Cette réflexion pose des interrogations, non pour répandre des rumeurs et jeter l'opprobre. Partie I
Le Covid-19 est chinois ! La preuve...
Par Daniel Desurvire
Première partie
Cette réflexion pose des interrogations, non pour répandre des rumeurs et jeter l'opprobre. J'y associe des associations historiques et le produit d'investigations, non des amalgames pour induire le discrédit. Enfin, j'aspire à connaître et disséquer la vérité des mystifications, non pour formuler des procès d'intention. Toute la difficulté est dans la nuance et le discernement pour ne pas sombrer dans la calomnie ; le persiflage et le courage de parler vrai n'emportant pas diffamation. Partant du principe que l'on ne sait rien sans une étude documentaire croisée, vérifiée et confirmée, à défaut de quoi le mensonge n'est jamais loin, l'analyse qui découle de cette réflexion devrait interpeller.
Autre réflexion moralement prophylactique pour entretenir l'honnêteté autour de cette fragile vérité, serait de constater que toute catastrophe humanitaire, conflictuelle ou bactériologique profite fatalement à ceux qui l'ont provoqué. Cette stratégie consiste à arroser au passage les acteurs de la haute finance qui opportunément profitent d'une situation calamiteuse pour le peuple ; avec prêts et intérêts comme cela se produira, mais sur le dos des petites contribuables dès le déconfinement. Les gains concomitants des industriels, des laboratoires et de la classe politique cupide, vaniteuse et servile - non pas auprès de leurs électeurs mais des nababs qui les ont insidieusement mis en place grâce notamment aux financements occultes de leur élection - achèvent de clore ce sinistre tableau de la corruption globale autour de ce libéralisme dévoyé (libre-échange et anti-protectionnisme social).
Venons-en aux faits. Le Covid-19 aura révélé, non pas une catastrophe sans précédent, car il fut beaucoup d'autres et des pires, la suite logique d'un manège géostratégique global, où la peur fait tourner la roue de la fortune des hautes finances. Ce qui change néanmoins la donne, c'est l'éducation des citoyens lambda de moins en moins commodes à suborner, puis les moyens numériques d'information que les dirigeants ont beaucoup de difficulté à totalement étouffer sur le net. Ma première indication serait de diriger le lecteur à s'instruire des conclusions du Prix Nobel de physiologie ou de médecine le 6 octobre 2008 ; le professeur Luc Antoine Montagner autour de cette dernière pandémie. Je résume :
Le célèbre scientifique s'est penché sur la nature de ce virus mutant, en y disséquant ses organes microbiologiques. Selon les résultats de ses recherches, il apparaît que le génome de cet agent infectant révèlerait des traces lisibles du virus VIH. De surcroît, en remontant la chaîne Adn/Arn du coronavirus (SARS-CoV-2), une géolocalisation de ces partenaires viraux ramènerait à une source obscurément chinoise, précisément là où fut déclaré cette nouvelle attaque du Covid-19 en décembre 2019, dans la province de Hubei à Wuhan en RPC. Autant d'information révélatrices, que confirment une piste de la CIA, ne pouvait que susciter l'émoi dans la classe politique qui, sans attendre une quelque investigation contradictoire, s'est mise à vociférer ô scandale, jusqu'à évoquer la théorie du complot.
Or, la réalité conforte cette donnée scientifique, puisque c'est souvent depuis là que se propage ces virus mortels. Rappelons la " grippe dite asiatique " entre 1957 et 1958 s'est propagée depuis les provinces de Guizhou et du Yunnan, ou celle de l'été 1968, dite " grippe de Hongkong ", ou encore la grippe dite " espagnole ". Sur cette dernière, la " H1N1 (gène aviaire - H5N1- H5N6), même si ce virus a été signalé la première fois au Kansas, circula une nouvelle fois fin 2000 dont la souche fut reconnue au Vietnam, puis confusément en Asie en 2005, puis de nouveau plus précisément en Chine dès le mois de février 2020. Sras, grippe aviaire, grippes asiatiques, toutes les variétés de l'influenza (grippe A H7N9) et Covid-19, sont issues de l'Empire du milieu, mais en un point précis de la carte chinoise : le laboratoire de virologie P4 à Wuhan, dit de très haute sécurité biologique contre les virus pathogènes pour lesquels il n'existe pas encore de vaccin. Alors, accident, négligence ou intention délibérée de propager une maladie mortelle pour vendre à milliards un antidote sorti du chapeau ?
Pour l'histoire, une coopération sino-française s'était établie sur une ancienne concession chinoise détenue par l'Hexagone, où fut construit le premier laboratoire chinois de virologie, à l'origine avec le projet de scientifiques français, pour étudier la possibilité d'un vaccin contre le VIH. Il fut constaté que les laboratoires mobiles de biologie P3 en Chine, financés par le Gouvernement Raffarin sous la mandature de Jacques Chirac après l'épidémie du SRAS, furent couverts d'opacité par leurs commanditaires de Pékin. Dans les faits, les chercheurs français n'eurent jamais la possibilité de coopérer aux travaux. Les soupçons étaient fondés, puisque le Secrétariat général à la défense et à la sécurité nationale (SGDSN) redoutait que cette entreprise soit secrètement destinée par la Chine pour y travailler un arsenal militaire biologique.
En violation de la Convention internationale sur l'interdiction des armes bactériologiques, ou à toxine, (CABT) entrée en vigueur le 26 mars 1975, non signée mais transposée en RPC le 15 novembre 1984 (Conseil de sécurité oblige), la Dictature prolétarienne semble n'en faire qu'à sa tête ! En attendant, le mathématicien Jean-Claude Perez, pionnier de la neuro-informatique [l'A.I.] en 1980, en témoigne ses travaux sur la structure numérique de l'Adn, conforta la thèse du Professeur Luc Montagnier.
De même que des chercheurs indiens ont tenté, par une étude non publiée, car politiquement trop sensible eu égard à son voisin immédiat au Nord, que le génome du coronavirus dispose de séquences propres au VIH (six régions stratégiques du virus du sida, 1 % e la longueur du génome). Cette relation entre les deux souches réunies dans un même virus, donc fabriqué artificiellement de la main de l'homme, confirme aussi l'origine géographique du laboratoire chinois susvisé, lequel aurait laissé échapper ledit virus Covid-19, là où indubitablement est né la collaboration entre la France et la Chine dans la province de Huhan.
La suite demain !
Ancien directeur du Centre d'Étude juridique, économique et politique de Paris (CEJEP), correspondant de presse juridique et judiciaire. Daniel Desurvire est l'auteur de : " Le chaos culturel des civilisations " pointant du doigt les risques de fanatisme de certains cultes et de xénophobie de certaines civilisations, auxquels s'ajoutent les dangers du mal-être social, de la régression des valeurs morales et affectives ou de la médiocrité des productions culturelles, dont la polytoxicomanie en constitue l'un des corollaires. L'auteur choisit d'opposer le doute et le questionnement aux dérives dogmatiques et aux croyances délétères " (in, Les cahiers de Junius, tome III, "La culture situationniste et le trombinoscope de quelques intellectuels français" : Édilivre, 2016).
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