Ceci est mon 3ème poste en 1 semaine,... bourjoulya c'est pa ssi facile de revenir au bloggig et pour cause!
En quelques années "l'internet tunisien" a complètement changer. Au départ, on blogger pour combler un vide laissé par les médias tunisiens qui à la censure de la dictature de Ben Ali avaient, comme c'est toujours le cas aujourd'hui, fais de zèle en allant au-delà de la censure et en s'auto-censurant à tout va! Bref, avec un blog on pouvait vider son coeur, parler et informer. pour ma part j'aimais bien foutre la merde!
Heureusement, je n'ai pas été censuré ni même inquiété. je vous invite à lire ce poste: Note Blanche,... Pour un jour meilleur! Il faut sélectionner le texte pour le lire. Ces quelques lignes n'ont l'air de rien et pourtant. Sinon je me rappel de mon poste le plus polémique, celui intitulé Aujourd'hui j'ai compris ce que veut dire 'Nouzouh'. Sincèrement en le relisant, je comprends que certains auraient voulu m'enterrer vif ce jour la! C'était en 2008, juste avant Cha99an el fitr. Une vraie petite bombe. Malheureusement, quand on lit les commentaires on est toujours déçu.
Bref, me revoilà donc dans l'arène qui a été désertée par tous les blogueurs pre-révolution. So99at el kolhom gat3ou. Et ceux qui les ont remplacés et bien ils sont à l'image de la nouvelle Tunisie. des arrivistes ji3anines.
Suis-je amer? N'étant pas cannibale, je ne saurais vous le dire, mais pour paraphraser Dieudonné, notre pseudo-révolution comme un arrière goût de merde!
La parole s'est libérée mais aussi l'appétit.
Un grands bravo, à toutes celles et ceux qui ont su s'investir dans des associations caritatives qui tentent tant bien que mal de comblé le vide laissé par un état en déliquescence. Un grand bravo aux chefs d'entreprises qui n'ont pas abandonné malgré la gangrène du marché parallèle. un grand bravo aux tunisiennes et tunisiens qui tous les matins vont travailler pour assurer une vie honnête et respectable à leur descendance.
Par contre les autres, ceux qui comme les poux, el gmel, qui se nourrissent sur le dos de leurs proies en l'occurrence les honnêtes tunisiens et le pays, sachez nous, nous dormons l'esprit tranquille. On peut mourir demain, doussina ndhif!
ils se reconnaîtrons, entre-eux pas de chi-chiA toutes celles et ceux qui trouvez ce blabli blabla confus, c'est normal. En définit fil y a tellement à écrire et si peu de temps.