Beaucoup déplorent l'ouverture des marchés avec des dictatures islamiques qui ne respectent pas les Droits de l'Homme, les lois naturelles de la démocratie et encore moins la condition des femmes et de l'enfance.
Le temps du Boniment
Par Daniel Desurvire
Chapitre 8
En France, des acteurs des Gilets jaunes ont manifesté leur opposition à ce pacte en regard du chômage des ressortissants du terroir dont l'impécuniosité exigerait que l'État leur favorise l'accès à l'emploi plutôt qu'à des travailleurs exogènes sous-payés ; une récrimination soutenue par des partis sensibles à leurs racines tels le RN, le LR ou Debout la France. Or, ce recentrage franco-français sur l'emploi ne fait que drainer une opinion en majorité négative sur ce type d'immigration islamique privatif de ressources pour les ayants droit. Ce sentiment populaire, dont l'audience va bien au-delà des discours politico-médiatiques, se trouve notoirement encadré, trop pour ne pas dissimuler l'inqualifiable. Parmi ces raisons majeures, beaucoup déplorent l'ouverture des marchés avec des dictatures islamiques qui ne respectent pas les Droits de l'Homme, les lois naturelles de la démocratie et encore moins la condition des femmes et de l'enfance.
De sorte que le Pacte mondial sur les migrations est devenu un symbole de division entre les dirigeants et nombre de leurs citoyens de base ; les uns affichant l'élégance leur vision multiculturaliste en prodiguant la bonne parole, les autres, plus dubitatifs car directement concernés, ont pris la mesure du danger que constitue cette islamisation rampante à la porte de chez eux. Ces derniers ont constaté que l'invasion islamique n'apportait que trop peu de promesses productive et pacifique, sinon une misère endémique, une torpeur importée et un stress urbain, à l'instar de la situation des États pauvres du Sud et du Proche-Orient, taxés par euphémisme de pays émergents ou en voie de développement, lesquels assèchent les économies des pays d'où ils viennent.
Ces nations mahométanes drainent davantage la haine et la violence de la guerre entre factions islamiques (sunnites et shi'ites principalement), mais surtout contre les autres cultures, auxquelles s'ajoutent les discriminations sharîaques, xénophobes, sexuelles et confessionnelles. N'en déplaise à l'énarchie détentrice de prêts-à-penser moralement faciles, confortables et dispensatrice de la prétendue bonne parole, les comportements insurrectionnels proches de la guerre civile et des mentalités phallocrates de ces nouveaux venus en Europe de l'Ouest sont directement liés à la révélation du Coran (waḥī) et à la tradition (sunnah) qui en découle.
Certes, les hommes ne naissent pas mauvais, car c'est bien l'imprégnation (un acquis non un atavisme ethnique), l'endoctrinement des régimes totalitaires hiérocratiques qui sévit dans les madrasas dès le plus jeune âge. Puis vient le dénuement matériel et mental que l'Islam rétrograde entretient depuis les mosquées et les médinas dans la communauté mahométane, un affaissement du savoir commun au profit d'une instrumentalisation sectaire qui est responsable de cette dégénérescence intellectuelle de croyants adoubés d'une haine paroxystique. Ce processus délétère entraîne inexorablement la déconfiture éthique et sociétale de cette fraternité confessionnelle racornie, inapte mais belliqueuse.
La condition sine qua non pour qu'une théocratie fonctionne selon les normes du divin (Allah) ou de son démiurge (Muhammad) - en opposition avec une gouvernance temporelle, - consiste à dépouiller les croyants de toute possibilité d'élévation intellectuelle, autrement dit ne connaître que le Coran comme seul support documentaire et pédagogique. Un tel procédé réducteur a pour finalité de manipuler plus aisément les fidèles et les amener à se convertir en soldat de dieu, voire en bombes et boucliers humains. Au final, cette manipulation suggestive conditionne l'individu inculte, donc perméable et fragile, selon un rituel dogmatique qui prédispose le monde islamique à devenir ce qu'il est à ce jour dans la plupart des pays que ce culte investit.
La violence et la morbidité du crime sont la conséquence directe de cette dévastation de la conscience égarée du croyant. Celui-ci, sous l'effet morbide de sa déchéance, d'où son extinction sociale, puis la frustration qui découle d'un sentiment d'humiliation et de jalousie aiguillonné par ses précepteurs envers le monde civilisé, conduit le séide à se retourner contre l'ennemi que lui désigne l'imâm intégriste : l'Occident judéo-chrétien et ses modèles de vie décontractés, telle que la femme libérée dans une société mosaïque et émancipée. C'est par ce couloir dogmatique que l'islam des émirs, princes, monarques et dictateurs, fabrique des catéchumènes mutins et des monstres terroristes. Ces têtes couronnées et despotes musulmans encouragent, par la guerre et les privations, l'exode de leurs coreligionnaires en Europe sous l'étiquette de réfugiés, pour mieux embraser les démocraties souvent désarmées par leur propre valeurs humanistes et constitutionnelles.
Alors non, le pacte de Marrakech ne saurait être la courroie de transmission d'un islam khalifien dans un monde civilisé humaniste et laïc, ayant pour support sociétal une constitution qui garantit les libertés, la concorde, légifère les droits et les devoirs, dont la liberté de culte et d'opinion, assure une vie décente, l'égalité des genres et le droit à la vie privée. À l'opposé, la misère, les attentats meurtriers de masse, l'oppression des minorités, les discriminations misogynes et cultuelles, l'esclavagisme et les tortures directement issus de cette secte qui se veut être une religion, sont autant de commandements importés depuis le haut moyen âge par un prophète sanguinaire pour qui la vie est moins enviable que la mort, en particulier lorsqu'il s'agit de mourir pour tuer des non-musulmans, des kāfirs et même leurs compatriotes frappés d'une fatwa létale pour avoir apostasié.
Comme je l'ai souvent rappelé dans mes ouvrages à ce propos, l'homme ne naît pas mauvais par atavisme, car c'est l'environnement, l'imprégnation de dogmes calamiteux et les acquis des idéaux corrosifs de leur communauté confessionnelle qui en font ce qu'il devient. Soyons clair, il n'existe pas de génotype humain inférieur, en dépit de l'idéologie racialiste du XIXe siècle soutenue par les naturalistes Georges Vacher de Lapouge ou Arthur de Gobineau, la craniologie par Paul Broca ou l'eugénisme par Alexis Carrel, sinon le racisme avéré des premiers colons aux Amériques au début du XVIe siècle. En l'occurrence, il faut s'en prendre à l'objet du mal, ainsi le Coran obscurantiste, source alarmante de cette nouvelle guerre de religion, non aux individus lambda, souvent victimes du hasard de leur naissance, héritiers de leur histoire et transmetteurs des traditions de leur communauté ; sauf lorsque ceux-ci adoptent le couloir létal de leur prophète en assassinant leurs contemporains.
Gageons que le locataire de l'Élysée n'aura pas l'audace, plutôt que de tergiverser inutilement sur une improbable diminution de l'AME, d'exiger un aggiornamento de l'islam pour parvenir à une réécriture acceptable des sourates les plus indigestes. Cette arlésienne pourrait néanmoins se concevoir en estampillant le livre sacralisé de Muhammad : le prophète au cimeterre en guise de bâton pastoral. Cet ouvrage liturgique, à ce jour comparable à Mein Kampf, plus qu'à la Bible ou au Bardo Thödol (livre tibétain des morts), gagnerait à être nettoyé et revisité par des réformistes conséquentialistes, soit dit une remise à niveau de l'éthique théologique. Le Coran, ainsi revêtu d'un sceau d'honorabilité, deviendrait alors conforme aux valeurs démocratiques, pacifiques et morales de notre époque.
Une telle initiative de salut public permettrait de préserver les citoyens, Musulmans compris, des préceptes ignominieux et méprisables que pourraient leur inoculer certains imâms autoproclamés qui dispensent leur harangue fondamentaliste dans les caves des quartiers sensibles, voire avec le concours de mercenaires de Daesh ou d'Al-Qaïda sous couverture de migrants infiltrés dans les foules de réfugiés, le Coran d'une main et la kalachnikov de l'autre, venus trouver refuge en terre d'accueil. Lorsque des individus drogués au Coran n'ont connu que la guerre, foulé l'horreur comme seul décor de leur existence et pris l'habitude de torturer, de violer et de tuer, comment espérer une quelque adaptation à une vie normale dans une société de tolérance et de concorde ?
Rappelons que l'AME se situe entre la carte vitale et la CMU. Il s'agit de couvrir les frais sanitaires des migrants, légalement accueillis voire clandestins, sans couverture sociale de leur pays d'origine. Donc, nous voyons mal comment, puisque l'obligation de soigner tout malade se présentant dans un établissement de soins déontologiquement et réglementairement s'impose, à quoi servirait-il de diminuer en nombre ou en valeur cette contribution ? N'est-ce pas de nouveau une gesticulation politicienne pour laisser croire aux électeurs que le Gouvernement s'intéresse aux problèmes financiers que pose l'immigration ? Mais en s'attaquant à une dépense incompressible et inévitable, dès lors que l'État persiste à avaler des milliers de réfugiés ; c'est cautère sur jambe de bois !
Voilà bien la quadrature du cercle, puisque le Coran explicite qu'il est interdit de changer, de modifier ou de supprimer un iota de ses écritures De fait, les exégètes musulmans ne négocient aucun aménagement translatif de leur livre de culte, ni ne concède une seule virgule dans le Coran (II.100 et 169, XVI.104 et XXVI.195 à 200).
À suivre
Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire.
Daniel Desurvire est l'auteur de : " Le chaos culturel des civilisations " pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s'ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l'un des corollaires. L'auteur choisit d'opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères " (in, Les cahiers de Junius, tome III, "La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français" : Édilivre, 2016).
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Daniel Desurvire pour Observatoire du MENSONGE
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