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La conquête de l’Occident #1

Publié le 31 mai 2019 par Observatoiredumensonge

Qu'on le veuille ou non, notre société occidentale se trouve confrontée à une croisade contre ses valeurs et son mode de vie : le nier ne sert à rien, l'accepter c'est se soumettre.

Par Daniel Desurvire

Extraits du nouveau livre de Daniel Desurvire ***

#1

L'épitaphe du chemin de croix des Chrétiens à travers les conquêtes de l'Islam. Quid de la politique française, de l'Union, d'Israël et de l'idéologie laïque des pays libres face à l'intolérance coranique ?

En premier lieu sous cette section, nous analyserons les lourdes charges financières des parades sécuritaires, les couloirs d'un atticisme spécieux autour du traité de Schengen, dont la liberté de circulation des personnes en Europe qui participe du droit d'asile et draine le regroupement familial, puis au final la psychose qu'entraîne le terrorisme infiltré dans une immigration exponentielle d'islamistes au cœur des nations de culture judéo-chrétienne. En second lieu, nous disséquerons le culte coranique, ses pathologies fanatiques et ses véhicules communautaires qui gangrènent le monde civilisé, puis quelles sont les bonnes réponses. Nous jetterons un regard sur la réalité meurtrière que projettent les ailes radicales d'un Islam prédateur sur les autres sociétés et le tiers-monde, puis l'escalade des ghettos " no-go zones " en Europe, lesquels se garnissent à la faveur des droits de l'Homme. En dernier lieu, quelle réponse apporte Israël à ce fléau islamo-terroriste qui se répand par vagues migratoires, telle une nuée de sauterelles qui s'abat sur le vieux continent ?

1°) Parades sécuritaires, les chemins alambiqués d'une rhétorique spécieuse bordée de psychose et de malentendus

Le paradoxe du menteur, dans un monde multipolaire et interdépendant, ce peut être aussi d'interdire la vérité sur l'Islam lorsque le mensonge d'État, qui prend toute la place dans l'esprit du peuple abusé et confiant qui le suit, ne sert qu'à instrumenter des objectifs économiques et financiers, dont certaines pratiques débordent sur des faits avérés de corruption. Sous le sceau de la sécurité intérieure contre le terrorisme musulman - un syntagme dont l'attribut est désavoué* au nom d'une prétendue cohésion multiconfessionnelle, - l'État français s'est arrogé le droit de confisquer des pans entiers du droit à l'information, de la liberté d'expression (art. 10 et 11 DDHC) et du droit à la vie privée, dès lors que ces digressions publiques sont censées croiser l'existence recelée sur le territoire français d'individus suspects d'activisme radical ayant une relation avec l'Islam terroriste*.
Sur le registre de cette sinistrose importée, pointons l'analyse sur le caractère intolérant, misogyne, martial et terroriste qui découle de l'Islam intégriste, a fortiori puisque les faits d'actualité sont toujours là pour nous le rappeler. Au plus fort de cette remise en cause des libertés souveraines du peuple, la communication sous toutes ses formes de diffusion se voit dépecée et réduite de sa substance par les censeurs vigilants, jusqu'à soustraire de l'information générale tout ce qui pourrait incriminer de près ou de loin cette confession. Or, les moyens obscurs dont use l'exécutif pour parvenir à ses fins n'empruntent pas les voies de justice, mais ceux du chantage, de la mainmise sur le monde de l'édition et la diffusion télévisuelle via les violences économiques. Ce berlusconisme à la mode fiscale se traduit par un stalinisme d'État, interventionniste et inquisiteur. Quid des refus d'intégration de l'Islam, ses actes de barbaries et ses attentats terroristes commis sous son enseigne, au motif singulier de ne pas associer ces délits et crimes à la communauté musulmane, alors même que ce mal ne vient pas d'ailleurs ?
C'est ainsi que le droit aux réfugiés, le terrorisme islamique et l'inquisition d'État pour le combattre font un mauvais remake du " Bon, la brute et le truand " ! Pour ce faire, les barbouzes du ministère de l'intérieur violent la vie privée de l'ensemble des citoyens sans lien avec le terrorisme à l'aide de logarithmes sophistiqués, à dessein de localiser les activistes pressentis fomenter des attentats. Ô paradoxe, l'état-major régalien laisse se déverser en France des centaines de milliers de réfugiés parmi lesquels se glissent des exécuteurs de Daesh ! Cette fouille numérique, qui profite de prime abord à différents lobbyistes mercantiles et politiques, ne concerne que ± 0,01 % de la population nationale, sachant que la plupart des islamistes échappe à toute traçabilité eu égard à la situation clandestine des réfugiés apatrides pour certains, donc sans-papiers, SDF et vagabonds, puis d'autres en situation régulière de demandeur d'asile, lesquels pour certains échappent aux contrôles, de peur que leur demande soit rejetée une fois lâchés dans la nature.
Ironie du sort, alors que le Big Data du superpouvoir élyséen fonctionne à plein régime, faisant fi de la réalité des évènements ou en la mystifiant par des fausses informations*, voilà que précisément cette élite se pose désormais comme la victime de fake news* (Voir infra, chap. V, le mot de l'auteur) en légiférant contre ce procédé pirate dont il aura lui-même usé comme en mystifiant la réalité du danger à la source ! Gageons que, rattrapé par ses vieux démons, la loi sur le renseignement promulguée en été 2015 aura ouvert grand les portes aux importateurs de fausses nouvelles comme en tronquant le jeu électoral. La vérité sans compromission serait pour le moins prophylactique pour la République, car la Nation se meurt des mystifications servies par de faux apologues, des promesses de campagne assurément démagogues, puis de pieux stratagèmes par pharisaïsme, comme de laisser croire que l'Islam n'y est pour rien dans les violences urbaines, les guerres et assassinats de masse quasiment au quotidien partout sur la planète.
Parmi les fausses informations, se glisse une autre forme d'imprégnation mentale aussi sournoise que les fake news que reproche l'oligarchie à ses concitoyens ; des messages masqués pour manipuler l'opinion. Ainsi, après chaque attentat terroriste commis par un islamiste (nommément un " Musulman " dans un vocabulaire réputé inapproprié), une étrange scène se répète sous les feux des reportages télévisés et de la presse écrite furtivement placée sous contrôle de l'exécutif. Parmi les témoins interviewés sur le vif après chaque attaque terroriste s'y trouve invariablement et en première ligne des Musulmans censés représenter la face intégrée de l'Islam, cette fois non floutés et présentés comme d'honorables spécialistes instruits et patriotes sur le bandeau du reportage sous leur nom certes à consonance mahométane, pour bien marquer les esprits qu'il ne faut pas confondre mes Musulmans des islamistes, même si la sémantique s'y rejoint.
Les chroniqueurs, qui se font entendre tout de suite après l'événement tragique, comptent sur leur plateau ou leur signature des spécialistes des forces de l'ordre, les professeurs, des psychologues, des journalistes ou essayiste également issus du terroir mahométan. Eu égard à la proportion minoritaire de migrants musulmans dans la population française (± 8 à 13 % selon les fourchettes d'estimation pour lesquelles un vrai sondage démographique serait jugé discriminatoire) et une proportion encore moindre parmi les islamologues présentés comme des intellectuels, il est surprenant que l'Islam assimilé et progressiste, lors de la production d'images et de reportages adressés au grand public après un attentat islamique meurtrier, soit derechef invité opportunément pour condamner cette barbarie, sans doute pour préserver la communauté musulmane qui est souvent désignée alors, par la bien-pensance, comme la première victime de leurs coreligionnaires. Même scénario lors des marches blanches qui succèdent à ces attentats, où des Musulmanes voilées, en hidjab ou burqa, sont ostensiblement placées en tête de cortège pour laisser entendre que les Musulmans sont aussi des victimes, tant de leurs coreligionnaires terroristes, que concomitamment des risques d'islamophobie découlant de cette même vindicte nonobstant relayée par leur gourou Muhammad dans le Coran.
La raison qui se dissimule derrière ces mises en scène qui ne peuvent assurément pas provenir du hasard, trouve sa justification derrière le slogan " pas d'amalgame ". C'est ainsi que l'État français exige, des professionnels de l'information, l'introduction visible et/ou lisible obligatoire de personnes ayant un profil musulman ou y associé, pour rappeler que les citoyens musulmans seraient doublement martyrs dans les attentats. C'est ainsi que dans l'attentat de Nice du 14 juillet 2016, une trentaine de Musulmans ont été fauchés par le camion fou de Mohamed Lahouaiej-Bouhled sur les 84 victimes. Pour enfoncer le clou, Jean-Yves Le Drian souligna depuis Pékin, que les Musulmans sont les premières victimes du terrorisme au lendemain du carnage dans une mosquée dans le nord du Sinaï à Bir al-Abeb en Égypte le 24 novembre 2017, faisant 235 morts. Cela est incontestable, sauf que la source de ce mal, le Coran, n'est jamais exprimée, ni aucune sourate évoquée dont se gavent pourtant les activistes dans cette lecture, tel un tabou qui ne saurait être audible par crainte de froisser tout l'Islam sans discernement.
Le motif de ce décalage dans le comptage des clichés bien choisis ne saurait trouver d'autre justification que d'amener les Français du terroir à assimiler les Musulmans lambda aux citoyens ordinaires de l'hexagone, ce qui est louable. Cependant, cette manœuvre insulte l'intelligence des observateurs non alignés sur la pensée dominante qui en comprennent la duplicité. Ce qui est moins prophylactique derrière l'idéologie fabriquée sous cet écran de fumée, c'est d'occulter le culte musulman, alors même que c'est le plus souvent au cri Allah Akbar (Allah est le plus grand) que se perpétuent ces massacres de masse. Les discours enflammés où se mêlent l'indignation des uns et les responsabilités sociales de la France pour d'autres, à dessein de dédouaner l'inqualifiable, ne laissent aucune place au mobile focal qui associe le Prophète ou Allah à ces drames d'actualité.
Enfin, le pouvoir régalien cherche surtout à ne pas noircir cette confession au nom de laquelle indubitablement s'inscrit ce terrorisme endémique, parce que précisément Musulmans ou islamistes s'y confondent - une dissociation sémantique apprêtée, - même si leur appréhension de ce culte ne serait pas la même. Là encore, les écritures sacralisées de l'Islam, pour lesquelles il est consigné sacrilège d'en modifier d'un iota le contenu, sont priées de la même manière et à la lettre dans les mosquées par tous les Musulmans du monde, qu'ils soient pacifistes ou djihâdiste. Cela explique aussi pourquoi les tueurs fous d'Allah se fabriquent nul par ailleurs que dans le berceau des familles musulmanes ; des médinas péri-urbaines, des écoles coraniques (les madrasas) et des mosquées incubatrices de futurs djihâdistes et tueurs fous.

Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.
Daniel Desurvire est l'auteur de : " Le chaos culturel des civilisations " pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s'ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l'un des corollaires. L'auteur choisit d'opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères " (in, Les cahiers de Junius, tome III, "La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français" : Édilivre, 2016).
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Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE

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A lire deux articles importants :
La chute de l'Occident : une réalité hélas quotidienne et qui ne fait qu'empirer...
et
il n'y aura aucune guerre civile en France parce que c'est d'une conquête dont il s'agit... Je rappelle mon article republié et traduit dans le monde en 2016, article que les médias français ont peur de publier :2034 l'année où...

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