Dans mon errance webesque à la recherche d’infos non coronavirusiennes, je tombe sur un article d’Ornithomédia concernant les cygnes et les kayakistes. J’apprends, au milieu de l’article, que le cygne, comme les autres anatidés (on révise ses anatidés : ce sont les … les … ? allez j’attends la réponse ; les oies et les canards, oui, c’est cela). Donc j’apprends, disais-je avant de vouloir jouer à la prof qui animerait un jeu télévisé, j’apprends donc (on va y arriver) que, après la nidification, le cygne et les autres anatidés muent. Ils perdent d’un coup toutes leurs rémiges, c’est-à-dire les plumes qui leur servent à voler, ce qui les confine sur la mare. Bien entendu, les rémiges repoussent, mais cela prend un peu de temps, temps pendant lequel ils sont vulnérables. Leçon du jour : au milieu de la mare ou au milieu du salon, que tu sois cygne ou que tu sois humain, prends ton mal en patience. Quant aux kayakistes … lisez l’article en entier pour les placer là où il faut dans le scénario.
Un cygne réticulé qui a encore toutes ses rémiges et qui sait qu’il peut voler