Promesses et milliards, une fois de plus, lui (Macron) servant à masquer son impuissance à gérer la crise sanitaire. Il a failli de A à Z.
Un monument de vacuité.
Par Nanouche
Cynisme et mensonges. Un fake-président qui lui-même fait dans les fake-news à sa gloire, comme lors de son déplacement au Kremlin-Bicêtre. La débâcle du " Nouveau Monde " est telle, que l'Élysée a tenté de faire croire que Macronéron avait été applaudi par les soignants de l'hôpital du KB, alors que c'était la critique de sa politique par une infirmière (coupée au montage) qui avait été applaudie. Ecoeurés les soignants ont diffusé les vraies images sur les réseaux sociaux. Voilà où nous en sommes !
Après son discours aux faux accents gaullien, lundi soir, c'était le flou artistique pour cet acteur raté, excepté pour une date le 11 mai. Promesses et milliards, une fois de plus, lui servant à masquer son impuissance à gérer la crise sanitaire. Il a failli de A à Z. Affabulateur pour naïfs... Et le clou du spectacle de Narcisse ; "sachons sortir des sentiers battus, des idéologies", et "nous réinventer, moi le premier", retour du " j'ai changé ", dessinant ainsi la perspective d'inflexions politiques après ce fiasco, dans le sillage de ses précédentes allocutions, en campagne pour 2022, il va abracadabra se transformer en " souverainiste " ". Le voilà promettre aux Français " qu'il va se réinventer ". Il devrait confiner sa bouche pour éviter de propager le virus du mensonge. "Nous retrouverons les jours heureux, dans un esprit de solidarité et de confiance, dans les prochaines semaines, avec toutes les composantes de notre nation, je tâcherai de dessiner ce chemin "... Ayez foi en Jupiteux, brebis égarées, amen, et référence historique à ce qu'il considère comme la préhistoire. C'était au théâtre ce soir ! Pénuries, incompétence, incohérences, inanité et impréparation ; la crise de légitimité de ce gouvernement couve. Gouverner c'est prévoir et même l'impossible, mais pour lui, c'est mentir. 28 plaintes ont été déposées.
'Le Point' a eu droit à son interview exclusif avec Manu1er, il " assume totalement " ses choix sur le maintien des municipales et le refus du port du masque pour tous, assume-t-il aussi le nombre de personnes décédées ? Conclusion ; monsieur " j'assume ", n'a pas changé et les conséquences catastrophiques de sa gestion vont encore empirer. Aucune surprise de son manque de recul, de son incapacité à se remettre ne serait-ce qu'en cause : il ne doute pas, ne s'est jamais trompé, a pris les bonnes décisions au bon moment et toujours très satisfait de son auguste personne et de sa petite équipe de Bêê à son image. Sidérant ! Macronéron perd toute capacité à prétendre gouverner un peuple qu'il a sciemment mis en danger pour servir ses intérêts personnels. Sa légitimité gît désormais sous des cadavres. Il ne peut être question de 'faire' société avec ce décideur d'hier, responsable de la crise d'aujourd'hui, il ne peut donc prétendre à dessiner, et encore moins à incarner, le monde de demain. Le grand coup de balai de sortie de confinement ne sera pas tant animé par la colère que par la nécessité de pouvoir refonder collectivement un corps politique souverain, auquel l'intérêt général et la vertu républicaine conféreront les bases d'une nouvelle légitimité. 'Ceux qui ne sont' rien malgré les séances câlinothérapies à répétition devenus des héros, ne se sacrifieront pas pour celui qui a passé son temps à les mépriser en les dédaignant du haut de sa suffisance et arrogance, allant jusqu'à prétendre qu'ils étaient tellement bêtes, qu'ils ne comprenaient rien du " projéééé " fantastique du Télévangéliste dont le " Nouveau Monde " était idyllique, avec propos outranciers et vulgarité au top... On voit et constate le résultat chaque jour depuis l'avènement de 'cette chose' qui n'avait comme seul " projet " pour le pays que sa propre personne ; Narcisse ! Il n'y a pas de consensus ni d'unité nationale autour de lui. La défiance à l'égard de ce pouvoir s'enracine. Opérations com' invraisemblables, il ne fait que parler, il ne sait faire que cela. Inaudible, bien qu'il intervienne quasiment tous les jours, sous les formes les plus variées, pour combler par ses discours et ses déplacements le vide de sa politique. La fuite devant ses responsabilités se traduit par une vertigineuse débauche de bavardage narcissique et de communication et à présent à coups de milliards. Quand le seul projet d'un homme pour un pays est sa propre personne, cela donne les résultats que nous connaissons depuis plus de trois ans, ajouté à cela, ce fiasco sanitaire et nous nous retrouvons avec un monument de vacuité qui ne sait plus comment faire pour s'en sortir, alors le confinement est prolongé jusqu'au 11 mai, voilà une des prescriptions de l'ordonnance de M. Charlatan. Incurie au sommet de l'Olympe. La nullité avérée de Mégalo1er jette une lumière crue sur l'affligeante médiocrité de son " Nouveau Monde " pendant cette crise qui fait naufrage dans l'indécision, l'impuissance, les volte-face, les mensonges, contre-vérités techniques, défausse, sous-équipements, culpabilisation. Inexistence de plans d'action et aucune stratégie claire ni aucun communiqué cohérent. Nous ne sommes pas près de nous en sortir, car Macronéron navigue à vue et sans véritable politique hormis un confinement auquel il ne croyait pas et qui lui a été imposé par la force des choses. Et par conséquent, il continue avec ses mots creux pour des maux réels. Alors, après le slogan LaFranceUnie, après l'unité nationale... Le pacte républicain. Sa com' s'est retournée contre lui parce que basée sur le récit d'un " héros français " qu'il s'imagine être. Une façon de faire qui ne correspond pas à la sobriété exigée pour une crise aussi inédite qu'incertaine. Jusqu'à maintenant, à grand renfort de références mémorielles, il s'était essayé à accréditer aux yeux des Français la dimension historique de son storytelling mais l'abus de copyright n'a pu dissimuler la pénurie des moyens, les décisions contradictoires, les contretemps de l'action publique, les éléments de langage préfabriqués pour couvrir des dysfonctionnements criants. La guerre était proclamée, mais elle n'était que d'incantations tant les propos officiels n'étaient que le masque sémantique d'une situation absolument pas maîtrisée. Une promesse de rédemption dont on se souvient qu'elle ne fut rien d'autre déjà qu'un plan communicant au plus fort de la crise des 'Gilets jaunes'. Non, nous ne sommes pas guerre, parce que cela sous-entend de l'être contre des hommes et un autre État, et personne ne se lèvera comme un seul homme pour un général de pacotille qui n'a pas su protéger la nation, mais qui a tenté de se protéger lui-même depuis le début ayant osé dire au Kremlin-Bicêtre " je ne vais pas endosser les responsabilités des autres " et qui ne sait pas ce que gouverner veut dire ! En revanche, est-ce que le cynisme de ce gouvernement sera l'occasion de rogner sur les droits des salariés, comme il en rêvait avant cette crise sanitaire ? Les Français mettront un coup de collier, mais pour eux, pour sauver leurs emplois, leurs entreprises et non pas parce qu'un minable qui a passé son temps à les humilier aura évoqué la situation du pays. La prolongation du confinement par manque de moyens va laisser derrière elle un champ de ruines économiques dont les Français ne doivent pas payer l'addition. Macronéron et sa clique sont grandement responsables. À eux d'assumer leurs impérities. Hubris Manu1er n'est pas un chef de guerre. Il n'incarne rien, il ne ressent rien, il n'exprime rien. Son cinéma ne trompe personne. S'il pense s'en tirer à bon compte après la crise, parce qu'il aura lâché des milliards pour se rattraper, il commet une erreur gravissime. Sa pseudo-humilité flagrante a été l'occasion pour les journaux allemands d'ironiser. Mardi propos de Philippe à l'AN : " " Le système hospitalier n'a pas été débordé, mais soumis à une tension extrême. Il a tenu " dit-il. Mais, est-ce que le système hospitalier avait un autre choix que de tenir ? Non ! Il a tenu, mais grâce à qui ? Certainement pas grâce à ce gouvernement ! Pas débordé ose-t-il, et demain ce sera ; heureusement que nous avions tout anticipé ! Propos scandaleux. Indigne et ignoble premier sinistre dans le déni ! Quel manque de respect total envers le dévouement sans faille des soignants. C'est ainsi qui leur rend hommage ? Une chose est sûre, il n'a pas besoin de respirateur celui-là : il ne manque pas d'air !
Dans la France confinée, la colère gronde. Macreux1er décide seul, démonstration faite par un Professeur du CHU de Lille avec des robots pour les tests, réponse de l'ARS " on va demander à l'Élysée ", imbu de la supériorité de sa propre " pensée " tout est centralisé au château, aberrant. Rien ne serait choquant si nous avions un vrai chef de guerre à la place d'un gamin hors sol !
Il déclinerait ensuite toute " responsabilité " ? De l'aveu d'un sinistre qui souhaite rester anonyme, l'enfant roi sans expérience" n'en fait qu'à sa tête "... Un gamin à la tête d'un État en cette période qui continue dans ses caprices, son orgueil, sa suffisance, etc., conclusion, une nation entière en danger ! Car cette crise ne nous aura pas seulement montré que de piètres communicants ont été à l'œuvre. Elle aura fait voler en éclat ce " Nouveau Monde ", ce " progressisme " vide et méprisant dont les théoriciens nous rebattaient les oreilles il y a encore quelques mois. La France n'est pas un concours d'entrée dans les grandes écoles, la gestion cool d'une 'start-up' ou un renvoi d'ascenseur à " ceux qui ont pris part à l'aventure ". Être président de la République, c'est une vraie fonction qui exige de connaître et de sentir le pays, de le prendre tel qu'il est et non tel qu'on rêverait qu'il soit. Elle réclame de l'expérience, le sens du possible, une réflexion rapide avant de parler et même parfois de la modestie. Toutes qualités dont Narcisse et ses équipes venues au pouvoir avec lui sont dénuées.
Que Macronéron médite son propre propos " on se souviendra de ceux qui n'ont pas été à la hauteur ".
Nanouche
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