Le mouvement des Macchiaioli se développe à Florence à partir de 1852 où un groupe de peintre se réunit au Caffeè Michelangiolo . Ces artistes que l’on qualifie parfois d’impressionnistes toscans s’affranchissent des règles académiques, du dessin et des contours. Ils appliquent la couleur de façon approximative. D’où le vocable péjoratif qui littéralement signifie tache d’huile. En 1867 Diego Martelli, critique d’art et mécène fondes la Gazzettini Delle Arti del designo La revue sera le trait d’union entre les peintres non seulement toscans mais Italiens.
Antonio Puccinelli est considéré comme le précurseur du mouvement. Lui et ses amis sont proches de Degas qu’ils retrouvent à Paris à partir de 1870. Le mouvement a rassemblé Silvestro Lega, Giovanni Fattori, Telemaco Signorini, Odoardo Borrani, Adriano Cecioni, Angiolo Tricca, Eugenio Prati puis Antonio Mancini et Giovanni Boldini.=Giuseppe Abbati = Cristiano Banti =Stefano Bruzzi =Vincenzo Cabianca=Giovanni Costa, =Vito D’Ancona =Giuseppe De Nittis,= Adriano Cecioni, =Giovanni Fattori,=Silvestro Lega, Luigi Bechi , Odoardo Borrani, Ferdinando Buonamici, Niccolò Cannicci , Serafino De Tivoli, Francesco et Luigi Gioli, Raffaello Sernesi, =Federico Zandomeneghi
Une grande exposition a été consacrée aux Macchiaiolià l’Orangerie en 2013. J’avais à cette époque consacré un billet à cette exposition Également à Bramante
Adriano Cecioni – Il-Caffeè-MichelangeloVincenzo Cabianca – La partenza della paranzaTelemaco Signorini Bambina che scriveGiovanni Fattori – Silvestro Lega che dipinge sugli scogli