Info bière – ÉDITORIAL || Obtenir un meilleur prix sur la bière, un gagnant | L’avocat – Houblon

Il est connu comme le nectar des dieux et bien d’autres choses, et il est difficile de prétendre que quiconque peut réduire le coût de la bière n’est pas sur une bonne chose. C’est pourquoi le Premier ministre Scott Morrison et ses subalternes pourraient faire pire que de suivre l’exemple de nos cousins ​​britanniques. Ils ont certainement besoin d’un coup de pouce dans les enjeux de popularité, comme le font nos anciens maîtres coloniaux après la débâcle du Brexit. Les Poms se rassemblent actuellement autour d’un cri de guerre selon lequel ils paient trop de taxe sur la bière. Mais si tel est le cas, alors nous, les Australiens, sommes volés à l’aveugle. Le Premier ministre britannique Boris Johnson a parlé d’une réduction des soi-disant «taxes sur le péché», y compris l’accise sur la bière et d’autres alcools. À la suite de cela, la Brewers Association of Australia a rapidement souligné que les Australiens obtenaient une bien pire affaire que ceux du Royaume-Uni. Nous payons 2,26 $ le litre de taxes, contre seulement 1,52 $ en dollars australiens pour les Britanniques. “C’est un débat opportun au Royaume-Uni et un signal d’alarme pour l’Australie”, a déclaré Brett Heffernan, PDG de la Brewers Association. L’association demande plus qu’un gel de l’accise sur la bière, qui saute tous les six mois. Ils veulent qu’il soit remonté, pour donner au buveur moyen une meilleure affaire tout au long. La grande question est de savoir si le gouvernement en place l’acceptera et lèvera un verre à la proposition. Dans l’ensemble, le sénateur Eric Abetz a raison lorsqu’il dit que la réduction générale de l’impôt sur le revenu est une meilleure façon de stimuler l’économie. Les gens peuvent alors acheter plus de bière s’ils le souhaitent, ou plus d’une myriade d’autres choses en fonction de leurs propres vices. Mais un petit supplément dans le paquet de rémunération chaque semaine est plus difficile à vendre aux gens qu’une coupure évidente et directe à un achat que beaucoup tiennent à cœur. Être en mesure de réclamer un crédit pour un carton bon marché ferait beaucoup pour la popularité de certains députés. Le gros problème est alors de savoir comment remplacer les recettes fiscales perdues qui sont si facilement générées par ce type de taxes. Quelqu’un doit encore payer, c’est juste une question de qui il s’agit. Qu’est-ce que tu penses? Envoyez-nous une lettre à l’éditeur

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12 février 2020-4: 30 AM

Il est connu comme le nectar des dieux et bien d’autres choses, et il est difficile d’affirmer que quiconque peut réduire le coût de la bière n’est pas sur une bonne chose.

C’est pourquoi le Premier ministre Scott Morrison et ses subalternes pourraient faire pire que de suivre l’exemple de nos cousins ​​britanniques.

Ils ont certainement besoin d’un coup de pouce dans les enjeux de popularité, comme le font nos anciens maîtres coloniaux après la débâcle du Brexit.

Les Poms se rassemblent actuellement autour d’un cri de guerre selon lequel ils paient trop de taxe sur la bière.

Mais si tel est le cas, alors nous, les Australiens, sommes volés à l’aveugle.

Le Premier ministre britannique Boris Johnson a parlé d’une réduction des soi-disant «taxes sur le péché», y compris l’accise sur la bière et d’autres alcools.

À la suite de cela, la Brewers Association of Australia a rapidement souligné que les Australiens obtenaient une bien pire affaire que ceux du Royaume-Uni.

Nous payons 2,26 $ le litre de taxes, contre seulement 1,52 $ en dollars australiens pour les Britanniques.

“C’est un débat opportun au Royaume-Uni et un signal d’alarme pour l’Australie”, a déclaré Brett Heffernan, PDG de la Brewers Association.

L’association demande plus qu’un gel de l’accise sur la bière, qui saute tous les six mois.

Ils veulent qu’il soit remonté, pour donner au buveur moyen une meilleure affaire tout au long.

La grande question est de savoir si le gouvernement en place l’acceptera et lèvera un verre à la proposition.

Dans l’ensemble, le sénateur Eric Abetz a raison lorsqu’il dit que la réduction générale de l’impôt sur le revenu est une meilleure façon de stimuler l’économie.

Les gens peuvent alors acheter plus de bière s’ils le souhaitent, ou plus d’une myriade d’autres choses en fonction de leurs propres vices.

Mais un petit supplément dans le paquet de rémunération chaque semaine est plus difficile à vendre aux gens qu’une coupure évidente et directe à un achat que beaucoup tiennent à cœur.

Être en mesure de réclamer un crédit pour un carton bon marché ferait beaucoup pour la popularité de certains députés.

Le gros problème est alors de savoir comment remplacer les recettes fiscales perdues qui sont si facilement générées par ce type de taxes.

Quelqu’un doit encore payer, c’est juste une question de qui il s’agit.

Qu’est-ce que tu penses? Envoyez-nous une lettre à l’éditeur

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