L’en d’un pont qui pour être dépliant ses lames,
Un éventail de minces couperets d’acier,
L’en épanouissement d’une longue trame.
L’en l’air où pousse le plancher vers nulle rive,
Un front en contre ciel comme un brûlant glacier,
Et l’horizon s’incline pour que ça survive.
Et dominer en eau où fièvres s’évaporent,
En jointure pour enchaînements volatiles,
En faisceaux pour percer les cryptes métaphores,
Les danaïdes puits au prétendu futile.
Ne devoir qu’à respirer ce souffle intérieur
Exhalé du plus impalpable des mémoires,
Ces songes revenus qui précèdent les heures,
De renaître toujours comme un feu dans le noir.