Je pourrais en faire des caisses sur les qualités du dernier roman de Julien Blanc-Gras. Je pourrais dire qu’il n’y en a pas deux comme lui pour réussir à rester drôle en traitant des sujets profonds. Je pourrais multiplier les extraits de Comme à la guerre pour vous le prouver. Mais je ne le ferai pas.
Parce que je connais Julien, et que je m’en voudrais de ne chroniquer que les livres des copains alors que je n’écris ici que quatre fois par an.
Je ne vous parlerai pas de Comme à la guerre, donc.
Ce que je peux faire, en…