, sont redevenus intouchables. Essayez donc de faire jouer " Mahomet " de Voltaire sur une scène française et vous verrez ce qu'il se passera [...]. Notre liberté de penser se restreint peu à peu. Il n'est que temps de reprendre le combat des Lumières " !
(2) Outre l'œuvre phare de Salman Rushdie (dont : La honte, Le dernier soupir du Maure...), citons Taslima Nasreem (écrivain bangladeshi qui fit l'objet d'une fatwa parce qu'elle critiqua le statut des Musulmanes en Islam), Latifa ben Mansour (auteur des Frères musulmans), Ershad Manji (menacée de mort pour avoir osé écrire : The Trouble with Islam : A Wake-up Call for Honesty and Change), ou de feu Naguib Mahfouz, qui fut agressé en 1974 pour son livre Les fils de la Médina, illustrent le risque qu'encoure un écrivain musulman qui ose badiner avec le Coran. La compositrice Véronique Sanson fut menacée de mort pour avoir chanté Allah sur scène. Le top modèle Claudia Schiffer, qui présenta en 1994 une collection de Chanel en robes imprimées des versets du Coran, fit l'objet de menaces létales. Le cinéaste Youssef Chahin, pour ses positions rebelles à l'Islam fondamentaliste, fut considéré persona non grata par la Ligue arabe. Le 27 mars 2008, la diffusion sur le net du court-métrage " Fitna " présenta le Prophète antisémite et homophobe, mis en scène par le député néerlandais Geert Wilders. Les caricatures portant sur un turban en forme de bombe publié dans Jyllands-Posten, suggéraient une signification proche des borborygmes du Messager d'Allah dans le film de Sam Bacile. Dans cette pellicule, Muhammad y est présenté comme un pédophile qui approuve les jeux érotiques avec les enfants. Sur ce chapitre de la perversité sexuelle, rappelons que Muhammad se maria avec une enfant (Aïcha) de 7 ou 9 ans selon les sources haditiques.

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