JDO-Univers est une entreprise franco-corse de jeux vidéo qui vient d'éditer un jeu de rôle (sur table) issu d'un univers dans lequel les joueurs vont pouvoir évoluer.
Plongez dans l'univers du roman de Jean-Michel Martin avec vos amis et prolongez l'aventure en affrontant les dangers des Terres Désolées. Les pillards, le Chapitre, les Étrangers Pâles, une horde de Chimères sauvages, quelle faction finira par avoir votre peau ?
Jean-Michel Martin, co-fondateur du studio JDO-Univers, nous ouvre les portes d'un univers à la mythologie complète et complexe dans son premier roman, Le Journal de l'Observateur. Aujourd'hui, il invite son publique à prendre part directement à l'aventure.
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Le Journal de l'Observateur : Le jeu de rôleLe contexte
Au printemps 2015, sept Titans d'Ombre et de Chaos ont émergé du sol en sept points du globe. Après s'être rassemblées dans le désert égyptien et avoir convoqué une armée de créatures nommées les " étrangers pâles" , les Ombres sont passées en sous-sol et la trace des monstres colossaux de plusieurs dizaines de mètres de haut a été perdue. A la suite de cet évènement qui sera nommé l'Avènement des Ombres, le temps des humains était compté...
Entre le second avènement des Sentinelles de 2015 et l'arrivée du Berger des Étoiles, la Terre connut un temps de chaos et de profonds changements. Les survivants de l'avènement des sentinelles se rassemblaient en clans indépendants, survivants comme ils le pouvaient. Certains de ces clans combattaient obstinément les étrangers pâles et ralentissaient l'érection des Tours Noires. Les Treize Cauchemars, avatars de Dieux anciens et oubliés, avaient profité du chaos pour franchir le voile et prendre pied dans notre monde. Les Chimères, ces créature monstrueuses qui naissaient dans le sillage des Sentinelles, se multipliaient. L', une armée composée d'anciens militaires qui se présente comme des défenseurs des survivants ne s'avéraient au final n'être qu'une bande de pillards surentrainés et extrêmement bien armés. D'autres groupes, sans foi ni loi, s'organisaient également pour harceler l'ANR et les camps de survivants sur leurs territoires respectifs.