News bière – Produire, fruits de mer, bière et autres distributeurs souffrant également de fermetures de restaurants de l’Ohio – Houblon

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À 21 heures. le dimanche 15 mars, tous les bars et restaurants de l’Ohio ont été condamnés à fermer jusqu’à nouvel ordre – à l’exception des affaires de plats à emporter et de livraison.

De toute évidence, cette action aura des effets dévastateurs sur l’industrie hôtelière et toutes les personnes qui travaillent dans les bars et restaurants de la région. Mais les effets d’entraînement sont tout aussi destructeurs, les entreprises de soutien telles que les distributeurs de fruits de mer, de fruits de mer, de bière, de vin et d’alcool perdant une part considérable de leurs activités.

«Nous faisons une bonne partie des activités de vente au détail, mais la majorité de nos activités concernent les restaurants qui ont fermé», explique Matt Swingo, directeur des ventes de Catanese Classic Seafood. “En ce qui concerne le produit, nous avons réservé beaucoup de choses qui apparaissent ici sur les camions tout au long du week-end. Nous sommes à peu près entièrement approvisionnés. »

Il y a peu de produits périssables comme le poisson frais, et Catanese fait tout ce qui est en son pouvoir pour déplacer son inventaire, à savoir implorer les détaillants locaux comme Heinen’s et autres de transporter et de pousser le poisson en organisant des promotions. Les clients peuvent également acheter directement à Flats et à l’intérieur du West Side Market.

«De nombreux produits dont nous avons une surabondance seront gelés et utilisés à une date ultérieure», ajoute Swingo.

En tant que principal fournisseur d’aliments frais pour les restaurants gastronomiques, Premier ProduceOne, basé à Cleveland, possède également des entrepôts regorgeant de produits de printemps destinés aux restaurants de toute la région.

«Je suis assis sur des millions de dollars de produits ici – 800 caisses de fraises, 2 000 caisses d’oranges 4 000 caisses de pommes…», explique le partenaire Tony Anselmo.
Comme pour Catanese, Anselmo invite les détaillants locaux comme Giant Eagle et Heinen’s à intensifier leurs achats auprès de distributeurs locaux comme lui.

«C’est le moment où nous avons besoin que nos entreprises de vente au détail nous soutiennent», dit-il.

Jeff Draeger, directeur des ventes de Sixth City Distribution, estime qu’environ 40% des ventes de bière de son entreprise vont aux bars et restaurants, le reste aux magasins de détail.

«Cela va certainement avoir un impact majeur, mais heureusement, il y a pour nous le côté de la vente au détail qui est actif et plus occupé que jamais, car les détaillants indépendants et les épiceries en chaîne sont la seule source pour les gens d’acheter de l’alcool», rapporte-t-il.

Les plus grandes brasseries qui peuvent et mettent en bouteille et distribuent dans les magasins de détail s’en tireront beaucoup mieux, ajoute-t-il, que les petites brasseries de niche qui opèrent dans tout le nord-est de l’Ohio.

«Les gens qui sont vraiment en difficulté sont les petites brasseries locales où tout leur modèle commercial est basé sur les ventes de bière pression dans leur bar ou dans d’autres bars et restaurants», dit-il.

Bien que ces brasseries puissent vendre des crowlers et des growlers de bière à emporter, la demande diminue probablement à chaque réprimande publique supplémentaire.

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