Bière artisanale – l’art de donner le bâton à battre – Bière blonde

Publié le 28 mars 2020 par Cafesecret

Manquant d'humilité et de savoir-faire, l'acheteur RSCA a raté son rendez-vous avec l'histoire. Anderlecht est aujourd'hui un club sans résultats, sans équipe, sans ressources et sans vision claire.

En lisant les événements qui contraignent le monde d'aujourd'hui à se recroqueviller dans l'isolement, les résultats des deux années de gestion de Coucke sont tronqués. Du moins - soyons prudents - dans son incertitude infinitésimale quant à la non-participation d'Anderlecht aux Playoffs 1. Une grande première en 11 éditions, qui se serait (ou non) matérialisée par une 7e ou 8e place, la 15 mars, date d'une dernière journée de phase classique déprogrammée pour force majeure.

Un an après le brassage d'une série de 55 campagnes européennes consécutives qu'il avait anticipées en détournant habilement la colère des supporters par l'effet de l'annonce du retour de Vincent Kompany, le patron du RSCA cette fois sauvé par le coronavirus . Statistiquement, il n'est peut-être pas le premier président violet de l'ère des séries éliminatoires à avoir raté le top 6. Lorsqu'un match se transforme en épave collective, on sauve parfois l'honneur comme on peut ...


► Deux ans après l'arrivée de Marc Coucke, que reste-t-il d'Anderlecht, un club traditionnel qui célébrait un titre de champion tous les deux ans en moyenne?


► La folie de la grandeur: les finances d'Anderlecht n'ont jamais été autant dans le rouge
.

► Les jeunes n'effacent pas 4 mercatos chaotiques: sur le terrain, la satisfaction individuelle et collective est beaucoup trop rare.

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