Les amateurs de bière se disputent beaucoup de choses, mais il y a une chose sur laquelle nous sommes tous d'accord: il y a lot des brasseries là-bas aujourd'hui. D'autres se sont disputés à des degrés divers, que ce soit une bonne ou une mauvaise chose, un nombre trop élevé de brasseries ouvertes trop tôt et pourquoi vous ne voulez peut-être pas ouvrir une brasserie vous-même. Cette semaine, nous allons passer à la fin de la page: que se passera-t-il dans le cas où il y aurait est (ou sera) une bière artisanale "bulle", et il apparaît?
Un grand nombre des milliers de brasseries artisanales ouvertes aujourd'hui vont fermer leurs portes.
Beaucoup d'entre eux seront victimes d'identité ou d'attitude, pas de la qualité du produit. Brasser une bonne bière ne les sauvera pas.
"Mais pourquoi pas, espèce de paresse, prétentieuse et bloviante?"
Tout d'abord, c'est assez de la dénomination, merci beaucoup. Mais la réponse est que les mécanismes traditionnels du choix du client sont compromis par des attitudes qui font de la qualité de la bière une considération secondaire (ou tertiaire, ou quaternaire). C'est une très mauvaise chose pour la qualité de la bière et la bière artisanale en général.
"Il suffit de brasser une bonne bière (bêta supprimée)"
Un ami brasseur a une philosophie simple (explicite): "Il suffit de brasser une bonne bière (détruite)." L'essentiel est que brasser de la bonne bière couvre toutes sortes d'autres problèmes. La plupart du temps, je suis d'accord avec lui et cette attitude explique en partie le succès et la croissance de sa brasserie. Brasser plus de bière et meilleure bière - faites cela et le reste sera probablement clair. Cela l'a gardé concentré sur la qualité de la bière et non sur les distractions causées par Big Boom de la bière artisanale.
Je ne suis tout simplement pas sûr que ce sera suffisant pour le Big Crunch de la bière artisanale. (Rappelez-vous - aux fins de l'argument d'aujourd'hui, nous supposons est à venir.) Dans un récent Chicago Tribune Sam Calagione, propriétaire de Dogfish Head, a déclaré: "Ce sont ceux qui ont la qualité, la cohérence et la volonté de bien se différencier ... qui seront couronnés de succès.
Je ne l'achète pas (sans jeu de mots).
Les paramètres du débat dans le brassage artisanal d'aujourd'hui semblent tourner en grande partie autour de ce qui est et n'est pas du "métier", et autour de ce qui est un comportement "artisanal" approprié. Combien de barils devant une brasserie est une "grande" brasserie? La collaboration va-t-elle continuer? Est-il approprié que les brasseries ouvrent des deuxième et troisième brasseries dans d'autres régions? L'expansion et la concurrence conduisent-elles les brasseurs artisanaux dans un conflit inévitable? Combien de temps l'artisanat peut-il s'étendre? Quel rôle auront les investisseurs en capital-investissement? Combien de brasseries seraient trop nombreuses? Cependant, dans tout ce débat, il manque une chose: Discussion de fond sur l'importance de la qualité de la bière.
Je ne plaisante pas quand je dis que cela presque jamais vient quand je parle aux brasseurs. Chaque fois que j'entends parler de qualité, j'entends parler du comportement, de la crédibilité, de la réputation et de l'identité d'une brasserie. Et cela n'est pas parce qu'il n'y a pas de mauvaises brasseries artisanales. Nous en connaissons tous au moins quelques-uns. Certains observateurs du marché ont même suggéré que une majorité des nouvelles brasseries ont du mal à produire de la bonne bière.
Nous savons donc que la qualité de la bière est un problème sur le marché (même si cela n'est pas toujours discuté). Et nous savons qu'une contraction du marché est possible, peut-être probable, et (pour nos besoins aujourd'hui) même inévitable. Alors qui vit?
Geeks de la bière et les brasseries de cafard
Ironiquement, la qualité de la bière importe peu (peut-être) pour prédire qui survivra à l'apocalypse de la bière artisanale. Ce qui importera le plus, c'est de savoir comment les geeks de la bière pensent de la bière artisanale et comment cette identité influence leurs achats. En d'autres termes, c'est plus psychologique que pratique, et de nombreuses brasseries qui brassent mal vont battre les brasseries les plus performantes.
Intention d'achat est un concept assez simple: qu'avez-vous l'intention d'acheter? Il existe des dizaines de modèles pour le prédire, mais la plupart reposent en grande partie sur deux principes fondamentaux: le bénéfice perçu (combien vous aimerez boire cette bière) et le coût anticipé (ce que vous dépenserez pour cette pinte). En termes pratiques, cela suggère que les buveurs de bière rechercheront la meilleure bière qu'ils puissent obtenir au prix le plus bas.
Mais pour "l'amateur de bière", un facteur supplémentaire (psychologique) semble l'emporter sur les autres: les impressions sur ce qui constitue une brasserie artisanale. Nous acceptons généralement que cela exclue ceux qui ont été repris ou vendus à Big Beer. Mais au-delà de ça?
Du point de vue de l'écrivain, il semblerait qu'un consensus se dégage pour dire que ce qui fait de l'artisanat un "artisanat" n'est plus simplement défini comme "pas BMC". C'est le résultat d'une équation qui mesure la taille et le lieu. Brasser beaucoup? Peut-être pas "artisanat" plus. Distribuer largement? Peut-être vendre ou serrer vos anciens brasseurs artisanaux. Appelez cela l'indice de suspicion des métiers (CSI? Pourquoi pas.). CSI = Sortie x Portée. Plus le CSI est élevé, moins vous êtes "artisanal".
- Système 7bbl et distribuer uniquement à partir de leur propre salle de robinetterie? Faible CSI. Presque définitivement "artisanat". Boire à volonté.
- Système 30bbl, distribution locale ou régionale? Hmmm .... CSI moyen. Vérifiez les pourcentages de propriété et les registres de naissance pour déterminer la ville natale des brasseurs, des propriétaires. Peut-être "artisanat". Bois, pour l'instant, mais fais attention à la corruption extérieure.
- Système 60bbl ou plus grand, emplacements de brassage multiples, distribution nationale et disponible dans un stade sportif majeur? HIGH CSI ALERT! Même s'il n'y a pas de participation macrobrassante, forte probabilité d'expansion extra-locale du marché. Buvez avec une extrême prudence. Produits vieillis en fût uniquement.
Et ainsi de suite. Je n'exagère pas quand je dis qu'au moins une fois par mois j'entends quelqu'un me dire qu'ils ne boivent que la bière la plus locale, même si elle n'est pas aussi bonne que cette bière "artisanale" de l'autre robinet, car veulent "garder leur argent local", ou "parce que au moins je sais qu'il est frais". Les brasseries qu'elles évitent ne sont pas celles achetées par les grands conglomérats brassicoles. Habituellement ce ne sont que des brasseries qui ont commis le péché de grandir et d'agrandir au point d'avoir perdu leur crédibilité "artisanale". Trop commun. Trop disponible. Bien sûr, ils ont de nouvelles bières, mais il y a cet autre robinet d'une brasserie locale ... et oui, c'est moyen ou mauvais, mais c'est local. Mon application pratique "CSI App" lit "vert". (Oui - vert Pomme - HA! BRÛLURE D'ACÉTALDÉHYDE! Bien, Josh ... mais revenons à notre programmation régulière.)
Ainsi, lorsque notre Craft Beer Big Crunch tombera en panne, un nombre important de ces brasseries, flottant sur un coussin de sentiments de ville natale, vivront, comme les cafards proverbiaux à la suite d'un holocauste nucléaire. Et un certain nombre de leurs concurrents qui produisent réellement de la bière de qualité ne le feront pas.
Et la bière artisanale sera pire pour elle.
La qualité d'abord
Ce n'est pas juste du malheur à moi, tout est nul, jeremiad postmoderne. Il va aussi y avoir des problèmes. Voici.
BOISSONS: S'il vous plaît, S'il vous plaît, puhleeeeeeze se concentre sur "la qualité d'abord." Évidemment, évitez d'acheter une IPA de session de fabrication artisanale détenue par Big Beer qui signifie simplement le financement du nouveau Gulfstream de quelque gros chat. Mais après cela, commandez la meilleure bière, pas la bière la plus locale. Si vous êtes d'humeur pour une Vienne et que vous avez le choix entre Boston Lager et une bière ambrée d'une brasserie aux goûts comme ceux qui ont le goût du verre, bougez dans une brasserie locale, commandez le Boston Lager. Si vous voulez une bière blonde pâle et que vous avez le choix entre la Sierra Pale Ale ou la bière IPA du pays, achetez le SN.
Ne récompensez pas la médiocrité. Vous sapez le fondement même de l'économie de marché. Tu prends la main invisible et fais monter son cul invisible (mes excuses à Adam Smith pour la vulgarité).
BRASSERIES: Vous devez faire votre part aussi. Je ne crois pas que nous parlerons un jour de tous les "premiers locaux". Mais je crois en deux choses: l'une est le pouvoir du prix et l'autre est la capacité des gens à rationaliser leur comportement.
Alors, commencez par réduire vos coûts. Voyons voir plus de bières de session avec des sauts légers pour des prix plus bas - un brasseur de bière dans les Rocheuses que j'ai visité venant de et aller à Seattle a offert un amer ordinaire de 3 $ / pinte, toute la journée, tous les jours. Et c'était bien. Même certains des gens qui prétendent être des "premiers locaux" vont sauter sur cet accord lorsque les factures de magasinage de Noël arriveront à échéance et qu'ils verront un paquet de 8 $ d'une bonne bière de session.
Ensuite, en second lieu, obtenez impliqué. Parrainez toutes sortes d'événements locaux sur tous les marchés où vous êtes. Contribuez à des compétitions locales. Organiser un 5K. Donnez aux gens une raison de croire que vous vous souciez de leur communauté. Organisez une journée pour les animaux de secours avec votre refuge local. Ne soyez pas "juste une autre brasserie." Si vous êtes, ils passeront directement par votre nom de la liste de tapotement. Mais si vous montrez votre intérêt, ils trouveront une raison d'acheter votre bière. Et rendre cette bière bonne, pas seulement "nouvelle".
C'est un combat pour les cœurs, les esprits et les langues des buveurs de bière. Et je ne sais pas pour vous, mais je ne veux pas vivre dans le monde post-Craft Crunch, du type Road Warrior, en train de boire quelque chose qui a le goût de Saltines trempée dans du beurre simplement parce qu'un brasseur "du survivant local" a pensé au nom de bière en premier ("c'est comme ça") et a décidé de faire une bière qu'ils n'avaient jamais bu, et mal.
Rester simple.
JJW
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