Un petit tour sur le Facebook d'Aurélien Barrau pour écouter sa vidéo destinée aux étudiants de Sciences Po m'a ensuite conduit à ce post :
Aurélien Barrau commente ainsi :
"Lordon appelle ça "le moment Potemkine". Quand ce n'est juste plus possible. Quand on a atteint un niveau où ne *peut* plus continuer. Peut-être est-il venu. Peut-être faut-il espérer qu'il soit venu.
Le moment où on dit juste "non".
(Le problème ce ne sont pas les lignes peintes pendant le confinement, le problème c'est qu'ils dorment dehors. Je rappelle qu'en Ile-de-france il y a 3 fois plus de logement vacants que de SDF.)"
Mais si je note ce fait, en soi révoltant (mais il y a tant de choses révoltantes en ce moment que l'on n'en finirait pas de tonner contre), c'est surtout qu'un peu plus loin, j'ai trouvé un commentaire d'un certain Marc Andres qui joint une planche de l'album La Question de Marc-Antoine Mathieu, ce dessinateur merveilleux qui a fait retour voici peu dans ces pages :
Voir Frédéric Lordon, Le moment Potemkine.