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Info bière – Un lecteur de bande dessinée en détention: Fletcher Arrowsmith vs COVID-19 (jours 13 et 14) – Bière noire

Publié le 30 mars 2020 par Cafesecret

Info bière – Un lecteur de bande dessinée en détention: Fletcher Arrowsmith vs COVID-19 (jours 13 et 14)

 – Bière noire

Info bière – Un lecteur de bande dessinée en détention: Fletcher Arrowsmith vs COVID-19 (jours 13 et 14)

 – Bière noire

C'est le week-end, un super week-end. Ayons une attitude positive en ces temps d'enfermement. Sur mon île de Themyscira, j'ai trouvé quelque chose à faire. De la bière. Un bon premier essai a échoué a priori. Je vais voir avec Guy Gardner qu'il va me donner une main ou plutôt un coude car je vous rappelle qu'on ne sert plus la main (voir la bible des gestes barrières). Entre 2 romans de Maurice Leblanc, j'ai défié tous les tabous en regardant Spider-Man: loin de chez soi. Et si l'ennemi n'était pas Covid-19 mais le film de Jon Watts. A demain amis.
■ par Fletcher Arrowsmith

JOUR 13 et 14: samedi 28 mars et dimanche 29 mars

Daredevil n ° 315

Info bière – Un lecteur de bande dessinée en détention: Fletcher Arrowsmith vs COVID-19 (jours 13 et 14)

 – Bière noire
Poursuite et fin de la confrontation entre Choc, la fille de Monsieur la peur et Daredevil. D.G. Chichester ne parvient pas à renouveler le personnage qui fait craindre son entreprise fondatrice. Le monde de la bande dessinée a toujours aimé les passions familiales mais ici ça nous manque. Les plus intéressants de ce numéro sont les 2 prologues dont le dernier avec le retour de Caid (que nous avons vu ici et là depuis sa chute en Daredevil 300). Deux chiffres, puis va pour le personnage de Shock. Faites une très légère apparition dans un numéro spécial de Peur (( Fear Itself: Fellowship of Fear en 2011). La course de D.G. Chichester reste aléatoire, après un bon départ cependant. Seule satisfaction, les dessins de Scott McDaniel qui a maintenant le caractère de Daredevil et dont le style évolue, s'affirme.

Astérix chez les Bretons

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 – Bière noire
Ceci est le 8ème album du duo René Goscinny et Marcel Uderzo. Astérix et Obélix vont marcher avec nos amis anglais alors Bretons. Tout est une histoire de tonneau (week-end de bière je vous le dis) Encore une excellent album où les 2 amis s'amusent avec les habitudes et coutumes du pays visité. Entre eau chaude, bus à impériale et rugby, rien n'échappe à Goscinny et Uderzo et à chaque fois avec humour. Nous rencontrons les Beatles en parlant du futur tunnel sous la Manche. Clairement l'un des meilleurs albums à un rythme soutenu. Et puis qui n'aime pas se moquer de nos meilleurs ennemis. Prochain arrêt, la Suisse chez les Helvètes.

Le pays imaginaire promis, volume 12

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 – Bière noire
Vous devez varier les genres. Amoureux de la bande dessinée au sens large et mondial, j'aime me plonger dans la production asiatique à travers leur manga. J'y suis venu par Akira, J'y suis resté avec des auteurs comme Jirō Taniguchi, Inio Asano ou Naoki Urasawa. Succès critique et public, Le pays imaginaire promis écrit par Kaiu Shirai et conçu par Posuka Demizu est le manga à la mode. Boost dans l'intrigue. Le volume 11 a vu la victoire d'Emma et de sa bande à Golden Pond. Maintenant, ils passent à l'offensive à la recherche des 7 murs. Le scénario prend quelques mois en arrière. Loin d'être contemplatif, pas de répit pour nos héros qui devra faire face au clan Ratri souhaitant préserver la Status Quo entre les humains et les monstres. La menace n'a jamais été aussi grande. UNE shonen addictif, un original qui joue pleinement le côté feuilletonsque. Fortement suivi.

Retour vers le futur

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 – Bière noire
Retour vers le futur est Un de mes films préférés. L'imagination au pouvoir et la effets spéciaux servir le scénario et non l'inverse. le répliques cultes fusible. Les clins d'œil augmentent et chaque nouveau visionnage me fait découvrir plus de choses. Retour vers le futur c'est plus qu'un film de pop-corn. Il ressort du film une nostalgie du passé au service du présent qui fait du bien en ces temps troublés. Marty McFly ne fait pas que changer le passé, il invente un nouveau cadeau, qu'il veut mieux. Clairement un très grand film.

Spider-Man: loin de chez soi

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Ça y est, nous avons enfin vu le dernier film qui tente de Studios Marvel, à savoir Homme araignée Loin de la maison datant de 2019 réalisé par Jon Watts. Je révèle immédiatement le verdict: Kid Arrowsmith a adoré, j'ai trouvé ça, juste pour ne pas offenser plus de gens. Déjà ce n'est pas mon Spider-Man. Ce n'est pas un reproche, c'est un constatation. Prendre la version Ultimate, l'adoucir en flirtant avec un public très très jeune, ça ne donne pas un bon Spider-Man à mes yeux. Que ce soit Spider-Man ou son alter égo Peter parker, J'ai trouvé leur apparence à chaque fois, insupportable. Les effets spéciaux sont comme maintenant au sommet. Difficile en 2019 de rater les effets spéciaux. Mais si peu d'innovation et d'imagination. Les fonds verts ont maintenant pris le pouvoir. L'infanterie sonique vous casse les oreilles et les explosions remplacent les jeux d'acteurs, ces derniers empêtrés dans des combats chorégraphiés rendus illisibles car il y en a tellement à l'écran. Toujours plus pour nos rétines noyées. Il y avait un terrain fertile dans le scénario de Spider-Man loin de chez soi comme les conséquences de simulacre planétaire Avengers: Fin de partie ou les tribulations de la classe de Peter Parker à travers l'Europe. Mais la médiocrité saisit rapidement tout cela. D'ailleurs, les scénaristes, comme les lâches, échappent rapidement à des situations si typiques et classiques de la spider-manienne de la montée en l'air. De toute évidence, l'identité secrète de Peter Parker les agace. Donc, petit à petit, on voit rapidement d'où ils viennent. Tom Holland passe son temps à retirer son masque, donnant à un tel expert de la naïveté et de la stupidité, sa confiance dans le premier adulte qui arrive (scène époustouflante au bar avec Mysterio à Prague). Cependant dès que le film aborde les sentiments entre Mary Jane (l'incroyable Zendaya) et Peter Parker on retrouve ce qui fait le sel de ce personnage. Mais là encore, vous devez être rapide et l'expédier. La deuxième scène post générique confirme mes propos. Mais pourquoi un super-héros ne peut-il pas garder son identité secrète avec tous les malentendus qui vont avec? Niveau comédie ou vaudeville il n'y a rien de mieux. En bref, un autre film de super-héros prometteur mais raté.

Côté BD

j'ai un très grand désir me relire Y le dernier homme par Brian K. Vaughan. Et certaines Ligue de justice aussi. J'aime me blesser, je cible la nouvelle période 52. JSA et Wonder Woman ont également réapparu. ■

Info bière – Un lecteur de bande dessinée en détention: Fletcher Arrowsmith vs COVID-19 (jours 13 et 14)

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