Mais là où le bat blesse, c'est précisément parce que les Musulmans n'acceptent pas de changer un seul mot du Coran, que nombre d'entre eux adoptent les comportements de gens qui ont vécu mille quatre cents ans en arrière de notre époque.
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Par Daniel Desurvire
CHAPITRE 6
Mais là où le bat blesse, c'est précisément parce que les Musulmans n'acceptent pas de changer un seul mot du Coran, que nombre d'entre eux adoptent les comportements de gens qui ont vécu mille quatre cents ans en arrière de notre époque.
Dans L'histoire générale de l'historien arabe Ibn Al-Athir (1160-1233), voici reproduit à la suite un extrait de ses annales tiré des annales berbères d'Ibn Khaldoun (1332-1406). Cette anecdote, inénarrable car morbide, apparaît semblable au texte précédent, de sorte qu'elle laisse deviner qu'il s'agit bien des mêmes personnages, et que sans nul doute, le Traité des trois imposteur détenaient les mêmes sources historiques, attestant de la réalité des supercheries de ce prétendu Messager d'Allah :
" Lors du siège de Tinmal par le réformateur marocain Al-Mahdī Muḥammad ben Tūmart (1078-1130 ; adepte de l'unicité de Dieu [Tawhïd] et hostile aux anthropomorphismes [mujassimah]) qui se proclama le Mehdi des Almohades vers 1121, plusieurs milliers d'habitants périrent. Comme les principaux habitants voulurent un raccommodement avec l'émir des Musulmans, le Mehdi prit des mesures contre eux et en 1125, il eut recours aux services d'un de ses agents nommé Bashir Al-Wansharisi. Ibn Tumart montra un feint étonnement et demanda à Bashir ce qui était arrivé. Dans une scène qui remplit d'admiration l'assistance, celui-ci répondit [...] que Dieu avait ordonné à Ibn Tumart de faire mourir les réprouvés et que pour prouver la vérité de ses paroles, il avait fait descendre plusieurs anges dans le puits. Après avoir entendu ces paroles, tout le monde s'y rendit. Ibn Tumart fit alors une prière et prononça ces mots : "Anges de Dieu ! Bashir Al-Wansharisi dit-il la vérité" ?
Des individus qu'il avait fait secrètement cacher dans le puits répondirent oui. Ayant reçu ce témoignage, Ibn Tumart se tourna vers le peuple et lui dit : "Ce puits est pur et saint, car les anges y sont descendus ; aussi ferions-nous bien de le combler pour empêcher qu'il soit souillé par des ordures". Alors tous les assistants s'empressèrent d'y jeter des pierres et le puits fut comblé. D'après Ibn Al-Athir, c'est la façon dont Ibn Tumart raffermit son autorité en se débarrassant de 7 000 individus qui lui avaient fait ombrage " (op. cit. Marcolini).
Ironie de l'histoire, cette farce a pris date, et rassemble aujourd'hui près de deux milliards d'adeptes. Copies, emprunts et usurpations des religions d'Abraham, l'Islam n'est jamais en reste de facéties, de parodies et d'absurdités. Même l'archange Gabriel, pur produit de la Bible, fut emprunté par le Coran afin de réinventer une foi nouvelle, pour compléter et améliorer celle des autres, osent encore déclamer les exégètes de ce mythe confessionnel. Bien mal écrit et criblé d'erreurs chronologiques mélangées et de contradictions, les inexactitudes sont tellement nombreuses qu'il est impossible de tirer une cohérence dans ce patchwork mal cousu et d'une médiocrité historiographique qui confine à l'ignorance voire l'irrationnel. Pourtant, ce Livre résiste à ses invraisemblances, au point que cette chimère cultuelle s'est immortalisée et sème la terreur dans le monde.
Son pouvoir sur les foules augmentant au fil des années, s'installe plus aisément dans le tiers-monde fragilisé par la pauvreté et l'ignorance. Ce culte, vomissant sa haine des sociétés élevées, s'est trouvé une clientèle propice pour accepter sa véritable nature. Les versets belliqueux, chargés de cruauté, d'intolérance, de phallocratie, de racisme, d'esclavagisme et de despotisme trouvent leurs échos dans la rage et la frustration des plus démunis. Cela explique pourquoi l'Islam ne veut pas élever mentalement les populations qu'il a spirituellement convaincues. Cette clientèle inépuisable, car démographiquement féconde, s'est mise en quête, sous la férule de cohortes de terroristes dans le monde, d'exterminer le monde civilisé, pourvu que le verset 73 (sourate III) soit une prédiction pour l'humanité, une quête vers un panislamisme khalifien ressassée à l'heure des prières.
Mais à vouloir annihiler le reste du monde, cette tentative de prise de contrôle se heurte à son propre néant, sachant bien que l'on ne saurait tout à la fois être inculte et suffisant sans sombrer dans un obscurantisme déshumanisant et réducteur. L'absence de conscience, d'émotion et de tendresse prive l'individu d'une intelligence de surplomb (selon Bergson : " La pensée et le Mouvant "), et c'est précisément ce qui différencie l'homme de l'animal. Allez donc expliquer à un fauve qu'il est cruel avec sa victime ? Comment distinguer les principes manichéens fondateurs de la morale dans une société qui décline le respect de la vie. Confucius devisait : " La Conscience est la lumière qui permet à l'intelligence de distinguer le bien du mal ".
Pour Gerald Messadié (essayiste français, ethnologue et théologien), " S'attacher aux religions est périlleux. C'est d'abord faire de soi-même un assassin en puissance et le pire de tous les assassins : celui qui a la conscience tranquille ". Il fallait avoir le courage de l'écrire ! Mais il est vrai que si l'on s'attache à l'histoire des Croisés et de l'Inquisition, les barbaries musulmanes, de Muhammad à Tamerlan jusqu'aux gourous des nébuleuses terroristes de nos jours, l'Islam peut se gloser d'avoir eu son alter ego dans l'histoire, même si à présent les cultes judéo-chrétiens et tantriques prêchent la tolérance, l'amour et la concorde. Cependant, à l'ère de la société du savoir, de progrès et de la démocratie, il ne s'agit pas pour les Musulmans qui cherchent à dédouaner les horreurs de leur culte, de comparer des choux et des carottes. Nous dirons plus sereinement que les Écritures archaïques, qui ont fait les religions d'aujourd'hui, ne sont pas pleinement adaptées au XXIe siècle et il faudrait les réécrire dans un aggiornamento global, sur la trace de ce que firent partiellement les Catholiques pour leur rédemption.
Mais là où le bat blesse, c'est précisément parce que les Musulmans n'acceptent pas de changer un seul mot du Coran, que nombre d'entre eux adoptent les comportements de gens qui ont vécu mille quatre cents ans en arrière de notre époque. Voilà la raison majeure pour laquelle les pays islamiques régressent et sont incapables d'élever socialement et intellectuellement leur jeunesse, au point que les plus courageux sont obligés d'émigrer dans les pays occidentaux non musulmans, chez les mécréants honnis, afin de pouvoir vivre librement et manger à leur faim. Tout ceci parce que l'Islam et la shari'a paralysent les initiatives individuelles, amenant le chômage, la misère, la corruption, la violence et les conflagrations chez eux et à l'extérieur.
Pour Voltaire : " Les religions ne sont jamais si bien comprises que par ceux qui ont perdu leur capacité de raisonnement ". Selon Pascal : " Ce n'est pas sur ce qu'il y a d'obscur dans Mahomet, et qu'on veut faire passer pour un sens mystérieux que je veux qu'on en juge [...], c'est pourquoi il n'est pas juste de prendre ses obscurités pour des mystères, vu que ses clartés sont ridicules ". Enfin, citons le chirurgien Gérard Zwang qui milita contre l'excision : " Coiffant les aspirations les plus viles, flattant les pulsions les plus archaïques, encourageant la paresse intellectuelle, l'intolérance, l'hypocrisie, la violence, prêchant un virilisme pathologique, justifiant les pires ignominies antiféministes, l'Islam n'est ni une sagesse ni une civilisation (un mode de vie), c'est un fléau " (Source Forum métaphysique : le concept de la jahelia, Dr Radhasyam Brahmachari, par Caius, le 26 mai 2008).
A suivre...
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Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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