Le texte qui suit est composé de titres de romans. Il y en a 51 à trouver y compris dans l’intitulé, il n’y a rien à gagner, bon amusement !
Après la débâcle, Pierre et Jean ont voulu tuer le père, mais la déesse mère les a prévenus : j’irai cracher sur vos tombes, misérables ! Jetez l’arrache-cœur dans la mare au Diable ! L’étranger et l’ingénu ont dit adieu aux armes dont la chute a provoqué une fleur de tonnerre, suscitant stupeur et tremblements dans le désert des Tartares.
« Ça ! Est-ce une forme de vie », demandèrent-ils, candides. « Est-ce l’adieu aux reine », s’enquit Indiana en pleine œuvre au noir. « Est-ce la nausée » proposa Jacques le fataliste dans son dernier coup d’archet. « Est-ce une querelle de Brest » questionna Frankenstein au cœur d’artichaut. « Est-ce la curée » suggéra le docteur Pascal qui accompagnait Zazie dans le métro pour faire un tour au magasin des suicides où les attendait un bel ami.
« Non, cria la religieuse : ce sont les Dahlia noir et le chien des Baskerville qui ont fini leur voyage au bout de la nuit et ramènent les raisons de la colère ! Ce sont les infortunes de la vertu qui ont goûté aux liaisons dangereuses après l’assassinat du Père Noël ! C’est Gargantua mort à crédit qui endure les souffrances du jeune Werther ! »
Et ce fut la disparition des souris et des hommes devant Notre-Dame de Paris. Seul l’homme invisible s’y risque encore avec Nana et Pétronille, histoire d’assurer l’hygiène de l’assassin.