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Les zones d’ombre du Bataclan

Publié le 27 décembre 2018 par Observatoiredumensonge

Le terrorisme n'est pas suffisamment combattu par nos gouvernants, plus occupés à commémorer...

Les zones d’ombre du Bataclan

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Observatoire du MENSONGE

Par Daniel Desurvire

Que reste-t-il de la mémoire du carnage au Bataclan ?

CHAPITRE 6 et fin

Il ne fallait surtout pas affoler plus les Français en racontant vraiment ce qui arriva au Bataclan : les atermoiements des autorités françaises...
Selon la gouvernation du " contenu retiré en fonction du pays émetteur ", la démocratie a perdu son âme, exactement comme le souhaitent et y travaillent les fondamentalistes musulmans promoteurs d'un grand khalifat hiérocratique, déjà donné gagnants sur ce registre à l'agonie de nos libertés, avec l'éradication des standards constitutionnels et l'effondrement des sacro-saintes valeurs éthiques et laïques. Le bouleversement des fondamentaux qui président à notre civilisation s'examine au prisme d'une théologie maligne, aux versets comminatoires et meurtriers. L'inversion de la morale et l'absorption de nos canons démocratiques s'observent depuis la montée en charge de l'émotion suscitée par la lecture le Coran, où gravitent la peur, la haine, l'avanie et l'excitation perverse dans la violence. Comment les Musulmans lambda parviennent-ils à gérer cette fâcheuse proximité des leurs, intégristes, pervers et terroristes, en acceptant que ceux-là partagent le même culte, récitent les mêmes prières, puis encore culpabilisent leurs coreligionnaires qui ne prodiguent pas leur idéologie délétère et mortifère ?
Tels sont les parcours de Daesh, de Boko Haram, d'Al Qaïda, du Hamas, des Frères musulmans, du Hezbollah, d'Ansar Eddine, de la Jamaat-e-Islami, de la Sharia Jamaat, d'Al Shabaab, de l'OLP et même du Fatah, puis de tant d'autres nébuleuses terroristes qui se ressourcent dans les pages du Coran ; un creuset chthonien du crime et de la perversité. Si les horreurs commises au Bataclan - à l'instar de tant d'autres attentats perpétrés par des islamistes endoctrinés dans cette spirale mortifère, - sont l'œuvre d'individus fascinés par ce mal coranique, il n'en demeure pas moins qu'un voile de silence honteux recouvrit les horreurs commises au Bataclan.

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Voyons plutôt derrière cette chape de plomb élyséenne qui masqua le pire des atrocités perpétrées par des fous d'Allah, une connivence vénale de certains élus pusillanimes au pouvoir. Ce drame n'aurait pu être envisagé sans le financement du terrorisme par des mollahs, ayatollahs, émirs et têtes couronnées de la péninsule arabique, assurément les argentiers des réseaux terroristes, mais compères plénipotentiaires du quai d'Orsay. Le prince héritier d'Arabie Saoudite, Mohammed ben Salmane, n'a-t-il pas été invité le 9 avril 2018 à dîner à l'Élysée par le Président Français Emmanuel Macron ? Mohammed ben Nayef Al Saoud, alors ministre de l'intérieur de ce royaume, n'avait-t-il pas reçu le 6 mars 2016 en toute discrétion la Légion d'honneur de la main du chef d'État François Hollande ? Pourtant, toutes ces têtes couronnées sunnites de la péninsule arabique, à l'instar de l'antimonde shi'ite pour une calamité annoncée venant de l'Iran, figurent parmi les pires dictateurs, exécuteurs sanguinaires et farouches adversaires des droits de l'Homme - surtout ceux de la femme - et de tout ce qui se rapporte aux libertés, à la démocratie et à la laïcité.
De fait, à cette guerre panislamique que mènent de front ces potentats musulmans - là où la mort est préférée à la vie et la guerre à la paix - s'ajoute la corruption offshore dont profite un corps politique engagé dans les intérêts pétroliers et gaziers, dans l'industrie lourde de l'armement de guerre. D'autres affairistes crapuleux, profitant des bonnes relations géopolitiques entre les États européens avec les théocraties d'Afrique et autres républiques islamiques du Proche-Orient, se vautrent dans les trafics de drogue dont le Pavot, le khat et le cannabis, notamment avec les dynasties alaouite et hachémite, puis l'Afghanistan, la Turquie, le Yémen, l'Éthiopie, la Somalie, la Mauritanie, le Nigéria, le Bénin, le Kenya, Djibouti....
En choisissant, depuis le pinacle du pouvoir politique, de dissimuler aux médias les abominations commises au nom du gourou mahométan de l'Islam, l'État socialiste, au trémolo vertueux d'une litanie qui prêche le " vivre ensemble ", aura choisi de protéger la notoriété de ce culte aux rameaux prédateurs, plutôt que d'informer avec honnêteté et rigueur les citoyens de la sinistre réalité de cet Islam à laquelle ils sont tous potentiellement exposés... en première ligne !
Quant aux victimes, les vraies, celles qui ont perdu la vie dans cette salle de spectacle du 11ème arrondissement de Paris, qui saura vraiment dans quelles conditions ils vécurent les atrocités à l'issue desquelles ils périrent dans la fureur et l'indignité de leurs tortionnaires ? Quid de l'indifférence de décideurs politiques, fonctionnaires et militaires, lesquels auraient pu porter secours bien plus tôt aux centaines de captifs s'ils avaient eu le courage de bousculer la torpeur d'un stupide règlement ? Pourquoi ne pas avoir rompu cet immobilisme entre ces atermoiements, autant dire devancer les ordres qui ne venaient pas, voire désobéir aux tergiversations de gradés et d'élus, incapables ou irresponsables, lesquels plaçaient les forces de l'ordre sur place dans une situation d'abstention volontaire de porter assistance à des personnes en péril (article 226-6 du Code pénal) ?
Quant aux autres victimes, celles dont on parle moins mais qui resteront profondément handicapées durant tout le reste de leur existence, ou traineront avec elles jusqu'au bout de leur chemin de vie les stigmates psychiques d'un être cher disparu, qui leur enseignera mieux, sinon par le vécu de leur effroyable expérience, la triste réalité du dogme musulman associé aux mitraillages des kalachnikovs et des tortures à l'arme blanche ?
Quant au[x] terroriste[s] musulmans - islamiques pour les puristes de la langue de bois - du 13 novembre 2015 au Bataclan, présumés enfuis et dont le nombre dedans et dehors du bâtiment ne fut jamais certifié, leur témoignage, s'ils étaient capturés vivants, pourrait vraisemblablement compromettre une certaine impunité que dissimule l'omertà du pouvoir sur cette effroyable affaire. Par analogie à la conjuration politique autour de l'assassinat énigmatique de JFK en 1963 à Dallas, ces criminels ont-ils été vraiment dénombrés et ceux qui se sont enfuis positivement recherchés ?
FIN

Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.

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Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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