Cette guerre touche à sa fin, mais on meurt encore sur les champs de bataille : les Alliés, bénéficiant grandement du renfort américain, repoussent l’armée allemande et récupèrent des armes dans la foulée (51 canons sur la rive ouest de la Meuse, comme le signale Excelsior en page 3). Les empires ottoman et austro-hongrois ont capitulé, isolant une Allemagne où gronde la Révolution. C’est le refus de combattre des marins de Kiel qui lance le grand chambardement. Celui-ci est imminent, et précipitera la fin du conflit.
Cette fin prochaine des combats est illustrée, toujours dans Excelsior (page 4) par un dessin de Lucien Métivet :