Magazine Journal intime

Rhabillé comme un con 25

Publié le 27 avril 2006 par Chez
Elle me regarde droit dans les yeux et je sais, oui, pas la peine de nier, qu'elle ne va pas lâcher l'affaire comme ça.
Oui, je suis d'accord, ça serait mentir que de dire le contraire : j'ai envie d'elle.
Oui, c'est vrai, faut bien le dire: je suis adulte et responsable
Non, on ne ferait rien de mal.
Oui, on est ensemble, on est un couple, on a pas même le frein de n'être que des amants. Alors?
Ben, voila : A l'idée de la rejoindre dans les toilettes de ce train pour la baiser, je tremble.
C'est de ma faute ceci dit, et un peu de la sienne. C'est vrai que quand elle m'a demandé de la caresser entre les cuisses, j'ai dit oui. Très vite, elle s'est levée en prétextant une petite envie de faire pipi. En revenant, je l'ai vue jeter quelque chose en vrac dans son sac. C'est en reprenant mon manège que j'ai réalisé qu'elle avait enlevé sa culotte, et qu'elle est nue sous sa robe.
J'ai admiré son calme olympien tandis que je la masturbais, cette façon qu'elle avait de faire semblant de lire et lire et lire encore la même page, sa main qui de temps à autre à autre, serrait mon bras.
Mais quand elle me demande de la baiser dans les toilettes, j'ai peur. Elle me caresse le visage et me demande comment je pourrais faire. Je lui dit qu'elle y va et que je la rejoins dans deux minutes. Elle me claque un baiser et ... elle y va.
Durant la minute qui suit, je ne sais que faire. Je me tâte. J'y vais? J'y vais pas? Ben, en même temps, j'ai dit que j' allais. Donc.
Je me lève, avec l'air le plus détaché possible, je frappe à la porte des toilettes, elle y est, je referme, l'embrasse à pleine bouche tandis qu'elle me déshabille. Très vite, je suis en elle et c'est délicieux et c'est bon et c'est excitant non de Dieu putain je vais jouir et elle aussi, on est debout et pantelants. Elle m'embrasse, je sors de son ventre et au moment où je vais ranger mon sexe dans mon caleçon, je l'entends qui fait "tututut - faut pas gâcher" et elle me prend dans sa bouche, à pleine bouche, à bouche que veux-tu puis viens m'embrasser. Décidément, je mène grand train.

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