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Le temps du boniment #4

Publié le 05 novembre 2019 par Observatoiredumensonge

Réplique autour d'un débat initié par le chef d'État sur l'immigration en France - Chapitre 4 -

Le temps du boniment #4Le temps du boniment

Par Daniel Desurvire

Réplique autour d'un débat initié par le chef d'État sur l'immigration en France

Chapitre 4

Cet islam importé, depuis une grande partie de l'Afrique au Proche-Orient, vomit les standards démocratiques, la laïcité, l'égalité des genres et la diversité des cultes ; tout ce qui n'est pas musulman ou ne s'y rapporte pas. De cela, Emmanuel Macron en avait conscience bien avant sa prise de fonction présidentielle ; les déclarations du candidat reproduites ci-dessous en témoignent. Mais la cupidité et la corruption qui profitent à l'élite d'un monde opaque, via les sociétés extraterritoriales et les bakchichs qui accompagnent les marchés juteux de l'armement, passent majoritairement par les intérêts pétroliers et gaziers des princes et émirats entre le Golfe persique, la Mer rouge et l'Algérie.

En d'autres termes, les nababs en djellaba et keffiehs troquent leur droit sur l'or noir contre l'islamisation de l'Europe ; un passe-droit pour les réfugiés sous couvert d'un chantage économique à l'adresse de l'Occident judéo-chrétien, un cheval de Troie de l'islam sunnite fourbi par leurs coreligionnaires en exile d'où qu'ils viennent, pourvu qu'ils inondent le terrain des impurs en vue d'un grand remplacement. Il va sans dire que cette mise en scène élyséenne autour des problèmes de l'immigration, timidement abordés au dernier trimestre 2019, n'est qu'un décor de théâtre pour atténuer les inquiétudes voire désamorcer la colère des électeurs français, jamais interrogés ni inventoriés sur cette question sensible, voire leurs porte-paroles éloignés des plateaux médiatiques, néanmoins en nombre assurément majoritaire, lesquels grondent à l'horizon 2022.

Sur ce registre, rappelons le retour de flamme qu'aura subi la Grande-Bretagne avec le Brexit, dont l'immigration figurait comme l'un des premiers motifs de cette rupture ; puis la disqualification d'Angela Merkel désormais sans pouvoir car désavouée puis démise de la tête de son parti (le CDU en septembre 2017), principalement pour sa soif de réfugiés en babouche ; puis encore l'Italie qui adopta le 28 novembre 2018 un décret-loi durcissant sa politique d'immigration jusqu'à fermer ses frontières aux réfugiés économiques. Quant à la France, souvenons-nous que le problème récurrent des migrants occupait la seconde place des revendications des Gilets jaunes, après le coût prohibitif des carburants dès octobre 2018 ; une récrimination jamais relayée par les médias serviles, car soumis à des menaces corporatives de la rue de Valois et autres violences économiques exercées depuis la rue de Bercy à Matignon.

Le pouvoir régalien français, avec toujours davantage de fermeté sous la mandature d'Emmanuel Macron, n'a de cesse que d'enfermer sous le couvercle de l'omertà toute dialectique se prêtant à l'équivoque spécialement suscitée par l'immigration musulmane ; cela, prétendent ces élus, pour ne pas dresser les Français contre l'islam, alors que cet islam intégriste est déjà en guerre contre la civilisation des Droit de l'Homme. Cette mystification du chef de l'Élysée, comme de ses prédécesseurs depuis François Mitterrand, confine à l'hypocrisie dès lors qu'à chaque attentat, le culte musulman est impliqué mais jamais dénoncé par la classe politique dominante.

Ce pourquoi il est politiquement incorrect de soulever les dangers que font mener à la France les réfugiés islamiques, lesquels abritent dans l'anonymat un nombre indiscernable de terroristes qui ont semé la mort sur le territoire de la Gaule, spécialement durant ces deux dernières décennies. Aux organisations terroristes viennent à ce jour s'ajouter des loups solitaires qui tuent, gratuitement au cri d' Allah Akbar, des personnes qui leur sont inconnues, hommes, femmes et enfants sans distinction ni remords. Pour quelques-uns, tuer n'est qu'un réflexe acquis dans la communauté, sans que l'assassin n'ait à revendiquer son obéissance à un groupe terroriste. Mais ici encore, évoquer les conséquences désastreuses de l'immigration est taxé de réflexe d'extrême droite. Pourtant, lorsque l'horreur frappe à la porte de la famille des victimes et des proches, de telles supputations politiciennes ajoutent à l'exaspération.

Ce sont indistinctement les lieux de culte (cathédrales, églises, temples et synagogues), les cimetières (les sépultures surplombées de croix et d'étoiles juives), les écoles, les magasins et centres commerciaux, les terrasses de café, les lieux de festivité, de sport et de spectacle, les salles de rédaction (Charlie Hebdo), les sites industriels, les commissariats, les gendarmeries, les casernes puis plus récemment la préfecture de Paris qui deviennent les cibles de ces sociopathes, bien que l'exécutif reste souvent muet quant à l'origine de ces profanations, vandalisme, assassinats et déliquescences du patrimoine français.

Il semble acquis qu'un nouveau type de terrorisme n'aurait pas directement de lien avec des factions d'activistes musulmanes, ces actes solitaires relevant surtout d'une criminalité en prise directe avec le dogmatisme religieux ; c'est-à-dire par la lecture du Coran et les prédications des imâms radicaux sur site ou depuis des émissions satellites. Il s'agit de déséquilibrés isolés, des forcenés ayant l'islam pour dénominateur commun. Ces actions criminelles spontanées, gratuites et frappant sans véritable calcul, puisque dans l'ignorance de ce que seront leurs victimes, sont l'œuvre de Musulmans issus d'une immigration lointaine ou récente, sinon d'individus récemment convertis.

Le détonateur n'est donc autre que le Coran, un livre qui rend fou et d'où sa lecture engendre soit des islamophobes, soit des sociopathes, car nul n'en ressort véritablement indemne. Mais de cela, les politiciens n'osent l'évoquer, de crainte de désigner le culte qui produit ces monstres et de devoir accepter l'inqualifiable : une guerre souterraine que mène l'islam sur tous les fronts contre l'Occident. Cette belligérance dogmatique se perpétue par tous les moyens, en usant de méthodes renouvelées donc imprévisibles dans le temps et sur des lieux inattendus ; autant de variabilités qui échappent au filet du renseignement moderne.

Comme vu plus haut, lorsque les auteurs de crime sont appréhendés, certains - dits déséquilibrés - sont pénalement excusés, échappent aux assises et sont pris en charge en établissement psychiatrique plutôt qu'incarcérés. Parfois, les violeurs sont relaxés car, prétendent les apologues de l'islam et leurs avocats, ceux-là ne disposent pas des mêmes codes sociaux, notamment dans certaines affaires comme à Saint-Lô fin 2015 (Source : La Manche libre.fr, Loïc Venance [AFP], 23 novembre 2018 : viol d'une lycéenne : " Un Bangladais acquitté car n'ayant pas les codes culturels ").

Certes, la perception altérée d'une certaine gauche latitudinaire que corrobore son postulat humanitariste, aussi obséquieux qu'irresponsables envers ces fanatiques, dédouane l'intolérance coranique que renforce la tradition hadîtique. Puis la violence de la guerre, que ces hallucinés transposent dans la société occidentale qui les accueille, ne saurait autrement que mettre en péril les valeurs du monde civilisé d'Occident. Mais ce qui reste privilégié pour la présidence d'Emmanuel Macron, demeure sa propre réélection en 2022, beaucoup moins les problèmes d'insécurité, de coût, de tensions intercommunautaires, d'incompatibilités sociétales et de psychose que génère la fronde islamique contre les valeurs démocratiques et laïques du monde civilisé et sa sécurité.

Plutôt que d'inverser la courbe inflationniste de l'immigration islamique que la France ne peut plus absorber sans annihiler ses racines et ses assises démocratiques, l'Insee estima qu'il y avait dans le pays en 2018 près de 6,5 millions d'immigrés généralement africains et moyen-orientaux, soit 9,7 % de la population (source : Le Figaro.fr du 19 juin 2018). Mais plutôt que de faire son mea culpa, Emmanuel Macron préféra abandonner à ses thuriféraires la patate chaude de la problématique migratoire pour mieux s'en décharger. En l'occurrence, le chef d'État aura choisi de renvoyer cette pomme de discorde entre les mains de cinquante parlementaires nonobstant tous à sa botte, à dessein de simuler des mesures collégiales derrière un rideau d'ornement démocratique ; autrement dit prendre de la distance avec le concours de ses panégyristes les plus fidèles.

Cette croissance vertigineuse de migrants musulmans, dont le profil cultuel et sociétal ne correspond nullement à un melting pot réussi, fut amorcée depuis le mandat présidentiel de François Hollande en cheville avec la Chancelière allemande, laquelle, après avoir ouvert ses frontières par la route des Balkans à deux millions de réfugiés syriens entre autres, décréta le 31 août 2015 : " Wir schaffen das ! " (Nous allons y arriver !). Puis le score de centaines de réfugiés par an en France, clandestins et/ou apatrides, s'amplifia sous la gouvernance de l'actuel chef d'État avec l'accueil réputé antinationaliste (Dar al-islam) des candidats à l'immigration d'Irak et de Syrie. En guerre contre ou avec des organisations terroristes, ces djihâdistes de tout poil, qui changeaient de camps selon qui prenait l'avantage, se coalisèrent ou s'insurgèrent pour enfoncer ou affermir la citadelle alaouite de Bashar al-Assad, dont Daesh, les pasdarans iraniens et autres fous d'Allah pêle-mêle.

À ce khalifat terroriste, faut-il encore y ajouter les prétendus rebelles moudjahidine que soutient le couple franco-allemand malgré le fiasco des séditions dudit Printemps arabe (Révolution des jasmins en Tunisie dès le 18 décembre 2010),alorsencouragés voire militairement épaulés par l'Union européenne et le Président US démocrate Barack Hussein Obama. Puis cette utopie politique, car le postulat démocratique est antinomique à la shari'a, fut le détonateur d'explosions létales et d'instabilités durables dans la plupart des États arabes, voire turcs et persans. De sorte qu'à ce jour, ce boulevard de l'immigration irako-syrien est emprunté par beaucoup d'autres pays musulmans du tiers-monde, profitant de cet appel d'air généreusement ventilé par Donald Tusk du Conseil européen et Jean-Claude Junker, président de la Commission européenne.

Comment se risquer à taxer de " théorie conspirationniste " ce fait - et les faits sont têtus - où des circonscriptions urbaines de la métropole sont entièrement investies par des populations islamiques dans des proportions qui ne laissent aucun doute sur le changement de nature du paysage ethnique et cultuel de la France ? Lorsque le Premier ministre s'insurge avec véhémence contre ses concitoyens qui perçoivent " le grand remplacement " qui s'opère sur le territoire avec une visibilité qui ne laisse aucun doute, comprenons qu'il s'agit là d'une réalité que seule une mauvaise foi entêtante peut ignorer.

L'Italie fut absente du sommet de Marrakech où Bertrand Badie (professeur de sciences politiques) déclama que : " le migrant est l'avenir du monde " ! Certes, des milliers d'exilés musulmans sont morts ces dernières années et reposent au fond de la Méditerranée. Mais à qui la faute sinon au cruel dogmatisme coranique et aux violences sharîaques qui tuent plus qu'ils ne font vivre les leurs.

Le pacte secret entre François Mitterrand et les terroristes qui ont mitraillé des personnes (6 morts et 22 blessés) dans le restaurant Jo Goldenberg rue des Rosiers à Paris le 9 août 1982, fut révélé le 30 avril 2019 aux juges par l'ancien patron du renseignement Yves Bonnet (DST), : " Je ne veux plus d'attentats sur le sol français et en contrepartie, je vous laisse venir en France, je vous garantis qu'il ne vous arrivera rien ". Ce deal barbouze, au motif de sanctuariser la France, aurait été initié par le chef d'État avec Abou Nidal, leader du groupe Fatah-Conseil révolutionnaire. Une telle collaboration, classée secret-défense, avec des terroristes musulmans frise l'abdication, d'où une trahison devant le peuple français (Le Point.fr avec l'AFP ; Le Parisien, 8 août 2019, Vincent Gautronneau et Jérémie Pham-Lê, LCI, Libération etc.). Quant au déversement de cette nouvelle invasion migratoire, ourdie depuis Hollande à Macron, gageons qu'il s'agit d'une capitulation de ces élus devant l'omnipotence de l'islam.

Le 28 juin, à Garges-Lès-Gonesse, une fillette de 4 ans fut poignardée par son agresseur mâle parce que la gamine avait osé marcher à ses côtés (France 3 IDF/AFP, 29 juin 2019). Fin juillet 2019, un assaillant érythréen a poussé un enfant de 8 ans et sa mère sur les rails à la gare de Francfort. L'enfant est décédé (AFP, Andrea Arnold, 29 juillet 2019) etc. Les autorités évoquent des problèmes psychiatriques, jamais le produit cultuel de l'Islam, dont l'empreinte demeure pourtant évidente.

Le 3 octobre 2019, un forcené a tué quatre policiers et en a blessé un à l'arme blanche. L'attaquant né à Fort-de-France, fonctionnaire à la Préfecture, époux d'une Musulmane, s'était converti et fréquentait la mosquée de la Fauconnière à Gonesse. Sa radicalisation commença à inquiéter ses collègues dès lors qu'il refusait de saluer ses collègues féminines (Le Figaro.fr, 4 octobre 2019, Christophe Cornevin).

Voir de l'auteur et de l'Observatoire du mensonge : " Et la laïcité ? Bordel !!! L'inexorable processus de désintégration des standards laïcs se poursuit au XXIe siècle " (Distribué par Amazon) ; chap. III, § a) : " Sourate II, versets 186 à 190 : " Combattez dans la voie de Dieu... " " Tuez-les partout où vous les retrouverez... ", " Combattez-les jusqu'à ce que vous n'ayez point à craindre la tentation et que tout culte soit celui d'Allah unique... " etc.

Car, les femmes, dans les pays islamiques, " sont reléguées au statut d'objet sexuel " estimèrent, lors du procès aux assises de la Manche, les experts dans un référent culturel.

Source de régression au sens multiculturel, puisque seul l'islam intégriste s'impose en refusant tous les autres cultes, les standards éthiques, didactiques et traditionnels de la civilisation occidentale.

Plutôt à une société importée exclusivement islamo-musulmane, ce qui ne correspond en rien à un brassage d'ethnies de souches hétérogènes.

Les soldats américains et français en Afghanistan l'ont appris à leur dépens, avec des Afghans le jour qui deviennent furtivement des talibans la nuit ; tous des Musulmans qui s'inspirent du même Coran, donc savent recouvrer la solidarité entre coreligionnaires mahométan lorsqu'il s'agit de frapper " l'impur ".

Daniel Desurvire

Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.
Daniel Desurvire est l'auteur de : " Le chaos culturel des civilisations " pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s'ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l'un des corollaires. L'auteur choisit d'opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères " (in, Les cahiers de Junius, tome III, "La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français" : Édilivre, 2016).

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