Quels que soit la nature des symptômes découlant ou associés à ces comportements hallucinés, on y perçoit un mal-être relationnel conditionné par une détresse obsessionnelle.
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Par Daniel Desurvire
CHAPITRE 10
Quels que soit la nature des symptômes découlant ou associés à ces comportements hallucinés, on y perçoit un mal-être relationnel conditionné par une détresse obsessionnelle.
Chaque type de schizophrénie profile un problème d'adaptation avec ses codes sociaux que peuvent marquer l'insuccès d'une intégration ou un rejet communautaire autour d'une assimilation identitaire mal vécue. Des pulsions névrotiques se catalysent parfois hors de la communauté de façon insidieuse et sans préalable, dès lors qu'un faisceau de circonstances enveloppe le sujet dans un délire méditatif. Tel fut le cas d'un jeune tueur de vingt ans aux États-Unis, Adam Lanza qui, le 15 décembre 2012, assassina froidement vingt enfants et six adultes dans l'école primaire dite Sandy Hook du Connecticut à Newtown : un comportement qui rappelle celui de Mohammed Merah.
La folie meurtrière de ces esprits torturés est parfois due au syndrome d'Asperger, difficile à déceler parce que cette forme de TSA (psychopathie autistique) ; une lésion schizoïde remontant à l'enfance, ne s'accompagne pas d'une déficience de langage ni de carence apparente dans le développement cognitif, mais d'un vice de communication induit par les instruments de sa manipulation. Cette psychose évolue par imprégnation d'un tutorat suggestif, un catalyseur de volition tel un mentor ou un initiateur spirituel. Ce peut être un imâm radical et déviant, un directeur de conscience en apparat de précepteur, un guide martial tel un tyran, voire un chef politique ou syndical. Ici, on y perçoit en toile de fond le syndrome létal d'une lecture indigeste : celle du Coran à l'instar de Mein Kampf.
Un islamiste prêt à tuer, qui sort d'une mosquée après la prière du vendredi les armes à la main, semble relever du même processus d'addiction criminelle spontanée. Peut-on rapprocher les assassinats de masse provoqués par un psychopathe avec ceux qui sont perpétrés par des fous d'Allah qui se croient nantis d'une autorisation de tuer ? Il y aurait-il une analogie entre une pathologie congénitale et un trouble de la personnalité inféré par un dogme qui suggère le mal ? Les tribunaux disposent du matériel juridique pour différencier le criminel responsable de l'assassin mentalement irresponsable, même si l'aboutissement d'une monstruosité ne saurait être différencié dans la mort des victimes. Or, le terroriste musulman qui tue de sang froid n'est-il pas d'abord malade du poison de sa foi, embrigadé dans une tourmente valétudinaire de haine compulsionnelle dont il ne peut en sortir que par une sortie suicidaire vengeresse, comme à se faire exploser dans une foule ou en refusant obstinément de baisser les armes durant sa folie meurtrière ?
En d'autres termes, est-il concevable d'atteindre un idéal théologique par le crime et le suicide pour accéder aux faveurs d'un démiurge, comme le fit Mohamed Merah à Toulouse et Montauban les 11, 15 et 19 mars 2012 ? De fait, ce djihâdiste de 23 ans aura réaffirmé la menace jamais éteinte du terrorisme musulman, lorsqu'il assassinat de sang froid trois parachutistes français, puis encore trois écoliers juifs et un enseignant. Le jeune Merah, un citoyen français d'origine algérienne, s'est filmé durant l'exécution de ses attaques, comme s'il s'agissait d'immortaliser un acte héroïque en hommage à Allah en lui offrant son butin de trophées sacrificiels sur un tapis de sang.
Selon l'analyse retenue, dont le prétexte de ce passage à l'acte lui a été imprimé, ce forcené s'en est pris à des soldats de l'armée en raison de l'implication de la France dans la guerre en Afghanistan, et des écoliers juifs parce que, dans l'étroite instruction de cet enragé seulement imprégné de la propagande injectée dans l'épiderme islamique par les séides du Hamas : " les Juifs tuent nos frères et sœurs en Palestine ". Or, cet antisémitisme remonte depuis l'hégire, autrement dit bien avant la création de l'État d'Israël. Voilà bien un argument cursif qui fait l'impasse sur les milliers de roquettes qui tombent sur le sol et les maisons civiles des Israéliens depuis Gaza, des familles juives égorgées dans la rue au hasard, des bus explosés chargés de voyageurs, des voitures béliers qui écrasent les passants sur les trottoirs et bien d'autres inventions létales.
Ces mercenaires d'Allah sont le produit de leur culture. S'ils sont victimes de leur société, transposée en Occident via l'immigration mahométane, la nôtre est victime de la leur. Cette quête de la mort est encensée par les sectes fondamentalistes, puis récompensée par le Prophète qui promet à ces exécuteurs des rivières de miel et 72 vierges à déflorer (des houris) dans les jardins d'Allah lorsque ceux-ci trépassent après avoir éliminé des kuffār. Ces fous d'Allah enfilent plusieurs caleçons avant de se faire exploser, imaginant épargner leurs organes génitaux pour copuler avec des houris dans le ciel d'Allah ! Doit-on les excuser au motif d'une sujétion atténuant leur responsabilité en regard d'une culture inférée (art. 122-2 du Code pénal) et consécutive à des troubles neuropsychiques (art. 122-1 du même code) ? Ne serait-il pas mieux indiqué, pour éviter cette querelle d'interprétation prétorienne et les désordres jurisprudentiels qui en découlent, mais surtout pour conjurer la propagation des crimes terroristes perpétrés en terre d'accueil au nom d'un culte mortifère, de fermer les frontières aux Musulmans venant de pays suspects car ouverts au fondamentalisme comme le fit Donald Trump ? À défaut, que subsistera-t-il de nos standards juridiques et moraux si le monde libre se laisse ostensiblement annihiler par un dogme expansionniste importé qui se réclame d'un dieu atrabilaire et n'obéit qu'aux seuls canons coraniques ? Cette confession prédatrice foule du pied tout droit séculier découlant des démocraties modernes et de l'égalité des genres que garantissent les constitutions et les droits de l'Homme.
Plus opportun et certes moins dommageable serait de désacraliser la chose, autrement dit d'exiger une réforme éthique profonde du Coran vecteur de ce mal, plutôt que de laisser croire que seuls sont responsables les terroristes soumis au fer de la soumission fanatique dont ils ne peuvent en sortir seuls. Cette manipulation sectaire qui détruit le libre-arbitre des croyants, lesquels sont endoctrinés par cette foi qui prêche la haine plutôt que l'amour et choisit la guerre à la paix, ne s'apparente-t-elle pas aux pratiques de réification ? À fortiori, les Écritures de l'Islam procèdent par la menace et la terreur pour conditionner, voire aliéner les sujets lorsqu'ils ne vont pas jusqu'au bout des incantations que leur inculquent des précepteurs dans certaines mosquées radicales ou depuis les réseaux numériques.
La solution jamais abordée, mais qui s'offre pourtant à l'évidence, serait de réformer le Coran, nettoyer ce livre de ses impuretés morales et criminelles, autrement dit procéder à l'aggiornamento susvisé comme le fit l'Église sous Jean XXIII puis Jean-Paul II à l'occasion du Jubilé de l'an 2000. Si réécrire le Coran peut entraîner une partition du culte, comprenons que les conflagrations entre les sectes islamiques ne sauraient être plus intenses qu'elles ne le sont déjà aujourd'hui, cela depuis l'hégire entre shi'ites et sunnites. En contrepartie, n'accepter en Occident que l'Islam réformé et proscrire la diffusion du Coran tel qu'il est rédigé à ce jour, aurait d'une part pour bénéfice de donner une respectabilité à ce culte et d'autre part, mieux cibler les fomenteurs de troubles d'autre part, notamment mieux choisir les demandeurs d'asile. Quant aux croyants intégrés, lesquels en général méconnaissent le contenu réel du Coran, mais à qui les lobbies ressassent le mensonge d'un Islam tolérant et pacifiste, ceux-là comprendraient alors pourquoi la quasi totalité des guerres et attentats sur la planète les implique.
Il ne s'agit pas ici d'un procès du culte au sens du droit international, mais de rallier l'Islam au monde d'aujourd'hui sans demander aux Musulmans d'abjurer. Comment autrement éradiquer le syndrome du meurtre programmé par procuration auprès de jeunes croyants perméables et fragiles, présentant un terrain propice d'imprégnation, de subjugation et d'intoxication pour propager le crime ? Or en Occident, il est malcommode d'associer le Coran à ces monstruosités dogmatiques, telle une pathologie psychique affectant la capacité de discernement entre le bien et le mal, et faire passer le terroriste en victime innocente parce que malade de sa confusion mentale ou de sa foi. Si de tels sociopathes étaient seulement victimes d'eux-mêmes ou du mal qu'on leur injecte (pithiatisme, conditionnement de l'âme), personne d'assez sensé ne soutiendra qu'un tel meurtrier ne soit que l'outil d'une justice divine, ou le bras armé d'un dieu !
En tout état de cause, l'Islam pratiqué par des croyants échauffés par l'appétence du crime correspond à l'œuvre d'un processus dégénératif avec une prédisposition à l'addiction au meurtre. Comment qualifier un individu privé de toute émotion, capable d'écraser des bébés sous leurs pieds pour les occire sous les yeux de leurs parents, de décapiter des gens devant les objectifs, de lapider des femmes jusqu'au buste pour les broyer sous les sabots de chevaux au galop, voire de les enfermer dans des cages pour les vendre ou les brûler ? Lorsque ces monstres sont amenés devant le prétoire d'une cour d'assise, les juges européens, à l'appui des plaidoiries qui ne peuvent évoquer pour seule excuse un symptôme monomaniaque ou autre pathologie morbide, ont une propension à les déclarer irresponsables car présumés frappés d'altération mentale, tant ces homicides sont monstrueux et semblent ne pas relever de l'espèce humaine ni n'appartenir à la civilisation du XXIe siècle. Mais à cet endroit de la justice, si l'assassin n'est coupable que de sa maladie, l'étiologie de son mal n'est-il pas précisément l'Islam ? D'où le Coran qu'il faudrait interdire en l'état et soumettre cet ouvrage à un aggiornamento pour le laver de ses ignominies, ne serait-ce que pour rendre un semblant de lustre à ce culte funeste.
Lorsqu'il s'agit de millions de fervents et/ou fanatiques sur la planète qui, la main tendue sur l'œuvre sacralisée de leur Prophète, et de l'autre un cimeterre pour tuer encore et encore, ce traumatisme ne saurait être classé comme une maladie, car elle coïnciderait plutôt à un empoisonnement dégénératif, un graal eschatologique, une assuétude contagieuse et mortifère triomphante, telle une résilience comparable aux pires serial killers. Pour qualifier l'instrumentalisation guerrière, féroce et sans complaisance de cette engeance sectaire (pseudo religieuse), comme parvenir à organiser des entreprises de subjectivation de masse autour d'un déification prophétique, l'Occident n'a trouvé qu'un mot pour identifier cette pathologie prédatrice : le terrorisme ; un vocable rarement associé au culte musulman ainsi vu plus haut, même si cette évidence s'impose de façon incontournable dans les faits et l'actualité quotidienne, même si ces adeptes du Prophète revendiquent leurs crimes cultuels au cri d'Allahu akhbar ! (Cri patriotique du djihâdiste armé).
A suivre...
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