...Alors, s'il n'est pas son amant, c'est au moins son super pote ? Ou alors le garde du corps, connaît-il des secrets qui lui permettent d'être sous le parapluie de l'Élysées et ainsi sera devenu intouchable ? En suivant le parcours de Macron, il est évident que cet homme ne mettra jamais en danger son plan de carrière pour protéger une relation amicale...Cela saute aux yeux qu'il y a derrière tout ce micmac du pas beau, pas beau...Révélé très partiellement par " l'incartade " du 1 er mai 2018.
en fait d'un macron homosexuel ou pas, d'ailleurs, déjà, des bruits coururent sur une hypothétique liaison avec Mathieu Gallet ou aussi ses fréquentations d'une boite gay de Lagos au Nigeria alors qu'il effectuait un stage à l'ambassade de France en 2002. Ce qui se passe entre lui et son épouse, doit rester au niveau de l'alcôve et ne regarde personne, il a le droit d'être bisexuel ou sado-maso. Mais, ce qui est carrément plus qu'inquiétant, c'est cet ami du couple présidentiel, Alexandre Benalla, est pu utiliser sa proximité du cercle proche afin de mener ses petites affaires très personnelles, de se positionner avec certains margoulins de la francafric, et d'avoir permit de présenter certains conseillers à un homme d'affaire russe ayant un casier judiciaire et portant sur la sécurité. En ayant regardé par deux fois le reportage de Envoyé spécial sur l'affaire Benalla, il est certain que des malins ont vu et exploité la faille sécuritaire en approchant le maillon faible de l'entourage direct du président français pour en tirer des avantages. D'ailleurs, en voyant la liste des personnages mentionnés dans ce reportage, un sentiment nauséeux domine : des hommes et femmes à qui je ne confierais aucunement mon portefeuille.
Comme au théâtre, voici les " caractères " par ordre d'apparence dans le reportage d' Antenne 2.
- Chokri Wakrim, des forces spéciales...Coffre fort disparu chez Benalla ? Il n'y est pour rien... Dans une réunion avec un oligarque russe ? Il ne savait pas à qui il avait à faire...Pour un force spécial, c'est inquiétant tant de "naïveté".
- Michelle Marchand, reine de la presse caniveau/people. Un personnage qui ne devrait pas mettre les pieds dans le palais de l'Elysées, car, non heureuse d'être une proche de Brigitte, elle peut laisser traîner ses oreilles et alimenter toutes sortes de rumeurs qui sont son fond de commerce. Avec elle, c'est du glauque - lourd.
- Vincent Miclet que je surnommerais le pied Miclet, car, comme les 3 héros de la BD, il sent le mec pas net à 100 lieux. D'ailleurs, il est accusé d'avoir escroqué pour 400 millions en Angola, c'est un de la francafric.
- Philippe Ababou Solomon, la copie en plus enrobé que celui cité plus haut, un de la francafric, avouant benoîtement que rencontrer Benalla a ouvert des portes Élyséennes ...Il ne dit pas quelles portes, mais bon, ya eu ouvertures...Sans effraction.
- Iskander Makhmudov, lui, c'est mon chouchou de la bande. Mafieux et sans reproche, oligarque entre Monaco et Moscou, faisant dans les contrats de sécurité et autres affaires relouses kazatchok.
- Vincent Crase, le comparse, ayant donné la main pour tabasser les manifestants, et qui enregistré dans des conversations téléphoniques avec l'Alexandre ; Souleva beaucoup de lapin en ce qui concerne les bonnes relations du président et de son garde du corps préféré...Qui ne se sentait plus pisser.
Un barbouze très en cour qui avait la clé de la résidence secondaire du Touquet, u n militaire, compagnon de Marie-Elodie Poitout chef de la sécurité du Premier ministre, une reine des paparazzis ex-taularde, un millionnaire de la francafric possédant des Bentley, un diplomate de la francafric rond comme un loukoum, un oligarque russe rondouillard lui aussi, un ancien réserviste de la gendarmerie...Manque plus qu'une vedette de la TV réalité et un membre de la secte des raéliens pour compléter un casting digne de La Famille Addams. Tous se défaussent les uns sur les autres, mentent sans vergogne et se renvoient la balle, qu'une chatte n'y retrouverait pas ses chiots...Il n'a que 27 ans ce Benalla, un parcours à la Pasqua, sorti de nul part, ayant gravie les échelons à une vitesse supersonique et, en toute quiétude se parjurant devant des élus, se défilant devant la police, se montrant insultant, irrévérencieux, donnant la pétoche à certain au risque "de se mettre à table", possédant des armes sans permis, des passeports diplomatiques et bien, il continue encore aujourd'hui de mener grand train dans un place parisien où il est courtisé, car il met en relations son carnet d'adresses et des individus interlopes...Comme ça, tranquille comme Batiste.
Qu'un de tel énergumène puisse à avoir l'oreille du monarque, puisse parcourir le continent africain au nom de la France, puisse avoir un pouvoir quelconque, donne le niveau de ce qu'est la présidence Macron : des gens de corde, des personnages entre deux eaux, des patibulaires, torves et malfaisants, de la racailles sous le verni rutilant et clinquant du bling-bling. Macron, comme individu ne peut de par sa personnalité ne s'entourer que de courtisans à ses pieds ou de personnages dont toute personne de bon sens ne voudrait à sa table ; Eux, ils se gobergent, roulent carrosse et crachent sur la justice et les lois qu'ils survolent de toute leur fatuité : ils sont le signe d'une décadence qui va bien au-delà de la décadence elle-même ; Disons... Au niveau des watercloset, ou plus communément nommées chiottes. Devant les deux journalistes hors cameras Benalla martèle qu'il " n'a pas été payé pour arranger ces rencontres n'a jamais touché un centime pour avoir mis en relation Miclet et Solomon avec des conseillers du château. S'ils m'ont donné de l'argent, c'étaient des prêts pour m'aider à ouvrir mes sociétés, en aucun cas une contrepartie en échange de mes contacts". Sous d'autres cieux vivants en démocratie le seul fait " d'être aidé pour ouvrir des sociétés," seraient taxés de haute trahison car, jouer de son entregent afin de mettre en rapport des hommes d'affaires pas très nets et des personnes de l'entourage présidentiel, c'est prendre des risques au niveau de la sécurité de l'état et de secrets confidentiels. Mais, comme pour la perquisition qui vit les poulets tourner casaque par manque de clé et voir le coffre s'envoler, comme devant la commission du sénat qui vit " le conseiller " se parjurer à propos d'un contrat autour de la sécurité d'un oligarque russe. Un contrat qui serait de nature à affecter la sécurité du chef de l'Etat et du pays dans la mesure où il a des ramifications à Matignon et dans l'armée française ; enfin, le fait que Benalla affirme qu'il ne s'agissait pas de trafic d'influence lors de ces présentations désintéressées dans le palace parisien, suffit à le dédouaner...S'il le dit c'est que ça ne peut qu'être vrai non ? Je propose un nouvel adage : "Paroles de Benalla, paroles d'évangile ! "