Amélie fut notre première tempête de la saison. On lui doit, à ce titre, les honneurs. Sur Oléron, elle a fait le job, nous empêchant de dormir en fin de premier sommeil, en gros vers une heure du mat’. L’œil, donc, était petit au saut du lit, mais il fallait voir néanmoins cette Amélie de près, lui présenter nos hommages, et toutes ces sortes de choses qui se font en climat océanique. Cela fut fait au nord de l’île d’Oléron, là où les arbres s’imprègnent chaque année un peu plus de la marque du vent.