Aucune période de congés scolaires de printemps ne ressemble à ce que nous vivons en ce moment. Pour la première fois, il faut une autorisation pour sortir de chez soi, il faut se contenter du ciel par la fenêtre, d’un jardin pour les plus chanceux. Face à ces vacances qui ne ressemblent pas aux autres, qui ne ressemblent à rien, j’ai eu envie de me replonger quelques années en arrière, du temps où prendre quelques jours de vacances signifiait juste « laisser sur le bureau les copies en retard, on verra ça au retour ». Il y eut d’autres 20 avril.
20 avril 2014 – Dernières heures de vacances à Copenhague
Ce printemps-là, nous avions donc passé quelques jours dans la capitale danoise, quelques jours au soleil qui plus est. La photo ci-dessus est une des toutes dernières, mais elle pourrait aussi être une des premières. Rien à voir avec la petite sirène, juste une supérette à un carrefour, là-même où nous avions demandé notre chemin au commerçant, car, en ce temps-là, il valait mieux déconnecter internet à l’étranger sur son smartphone, il n’y avait pas les accords d’itinérance, et ça coûtait une blinde. Donc pas de GPS. Donc premier commerce venu pour se repérer dans un quartier périphérique de Copenhague.