Chaque fois que je prends des vacances, je fais une activité créative histoire de reposer mon esprit cartésien de tous ces concepts dont je dois continuellement m’approprier pour les expliquer le plus simplement possible.
Cet été, c’est une tentative de peinture sur toile. Toile achetée il y a au moins 4 ans et qui traîne dans telle ou telle pièce, blanche comme neige depuis tout ce temps, attendant l’inspiration des Dieux qui, force est de constater, n’est pas venu avant cet été. Inspiration forcée par le fait de ne plus pouvoir voir cette carcasse traîner au sol quand elle devrait être sur un mur : celui de ma descente d’escalier !
Je ne sais pas peindre. Alors, j’ai passé plusieurs jours entre You Tube – Comment peindre, et les pinceaux et tubes de peinture. À faire et refaire encore. Ça eut du bon, je me suis débarrassée de plein de vieux tubes d’acrylique.
La voilà terminée, cette oeuvre d’essais et d’erreurs. Elle est maintenant accrochée au mur de ma descente d’escalier. Elle va y rester longtemps ! Histoire d’échelle trop longue à raconter. Et des sueurs en masse, à fond la casse.
Je termine en soulignant que malgré le caractère visiblement très, très novice, je trouve que j’ai réussi pas si mal pour quelqu’un qui ne sait pas peindre ni dessiner, même une ligne droite.
Roulement de tambours…