La
bonne consolation se produit, que le corps soit en état de veille ou même qu'il
se prépare à donner les premiers signes du sommeil, lorsque, dans un fervent
souvenir de Dieu, on est comme collé à son amour. Mais la fausse consolation se
produit toujours, comme je l'ai dit, lorsque le combattant est entré dans un
sommeil léger, en gardant un souvenir médiocre de Dieu.