L'Islam en tant que religion n'existe que par le Coran, et le Coran est, à l'instar des langues mortes (ainsi la langue d'Hérodote ou le latin archaïque), un culte mort, stratifié dans la seule histoire de son Prophète. Le reste est tiré de la Bible, plagiée, malmenée et déformée jusqu'à l'outrage.
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Par Daniel Desurvire
CHAPITRE 7
Mais là où le bat blesse, c'est précisément parce que les Musulmans n'acceptent pas de changer un seul mot du Coran, que nombre d'entre eux adoptent les comportements de gens qui ont vécu mille quatre cents ans en arrière de notre époque.
L'Islam en tant que religion n'existe que par le Coran, et le Coran est, à l'instar des langues mortes (ainsi la langue d'Hérodote ou le latin archaïque), un culte mort, stratifié dans la seule histoire de son Prophète. Le reste est tiré de la Bible, plagiée, malmenée et déformée jusqu'à l'outrage. Si le souvenir de la prédiction mortifère de ce Messager avait disparu, ôté de ses outrages et génocides, autant dire la révélation de ses crimes et de ses atrocités, l'Islam si dénué, médiocre et immoral dans sa théologie, n'aurait pas survécu à l'hégire et sa mémoire se serait éteinte dépouillée de l'ignominie du Prophète. De fait, ce culte n'évolue pas, ne peut pas être réformé, ni modifié ou amélioré dans le texte ; tel n'est pas le cas pour la plupart des confessions théistes pratiquées aujourd'hui à travers le monde.
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D'ailleurs, cette disposition s'inscrit en toutes lettres dans le Coran (II.100 et 169 ; XVI.104 et XXVI.195 à 200). Certes, la Bible ancienne, la Torah, le Talmud, l'Évangile et le canon bouddhique avec ses textes en pāli (tipitaka), en sanscrit, tibétain ou chinois, sont également figés dans leurs écritures, mais pas dans leurs interprétations à l'intérieur même des cultes où les mots et les expressions ont un sens acceptables et pas nécessairement retranchés derrières des paraboles ; là même où l'Islam se dérobe. L'Église catholique s'est réformée à travers l'aggiornamento et aura mis de mis de l'ordre dans ses écritures en passant certaines comme apocryphes. Par euphémisme, les pseudépigraphes relèvent d'une authenticité non établie.
Certes encore, bien des cultes ont donné naissance à des sectes qui s'écartèrent du front commun de la religion mère. Mais ces schismes furent plutôt des fractures liturgiques et politiques que l'on ne saurait confondre à un changement dans la religion, ou à des variations dans les textes mêmes susceptibles de se rapprocher du peuple et de son époque. À l'exception de l'Islam conquérant, durant sa traversée d'une grande noirceur et de dépression, les confessions d'Abraham, les cultes polythéistes tantriques, amérindiens et animistes bougèrent avec leur temps, s'adaptèrent assurément avec difficulté et lenteur, mais leurs autorités respectives font néanmoins cette démarche.
Quant à la source de ce qui devint la confession musulmane, entre la jâhilîa (" Ère de l'ignorance " en arabe, période antéislamique) et l'Islam de l'hégire à aujourd'hui, la transition fut des plus catastrophiques car cette période connut des violences inouïes. De la moralité, de l'éthique et du savoir, après le passage cyclonique de l'Islam, il ne resta quasiment plus rien de la Gemara babylonienne (Michna hébraïque, Gemara araméenne) ou du zoroastrisme qui couvrait l'Empire Sassanide de Perse, ainsi que des mythologies grecque hindoue et païennes ; là où le rouleau compresseur musulman écrasa le monde, ainsi l'Empire romain byzantin. Il est même probable que ce culte, d'une morale en totale déliquescence, n'aurait jamais traversé l'histoire, ou serait mort-né sous le linceul de son fondateur, si cet augure n'avait pas semé la mort et la désolation tout au long de son parcours guerrier, en quête d'hégémonie et d'obéissance à son autorité spirituelle.
Pourtant, cette supposée religion nouvelle, écrite dans le sang plutôt que dans l'amour et la fraternité, celle que s'inventa Muhammad au fil de ses razzias et des charniers qui ensanglantèrent la terre de ses victoires, celui qui fut proclamé prophète et messager par ses compagnons d'armes rejeta ses propres racines polythéistes. Pour asseoir son autorité au côté d'une divinité fabriquée à son image (Allah), ce conquérant, dépourvu d'instruction, dut rassembler les bases de son support hiératique dans une compilation de la Bible ancienne (" le Livre révélé " selon les termes du Coran) ainsi que de l'Évangile chrétien ; dont les scribes postérieurs à l'hégire au service de Muhammad manifestement s'inspirèrent avec une maladresse troublante pour se construire leur propre livre de culte.
Les religions juive et orthodoxe, pourtant réputées les plus rigides, excellent dans la recherche d'une harmonie et d'un partage entre les deux mondes séculier et spirituel. Les postulats fondateurs de ces cultes sont principalement la tolérance, la paix et l'amour. De même que les Protestants les moins conservateurs entendent magnifier les valeurs temporelles, culturelles, sociales et humanistes au dogme religieux lui-même. Inversement, les Islamistes associent la vie terrestre à l'enfer, de sorte que la mort est vécue comme une délivrance, puis est saluée telle une récompense au paradis des houris par leur dieu Allah lorsque de surcroît, le Musulman trouve la mort au combat, et/ou aura occis un maximum d'impurs (les non-musulmans).
Ce pourquoi l'Islam n'est pas seulement une secte morte au sens où elle a cessé de se construire, mais a fortiori ce culte incarne cette mort. De fait, s'il y a construction, elle se mue en destruction, en vacuum. Ainsi, la religion musulmane, lorsque ses précepteurs se querellent, aboutit à de sanglants conflits et se scinde en sectes, plutôt qu'elle recherche une concorde. Ce pourquoi encore, les fervents fidèles de l'Islam depuis son avènement n'ont jamais cessé, à l'instar de la vie de Muhammad, de guerroyer, de s'entretuer, parce que ce culte n'a jamais eu d'autorité spirituelle magistrale pour enrichir sa propre réflexion et pouvoir s'affirmer en une doctrine vivante et progressiste.
À défaut d'accommodement avec les autres cultes et d'adaptation progressiste à l'instar des conciles œcuméniques, des consistoires ou du Congrès juif mondial, l'Islam s'est chevillé à lui-même. Quant à l'édification sociale de l'Islam (la sunnah), seulement parcourue de guerres et de razzias, la civilisation musulmane fut jusqu'à nos jours un désastre par absence d'évolution possible et d'élévation cérébrale. Pour preuve, la période al-Andalus, par ses modernités et son partage avec les savants juifs séfarades, sombra dans les profondeurs de l'oubli, d'abord sous le joug des khalifes sunnites des abbassides. Par suite, la lueur des omeyyades fut définitivement éteinte sous le durcissement obscurantiste et régressif du khalifat ottoman.
De sorte que pour l'Islam, le savoir et le progrès ne sont pas de ce monde, car ces notions ne s'inscrivent pas dans le Coran - sauf interprétation des illuminés concordistes - seul détenteur des connaissances requises par les bons Musulmans (Coran : VII.185, XXVII.77, XXXIV.3). La femme mésestimée, diminuée et humiliée, fut confinée dans la procréation et la condition de servitude domestique. Il en ressort que les pays musulmans se sont privés - et se privent encore - de la moitié de leur potentiel actif dans le monde moderne, puis s'enfoncent inexorablement dans l'échec ; une dégénérescence acquise où l'indigence intellectuelle et la frustration mènent au djihâd.
Entre l'absence d'une hiérarchie ordonnée et respectée dans cette religion où l'anarchie prévaut, et le refus d'accepter le progrès et la réforme des Écritures, cela explique qu'il y ait tant d'exclusions et de condamnations réciproques entre les clans et frères ennemis mahométans. L'unité islamique retrouve une courte trêve lors des grands pèlerinages autour de la Kaaba à La Mecque et au mont Arafa, mais également lorsqu'il s'agit de s'unir contre la puissance intellectuelle et économique des autres civilisations, constituée selon elle par des impurs. Non pas que les Musulmans n'aient pas d'opinion ou d'esprit, mais leurs divisions internes, l'intolérance qui s'inscrit quasiment à chaque sourate du Coran et l'immobilisme théologique, sont autant d'obstacles qui compromettent toute idée d'évolution.
Les quatre doctrines de l'Islam sunnite sans réelle homogénéité (chafiite, hanbalite, hanafite et malikite) pour ne citer que cette école, s'insupportent entre-elles. Alors que dire des rivalités tribales et les antagonismes cultuels entre l'imamat shi'ite et les branches principales sunnites et kharidjites, puis encore entre autres sectes (73 dans la Jamâ'ah dont les mécréants et les impurs) que portent les écoles wahhabites et salafistes de cet Islam rétrograde ? Si les cinq piliers de la foi mahométane fédèrent tous les courants sectaires, les dissidents séparatistes ne manquent jamais de faire connaître leurs antagonismes à coup de bombes, d'assassinats, d'insurrections et d'ethnocides.
Nous pourrions même avancer que l'Islam est le chancre des sectes. La devise de Catherine de Médicis : Divide ut regnes (" divise afin que tu règnes " dans sa version latine impérative) semble en effet parfaitement adaptée à la logique coranique, comme elle le fut pour des esprits facétieux tel Machiavel, ou les grands conquérants tels Philipe de Macédoine et Louis XI dit le fourbe. Comment d'ailleurs ne pas adhérer à ce constat, puisque le Coran lui-même en fait la leçon à ses croyants (Sourate V, verset 53) : " Si Dieu l'avait voulu, il aurait fait de vous tous un seul peuple ; mais il a voulu éprouver votre fidélité à observer ce qu'il vous a donné*. Courez à l'envi les uns des autres vers les bonnes actions ; vous retournerez tous à Dieu ; il vous éclairera lui-même l'objet de vos différends ". N'espérons nullement qu'il s'agisse ici d'un appel à vivre en harmonie avec d'autres cultes et leurs différences, car dans la même sourate, comme dans tant d'autres, il s'écrit (verset 37 : " [...] vous les mettrez à mort ou vous leur ferez subir le supplice de la croix ; vous leur couperez les mains et les pieds alternés... ".
Comprendre les divisions internes et irréductibles de l'Islam, c'est déjà faire un pas dans la compréhension des évènements, de cette violence qui prévaut dans ce culte ; sachant que, puisque nombre de ses courants religieux s'insupportent déjà eux-mêmes, cette confession en l'état se saurait montrer une once de tolérance pour les autres. Mais de cela, les politiques et les intellectuels islamophiles d'Europe et même de l'Amérique démocrate ne veulent l'admettre ni même l'entendre ; les plus lucide acceptant d'en parler à demi-mot. Les citoyens européens pris à part, interrogés lors de sondages d'opinion anonymes, ont la volonté d'exprimer sur ce qu'ils pensent vraiment de l'Islam.
A suivre...
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Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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