U.S.A ! La planète n’est pas un western !

Publié le 07 avril 2019 par Georgezeter

Que sont d'incroyables fauteurs de troubles les U.S de Trump qui " drive " le bouzin. Entre ses prises de bec avec le petit rondouillard de Corée du nord, avec carrure d'armoire à glace Nicolas Maduro du Venezuela, les noms d'oiseaux qui volent avec le sanguin Duterte des philippines, le mépris avec Merkel, avec les Ukrainiens, avec les russes, les chinois, les iraniens, sans compter le souk qu'il met dans les pays arabes, avec la reconnaissance de Jérusalem comme capitale d'Israël, et en plus se mettre à dos la Syrie, en donnant le plateau du Golan à son grand pote/despote Netanyahu. Son intervention dans les élections du Brésil et l'élection de Bolzano et certainement l'emprisonnement de Lula. L'obsession depuis longtemps et ça continue de mettre le nez dans les pays du sud Amérique, d'ailleurs surnommés " l'arrière cour ", car, tout ce qui sonne, socialiste, droits de l'hommiste, ou droits sociaux est aussitôt démolit d'une manière ou d'une autre. Ne parlons pas de cet idiotique embargo contre Cuba qui dure depuis 1961. Quant au Mexique ? C'est carrément la colonisation... En dernier pour la bonne bouche : son joujou favori : l'emmanuel macron qu'il traite comme une carpette à chaque fois qu'il se rencontre...et sur ce coup là il n'a pas tord, moi je ferai encore pire avec l'avorton...

Depuis 1945, les états unis n'ont eu de cesse de créer la zizanie à travers le monde et monter des coups tordus avec la CIA. La guerre froide au nom de la lutte contre le communisme ( guerre de Corée et du Vietnam). Le soutient sans concession d'Israël avec la Palestine et ses menées avec le reste des pays arabes, puis la lutte contre le terrorisme, Irak, Afghanistan, Lybie, Syrie. Ce pays-continent devrait être mis au ban des nations de par sa politique hégémoniste et violente. La planète terre n'est pas un remake du western duel à ok corral, mais, une boule bleue qui tourne dans l'espace sidéral ; Ses habitants voudraient vivre en paix, pouvoir éduquer leurs enfants, manger à leur faim, être en bonne santé, vivre et mourir, heureux, en paix... Il est vrai qu'il y a ces fameux 1% dont fait parti Trump, et surtout les 0,1%, qui eux devraient être déportés dans l'espace sans billet retour, car carrément nocifs à l'espèce humaine.

On pourrait croire du fait qu'une masse de rejetés du continent européen à peuplée les états unis jusqu'au 1 er quart du 20 ème siècle en serait la raison : des renégats, des prostituées, des laissés pour compte, des aventuriers, des criminels et j'en passe, ferait peut être croire d'où vient cette violence ressentie comme latente lorsqu'on vie sur les terres américaines : la bible dans une main, le colt 45 dans l'autre et au milieu ? La peine de mort. Une politique mortifère qui consiste à se mêler des affaires des autres, à vouloir les asservir, les dominer, les manipuler, les écraser. Pourtant, question émigration forcée, d'implantation de population blanche en terres de gens colorés, il en a été de même pour l'Australie, la nouvelle Zélande, et peut être en partie pour le canada : ces mêmes pour différentes raisons virent peupler/coloniser, souvent exterminer les peuplades de l'endroit ; Pourtant, de nos jours, les trois pays cités sont pacifistes, tranquilles et le taux de criminalité bas ; donc : what's wrong with oncle Sam ?

Un décalage total entre la population et ses dirigeants

Simple : en dessous du demi millions de dollars par an, vous ne pouvez pas prétendre d'être un humain, de plus, selon l'idée que si vous êtes riche, c'est que dieu en a décidé ainsi, fait que, lorsque nous nous plaignons en France de notre élite décérébrée, arrogante, là bas, elle est assassine, sans aucun scrupule et ne recule devant rien persuadée de son droit divin.

L'américain de base est en général un bon mec, je ne parlerai pas de ces " dames " nourries au féminisme... Donc, un peu cowboy nostalgique des grands espaces et the frontier. Malheureusement, il a tété au biberon d'une propagande, qui rendrait celle de Staline sympathique. Dès le berceau c'est bannière étoilée, chants patriotiques pour la moindre partie de base ball et intérêt à se lever dans le stade lorsqu'une gloire locale entame The Star-Spangled Banner, sinon, un coup à se faire lyncher. Un mec a dit : " pour devenir très riche en Amérique, crée ta religion ", et donc, il y a une foultitude d'églises, on se croirait dans un Vatican géant, surtout les états sudistes, là où on n'aime pas les " bronzés ", alors, pour se dédouaner, on invoque le puissant... Blanc, bien sûr ! Arrivé à l'âge adulte, le citizen moyen, a vécu en vase clos persuadé qu'il est dans la meilleure démocratie du monde, que lorsque les boys sont envoyés a l'étranger c'est pour apporter la paix à tous ces sauvages, que les dimensions du monde se cantonnent entre les frontières du Canada et du Mexique et entre deux océans, que big is beautiful, à l'inverse des froggs (ces collabos) qui eux pensent que tout ce qui est petit est mignon ; et pour tous ces arguments, l'Amérique se permet d'écraser la gueule à coup de rangers le reste des bipèdes indistincts peuplant notre univers...

Si le mec de base est un peu bourrin, mais sympa, ouvert, accueillant, généreux, même naïf et bonne poire, il n'en va pas de même avec ceux d'en haut à Washington DC... Franchement un ramassis de criminels à par quelques exceptions. Sont capable de tous les crimes, atrocités, mensonges, trucages, manipulations qu'un terrien peut accomplir : c'est la vraie école du crime organisé. En plus, d'une hypocrisie incroyable. Il y a deux choses que les désignés " spécialistes " français qui blablatent sur les States devraient connaître :

1) La culture du : ne jamais rien admettre/reconnaitre même lorsque c'est si évident qu'un bébé de trois mois pourrait piger, NE RIEN, JAMAIS admettre !!!

- 2) Ne jamais dire les choses mais les suggérer. Un exemple : l'assassinat de J.F Kennedy. Au lieu qu'il y ait une chaine de conspirateurs qui désigne un tueur ou des tueurs, cela a été plutôt ainsi : dans " certains " milieux et centres de pouvoir le " petit bourge bien éduqué " commençait a chauffer pas mal de gens : le FBI, la CIA, les cubains, la mafia, le Pentagone, dans les couloirs il se disait " il nous emmerde le catho ", pas plus...Cela s'appelle a conspiration, comme un peu se monter le bourrichon dans l'entre soi, et en venir à avoir des pensées glauques, qui à force de manipulations, de lavage de cerveaux aboutissent à ? Pan ! pan ! pan ! bye, bye, t'es mort John !

Ces gus là ne reculent devant rien et en plus restent clean à l'exemple d'un Henry Kissinger. Cent fois criminel de guerre après le bombardement du Cambodge, mais pourtant nobélisé, honoré, décoré, ou encore un Edgar Hoover mort dans son lit, méritant la corde comme boss machiavélique du FBI durant 1 demi siècle, ouvertement homophobe et pourtant...Lui-même de la jaquette... Yé, man, That's America!

Avec de telles références, l'administration actuelle n'hésitera pas à provoquer la fin de l'espèce, c'est du " après moi le déluge " ils s'en tapent la selle de cheval, western ! Alors, rien d'étonnant que Trump soit la forme de synthèse de toute cette malfratitude, aimée par une majorité d'américains : ne pas oublier que si chez nous les héros sont Bayard ou lancelot du lac, là bas c'est Dillinger, Al Capone, Bonny & Clyde...Et, yes, nous n'avons pas les même valeurs ! Alors, Donald...imaginez un president français se prénommant Félix, Achille ou Gaston, à se croire dans une BD ; bref, Donald avec ses grosses boots entre dans un magasin de porc ce haine et culbute toutes les fioles ( et ne poussons pas jusqu'à tafiole, non !)...Ben ? c'est ça, le rougeot dégarni qu'il est : un gros goret dans un champ de coquelicots balayé par un vent...De napalm. Du Robert Duval dans Apocalypse Now : " j'adore l'odeur du napalm au petit déjeuner ! "...Tout est dit par Toutatis !

Mes excuses pour tout ce franglais dans le texte, mais les states étant les U.S...