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Craft beer – Rencontrez Jacoba Mol: chimiste, océanographe et maître brasseur de St. John’s | Modes de vie régionaux | Styles de vie – Bière blonde

Publié le 06 mars 2020 par Cafesecret

ST. JOHN’S, N.L. –

Au cours des derniers siècles, la bière et toutes ses facettes ont été largement reprises par les hommes. Mais, aujourd’hui, il y a un tournant dans la marée.

De la relégation aux rôles de barmaids à la rupture des stéréotypes associés aux femmes et à la bière, les femmes brasseurs créent un espace dans une industrie qui semble être asymétrique.

Jacoba Mol, 27 ans, a récemment déménagé à St. John’s, T.-N.-L. de Halifax, N.-É. pour poursuivre une carrière dans le brassage.

«C’est en quelque sorte l’une des choses amusantes … c’est que tout est simplement en train d’essayer de nouvelles choses, surtout, surtout pour moi-même, car je n’ai pas une formation formelle en brassage. C’est juste une sorte d’essais et d’erreurs, pour être honnête », a déclaré Mol.

Armée d’un baccalauréat en chimie et d’une maîtrise en océanographie, cette femme de science intègre habilement les compétences de son éducation à son amour pour l’artisanat de la bière. Les tas de créativité qui émergent de son expérience en chimie et l’expertise technique de l’océanographie font une combinaison puissante pour son rôle actuel.

«La voie que j’ai empruntée est plutôt une sorte de science et d’ingénierie pratiques. Ce n’est pas, comme, une chose de recherche fondamentale, mais je suis encore en quelque sorte en train de faire de la science, de l’ingénierie, mais de la pratiquer d’une manière qui est plus visible, en fait », a-t-elle déclaré.

Bien que la recherche puisse sembler isoler socialement, Mol a déclaré que l’une de ses parties préférées du travail consistait à interagir avec les gens et à surveiller la satisfaction de ses clients tout en sirotant un verre qu’elle avait préparé pendant des semaines.

«Donc, vous prenez, vous savez, des ingrédients crus. Quatre semaines plus tard, quelqu’un en boit au bar et les gens deviennent passionnés par la bière », a déclaré Mol.

Dans les sciences et l’industrie brassicole, la réalisation de la parité entre les sexes reste un écart qui doit encore être comblé. Mais Mol croit que des progrès sont en cours.

“Je pense qu’en passant de mon baccalauréat à ma maîtrise, comme je passais par ma maîtrise également, il y avait certainement une augmentation du rapport femmes / hommes”, a déclaré Mol.

Heureux que l’industrie de la bière artisanale à Terre-Neuve ait été réceptive au changement bienvenu en matière d’équité entre les sexes, Mol a déclaré: «Je pense que Terre-Neuve dans son ensemble est très en avance sur son temps en termes de participation directe de nombreuses femmes le processus de brassage ou dans la gestion de la brasserie ou de la boutique ou des choses comme ça. C’est vraiment agréable à voir. »

Pour Mol, originaire de Woodstock, en Ontario, le travail a ajouté une nouvelle perspective à sa vie.

«C’est en quelque sorte l’une des choses intéressantes à propos de devenir brasseur, c’est qu’avant … je buvais beaucoup de bière artisanale, mais je ne discernais pas aussi ce que c’était. Je me disais: «J’aime ça, ou pas», a déclaré Mol. “Maintenant que j’ai une certaine expérience dans le monde de la bière … parce que même si ce n’est pas nécessairement mon style préféré, je peux apprécier que c’est une très bonne bière.”

Sa bière préférée?

«C’est difficile, c’est vraiment difficile», a-t-elle déclaré. “Parce que je peux apprécier le genre de contenu.”

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