Finalement, ce qui fait que l’on apprécie le retour sous notre brave 45e parallèle, outre la tambouille (promis, j’en parle un jour), c’est le retour de ce contraste élémentaire et franc entre le jour et la nuit.
Je me souviens ainsi du retour à Bordeaux, le descente avait commencé et nous n’étions plus très loin de notre cher aéroport de Mérignac : la nuit, vers l’ouest, était visible et se rapprochait de nous comme la marée haute au Mont-Saint-Michel par fort coefficient (c’est-à-dire, pour reprendre l’adage populaire, « à la vitesse d’un cheval au galop »).
Le problème, c’est ce soir : 21 h 30 et déjà nuit noire. Regret et nostalgie pour les très longues soirées finlandaises.