Autopsie du culte mahométan 8

Publié le 30 août 2018 par Observatoiredumensonge

Les véhicules ethnocides de l'Islam et les pathologies mentales de ses adeptes radicaux.

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Par Daniel Desurvire

CHAPITRE 8
2°) Les véhicules ethnocides de l'Islam et les pathologies mentales de ses adeptes radicaux.
Le refus ou le mépris des différences, ainsi le rejet des autres cultes ou l'infériorité proclamée de la femme dans le Coran, induit un rétrécissement de l'entendement, un dénuement intellectuel du croyant subjugué, via leurs prédicateurs encensés. Aliénation ou phobie, cette psychose explique pourquoi l'Islam appauvrit ses populations au registre du social, de l'éducation, de l'économie et des droits naturels. Cette stratégie du fossé intellectuel et du paupérisme tend à subjuguer les plus fragiles, les incultes et les plus démunis, d'où les amener à haïr les autres communautés. Pour les fondamentalistes, il s'agit d'endoctriner leurs coreligionnaires faméliques, déscolarisés et désocialisés, puis d'adopter une guerre aveugle et sans répit contre l'impur.
Cette école de l'exécration est emmenée par des précepteurs qui stigmatisent les leurs par l'envie que suscite la réussite des sociétés judéo-chrétiennes qui les jouxtes, et la frustration au contact des médias qui leur renvoient l'image d'une société faite d'abondance, de culture et de consommation. C'est avec des ventres affamés, des décervelés conditionnés à tuer, des croyants drogués au Coran mais aussi aux substances (le Captagon, la drogue de Daesh, est un stupéfiant à base d'amphétamine) que l'islamisme fabrique ses troupes en ordre de combat ; mais une guerre de l'ombre, sournoise et pleutre.

Abu Bakr al-Baghdadi, dont le doctorat ne relevait que d'un niveau de connaissances limité aux 114 sourates du Coran, fit la démonstration de cette régression programmée, comme en prêchant une belligérance globale au nom du khalifat, en rameutant les Musulmans les plus perméables, puis en misant sur la fragilité de ses adulateurs. Ceux-là constituent une manne quasi inépuisable de combattants exsangues, lesquels s'inventent ainsi une mission divine dans un jeu de rôle. Il en résulte que l'éducation générale et les sciences constituent l'obstacle majeur de l'Islam intégriste, en retenant que tout Musulman instruit et supposé assimilé à la société de progrès devient fatalement réfractaire au Coran, dont le contenu s'avère d'une pauvreté désastreuse. Ce pourquoi les préceptes d'une rare déraison de ce Livre de culte, car intolérants et va-t-en-guerre, finissent par effacer l'idée même que l'Islam pourrait être une religion.
Cette misanthropie morbide entretenue dans les sombres couloirs de l'islamité, que cultivent les hashishim (les guerriers d'Allah), relève invariablement de dommages cérébraux induits (dysfonctionnement psychosocial, anhédonie [désintérêt diffus]), lesquelles ne figurent pas dans le patrimoine chromosomique, mais peuvent être inférés par la seule lecture du Coran. De surcroît, ces traumatismes s'amplifient à raison de frustrations, de dénuement et de carence d'instruction. Le Mahométan féale, malade de son culte et de sa condition, s'inflige une purgation cultuelle régurgitant une détestation purulente, contrastant avec la réussite insolente des autres. C'est en retrait de la société de progrès, et dans la flétrissure de l'échec, que des mentors leur apprennent à haïr le savoir autre que le Coran, à jalouser les richesses, puis à vomir les libertés et les beautés de l'Occident.
Les manifestations valétudinaires de ces esprits étriqués et tourmentés, par addiction à un groupe et/ou à une idéologie destructurante, débouchent sur de forts syndromes persistants, parfois même hallucinatoires qui affectent le mental du séide. L'histoire nous a enseigné le narcissisme du Führer, notamment incarné dans le film satyrique Le dictateur de Charlie Chaplin, ou le culte de la personnalité développé par Georges Orwell, dans son roman Big Brother de 1984, où sont évoqués les pompeux sobriquets de Mao Zedong (grand Timonier), de Francisco Franco (le Caudillo), de Benito Mussolini (le Duce). À ce tableau s'ajoutent l'Ayatollah Khomeiny (guide suprême) et ses épigones, de Kim Il-sung (Grand Leader), de Joseph Staline (Vojd : le petit père des peuples), de Hugo Chávez (le Commandante), puis Muhammad (dans le rôle de rasoul ou de nabi : le Messager d'Allah dit le prophète). Rappelons que Jésus de Nazareth incarna, pour la postérité, le second rameau trinitaire de la Chrétienté au rang de Fils de Dieu. Mais à la grande différence de ces premiers, ce fut l'amour et la paix que dispensa ce précepteur juif de son état à l'adresse de l'humanité, et non l'inimitié et le meurtre qui sont l'apanage de Muhammad.
Le désordre psychique et les postures mégalomaniaques aperçus plus haut, au même titre que les pathologies découlant de malaises hallucinatoires (troubles psychiatriques iatrogènes, dysfonctionnement corticaux) tels les apparitions et révélations, figurent dans les 9ème/10ème éditions IDC de classification des maladies (International Statistical Classification of Diseases and Related Health Problems*). Il s'agit d'un Manuel statistique et diagnostique des troubles mentaux (DSM-IV)* publié par l'OMS au registre des lésions psychiques, d'où des altérations de la conduite morale, des morbidités et des attitudes asociales.
D'aucuns y associent d'autres catégories de névroses enfouies, tels des êtres apparemment sains d'esprit mais porteurs épisodiques de dysfonctionnements symptomatiques prêts à se réveiller (trouble de la personnalité borderline, hallucinations, hypomanie, schizophrénie cénesthésique...). Celles-ci peuvent présenter des risques de violence subite au contact d'un facteur opportuniste déclencheur (enrôlement en mosquée, militantisme offensif politique, sectaire ou syndical). Dans cette covariance à risques, dont la prévalence toxicomaniaque chez les déviants, les séides placés sous influence seront déstabilisés sous l'emprise d'une dépendance affective qui contrarierait leur code de haine et d'agitation. Ce syndrome délétère relève principalement de facteurs prégnants acquis, plus que d'un antécédent atavique.
A suivre...

Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.

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Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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