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Les zones d’ombre du Bataclan 2

Publié le 29 novembre 2018 par Observatoiredumensonge

Que reste-t-il de la mémoire du carnage au Bataclan ?

Les zones d’ombre du Bataclan 2

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Observatoire du MENSONGE

Par Daniel Desurvire

Que reste-t-il de la mémoire du carnage au Bataclan ?

CHAPITRE 2
2°) Quand le complotisme social-démocrate, de l'Élysée à Matignon, se pare de fausses vérités pour dédouaner l'objet du crime. Ainsi l'État français qui participa du blanchiment de l'Islam après le carnage au Bataclan

Au nom d'un melting pot léthargique et insouciant jusqu'à l'irresponsabilité, pour protéger les intérêts stratégiques de la France et de l'Allemagne qui commercent avec les émirats du Golfe, il s'agit de ne pas porter ombrage à la communauté musulmane, ainsi la Turquie membre de l'Otan ou du Qatar grand investisseur en France. En l'occurrence, il s'agit de ne pas noircir davantage l'image de l'Islam déjà passablement flétrie par ses intolérances, ses barbaries dans ses rangs terroristes, voire éviter des représailles de patriotes contre les confréries islamiques retranchées dans les zones de non-droit. La vérité a ainsi été confisquée aux Français ; pourquoi, pour qui ? Parce que l'État oligarque juge que les citoyens du terroir ne sont pas prêts à accepter cette réalité politiquement incorrecte, que le peuple n'est pas assez mature et risque de sombrer dans un conflit de civilisation que précisément recherche l'Islam intégriste.

Les zones d’ombre du Bataclan 2


Mais en filigrane, il s'agit aussi que ne soit jamais révélées les concussions de nombreux dirigeants, dont certains proches de François Hollande qui ont déjà été inquiétés au motif de corruption, d'enrichissement personnel, du blanchiment des bakchichs aux couleurs des pétrodollars du Golfe, puis de fraude fiscale via des sociétés offshore, cela dès les premiers mois de l'élection présidentielle du 6 mai 2012. La vérité perçue en arrière des informations falsifiées, lorsqu'elle dérange, doit être désapprise, gommée, et tant pis pour les dégâts collatéraux ! Mais surtout, il ne fallait pas ternir la politique pro-migratoire en faveur de milliers de Musulmans engagée par l'Union.
La vérité " vrai " sur ce drame, qui fut reconnue pour être de l'Info par Valeurs actuelles et de l'intox pour Le Monde, l'information, quelle qu'elle soit, est certes à prendre avec circonspection. Mais n'en déplaise à l'oligarchie élyséenne, les victimes du Bataclan n'ont pas seulement été tuées par balle, mais certaines d'entre elles ont été torturées avant d'être occises. Ces actes gratuits qui ont été dissimulés par les pouvoirs publics, ne relèvent pas d'une surenchère populiste d'extrême droite contre l'idéologie musulmane, ce qui servirait la dialectique des prétendues bonnes consciences, mais d'indices concordants constatés par des familles et proches des victimes, puis par des observateurs étrangers que le droit international interdit de taire. En outre, les parents des jeunes gens, qui furent lâchement assassinés, ne sauraient être assimilés à des comploteurs et pas plus que certains États membres de l'Union, ainsi la Grande-Bretagne, plus bavarde que la presse française sur ce chapitre.
Valeurs actuelles a fondé ses allégations en épluchant le procès-verbal de la commission d'enquête parlementaire disponible en ligne (déposé le 5 juillet 2016 sous le numéro 3922, donc consultable sur l'internet). Quelques policiers font état de scènes tragiques insoutenables, d'énucléations oculaires, d'émasculations et de décapitations. L'un de ces agents de la police judiciaire rapporte avec force détails : " Il y a eu des personnes décapitées, égorgées, éviscérées... Il y a eu des mimiques d'actes sexuels sur des femmes et des coups de couteau au niveau des appareils génitaux. Si je ne me trompe pas, les yeux de certaines personnes ont été arrachés ".
Un père de l'une des victimes relate sa démarche pour la reconnaissance de son enfant à la morgue, assisté par un psychologue qui l'a prévenu avec précaution que seul le côté gauche de son fils était présentable. Autrement dit, un œil avait été extrait de son orbite et le reste du visage écrasé. Nonobstant ces faits macabres qu'aucun parent n'oserait inventer en de telles circonstances, tout fut contesté en vrac par le préfet de police et par le directeur de la PJ : " Les blessures que décrit ce père peuvent aussi avoir été causées par des armes automatiques, par les explosions ou par les projections de clous et de boulons qui en ont résulté ". Oui mais... ces représentants de la Républiques ont-ils seulement fait la démarche d'aller examiner l'état de mutilation ou de dislocation de ces corps refroidis dans les tiroirs de cet institut médico-légal parisien, ou feraient-ils le jeu des caudataires politiques du régime ?
Pourtant, selon le député et magistrat (ancien premier juge d'instruction, puis procureur-adjoint au TGI de Bourg-en-Bresse et substitut général à la Cour d'appel de Lyon) Georges Fenech : " On lui aurait mis ses testicules dans la bouche ". Cette torture, aussi cruelle qu'infâmante, était une pratique très courue parmi des membres du FLN contre les civils et militaires d'origine métropolitaine durant la guerre d'Algérie. Cela sous-entend que ce répugnant supplice, hérité des pratiques barbares des Musulmans séditieux du Maghreb entre 1954 et 1962, est toujours enseigné dans les milieux criminels, vraisemblablement dans certaines mosquées intégristes et les sombres quartiers des zones de non-droit essentiellement arabophones.
Pour enfoncer le clou, le Daily Mail (éditorial britannique) allégua que le Gouvernement français aurait interdit les médias de répandre de telles informations à propos des monstrueuses tortures infligées à plusieurs victimes durant cette attaque terroriste au Bataclan. Le Daily Mirror relate à son tour le témoignage de deux survivantes qui déclarèrent avoir entendu des hurlements de douleur, qu'elles relient à de tels actes en l'absence de coup de feu. Enfin, sachant que les tabloïds anglo-saxons n'ont pas forcément bonne réputation, le site Heatstreet mena une enquête contradictoire mise en ligne, regroupant plusieurs autres témoignages venant d'indiscrétions depuis l'institut médico-légal et des corps de police, aboutissant à la conclusion incontournable d'extraction d'organes au couteau, de décapitations et autres tourments physiques sur les malheureux enfermés durant plusieurs et longues heures à la merci de leurs tortionnaires. Qui se permettrait de répandre des fake news aussi horrifiantes, sinon pour boucaner du tabloïd par sadisme ?
La presse dite mainstream (sous contrôle de l'État, consensuelle ou placée sous la menace de violence économique) emboîta le pas au journal Le Monde et contesta ces révélations insoutenables. Le procureur de Paris, François Molins, les nia en bloc, ce qui sous-entend une partialité obséquieuse, sachant bien que refuser de croire que ces terroristes, armés de fusils automatiques, ne soient pas équipés d'armes blanches, est une gageure. La vérité ne saurait siéger dans la seule affirmation de fonctionnaires qui ne font que communiquer ce que le pouvoir politique leur dicte, en rappelant que les policiers et magistrats de l'ordre administratif sont hiérarchisés, donc aux ordres de l'État. La réponse de Matignon, par dissimulation et inversion des victimes par la semonce " pas d'amalgame ", car prévenu par des nonces musulmans embarrassés de l'impact négatif qui en rejaillit contre leur communauté du fait de ce nouvel attentat islamiste, est aussi une spécialité de la justice administrative.
D'aucuns doutent de la probité des déclarations de certaines des familles des victimes, eu égard à leur temps de réaction tardif, alors même que les autorités leur interdirent l'accès aux corps des victimes les jours suivants le carnage. Il faut comprendre ces familles qui n'imaginaient pas en ces moments de douleur et de sidération, que l'État français allait leur confisquer le droit de communiquer, cela en menaçant les médias susceptibles de relayer les informations des parents. Il ressort que le 4ème pouvoir dit alternatif (les non-alignés du cercle social-démocrate), lesquels ont pris le relais pour lever ce couvercle de silence, furent taxés de paparazzi pour tabloïd, d'affabulateurs, voire de fomenteurs de trouble. Nul doute que cette mystification cache une autre vérité puisque derechef, l'exécutif a lancé un appel à la responsabilité à dessein d'éviter de fâcheuses confusions autour de la communauté musulmane, afin de " contrôler l'émotion suscitée par ce carnage ".
Les conclusions de la commission d'enquête relative aux moyens mis en œuvre par l'État pour lutter contre le terrorisme ne sont pas seulement accablantes pour la DGSI et la DRM dont elles pointent les dysfonctionnements, mais elles attestent de la mainmise des pouvoirs publics sur les libertés fondamentales au nom d'un consensualisme dit citoyen, mais en toile de fond complice d'un multiculturalisme débridé. Derrière cette omertà fatalement suspecte, viennent se glisser des manœuvres fallacieuses venant de représentants élus par le peuple suborné. Vraisemblablement en aval, des pratiques politico-diplomatiques de la chancellerie se combinent pour maintenir des relations économiques et commerciales avec les pétromonarchies de la péninsule arabique, nonobstant les plus grands pourvoyeurs de corruption et argentiers du terrorisme sunnite, dont une partie des tractations vient grossir des portefeuilles, certes moins patriotiques, dans les paradis fiscaux à l'abri des indiscrétions.
Ledit rapport d'un millier de pages, mis en œuvre par l'État contre le terrorisme depuis le 7 janvier 2016 (tome II), reproduit les comptes rendus d'auditions. Ce document n'est pas seulement accablant pour les services de renseignements qui ont mis en place la loi relative au renseignement depuis juillet 2015, complétant le Livre de la Sécurité intérieure , mais il pointe l'incurie d'un système qui pénalise bien davantage les Français lambda, à qui les hackers et barbouzes du Gouvernement siphonnent toutes leurs informations, même les plus intimes. Réciproquement, les islamistes parviennent à échapper aux filtres de la communication et à la surveillance du Big-Brother de la place Beauvau. Allez donc tracer un clandestin apatride dans le dédale impénétrable des squats, des bidonvilles et des sombres caves d'une cité arabophone au milieu d'une zone péri-urbaine de non-droit !

Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.

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