La Belgique en 1880 est un très jeune pays Elle doit s’affirmer dans le concert des nations. Dans le domaine littéraire et artistique elle a un rôle novateur. Aussi, à côté du courant français, né le symbolisme belge avec les poètes et/ou écrivains Émile Verhaeren, Charles van Lerberghe , Max Elskamp, Georges Rodenbach, ou encore le dramaturge Maurice Maeterlinck , Prix Nobel de littérature en 1911
Le symbolisme belge concerne également des peintres, notamment Félicien Rops =Léon Spilliaert = James Ensor
Mais aussi : Bellor =Henriette Calais =Anto Carte =Albert Ciamberlani =Jean François De Boeve ==Georges Minne = William Degouve de Nuncques =Jean Delville= Émile Fabry =Léon Frédérick =Henry de Groux =Fernand Khnopff =Auguste Levêque =Xavier Mellery =Constant Montald ==Valérius De Saedeleer = Gustave van de Woestijne
L’universitaire et conservateur Michel Draguet, spécialiste de ce courant artistique a consacré un ouvrage qui fait référence en la matière. En 2010, le musée d’art moderne de Bruxelles a organisé une exposition « Le symbolisme en Belgique » Par ailleurs, en 2013 a été inauguré, à Bruxelles, le Musée « Fin de Siècle » 1868-1914
Et une exposition est actuellement consacrée à Fernand Khnopff au Petit Palais
Quelques œuvres
Jean Delville – L’ange des splendeursFélicien Rops – La tentation de Saint-AntoineFernand Khnopff- Marguerite Carlos Schwabe -La Mort du fossoyeur Léon Frédéric– Le repas de funérailles William Degouve de Nuncques- Les-PaonsXavier Mellery – La Ronde des heuresJames Ensor – La mort et les masquesLéon Spilliaert – Sans titreVidéos