À la mi-mars, l'inquiétude croissante concernant la pandémie de COVID-19 a poussé les entreprises hôtelières dans une situation particulièrement difficile, les États ayant ordonné la fermeture des taprooms. Du jour au lendemain, les brasseries qui comptaient vendre de la bière au bar à des clients fidèles ont dû déterminer comment continuer à fonctionner ou faire le choix difficile de licencier du personnel et de fermer. De nombreux États ont libéralisé les restrictions sur les ventes, supprimant les plafonds sur les quantités de bière que les clients pouvaient acheter à emporter, autorisant les commandes en ligne avec ramassage sur le trottoir et éliminant les restrictions sur les commandes et les livraisons à distance. Seul problème: de nombreuses brasseries qui vendaient exclusivement de la bière pression étaient mal équipées pour commencer à emballer.
Pendant une grande partie de l'histoire de la bière artisanale, les grognards (généralement, des cruches en verre de 64 onces) étaient le principal moyen de ramener la bière à la maison dans une petite brasserie ou une brasserie. Cependant, les cultivateurs désinfectants retournés par les clients étaient et sont une source constante de maux de tête pour les propriétaires de brasserie. À l'heure actuelle du COVID-19 sans contact, l'idée d'emmener le navire d'un client dans l'environnement assaini de la brasserie pour le remplir semble contraire aux directives de santé publique. Pourtant, peu de petites brasseries pouvaient se permettre l'investissement à six chiffres et plus dans une ligne d'emballage semi-automatisée.
Oktober Can Seamers répond à l'appel
Entrez le sertisseur manuel à petite échelle. Positionnée de manière unique pour aider les brasseries à combler le besoin de livrer de la bière aux clients, la sertisseuse manuelle offre un faible coût d'entrée pour la couture d'emballages recyclables unidirectionnels - des emballages qui peuvent être désinfectés avant le remplissage et purgés avec du dioxyde de carbone pour garantir la qualité. Oktober Can Seamers, basé à Grand Rapids, Michigan, est à la tête des frais pour les sertisseuses de boîtes manuelles à prix accessible.
Fondé par le concepteur de machines de précision Dennis Grumm - qui travaillait auparavant dans les exigences d'usinage serré de l'industrie aérospatiale - l'objectif d'Oktober était de réduire la complexité et les coûts de couture manuelle tout en maintenant les plus hauts standards de qualité. Grumm a commencé petit, avec une seule machine de test installée dans une brasserie locale (où cette machine fonctionne toujours aujourd'hui). Comme la brasserie a utilisé le prototype initial, la précision des coutures et les faibles besoins d'entretien ont été révélés. (Certaines brasseries utilisant des sertisseuses concurrentes à l'époque ont élaboré des procédures d'exploitation normalisées qui exigeaient un nettoyage complet après aussi peu que 50 canettes). L'entreprise a grandi. Une sertisseuse vendue en un mois s'est transformée en une sertisseuse vendue par semaine puis une par jour. Ils étaient partis pour les courses.
"Nous avons réalisé que de nombreuses petites entreprises n'avaient tout simplement pas besoin de tous les systèmes d'automatisation, de palettisation, de remplissage, etc., qu'une ligne de mise en conserve complète comprend", explique Grumm (photo ci-dessus). "Ils ont juste besoin de sceller les boîtes."
Grumm a conçu le sertisseur Oktober dès le départ avec une flexibilité à l'esprit, car l'expérience passée avec la bière artisanale a montré à quelle vitesse les tendances dans les tailles d'emballage peuvent changer. Les boîtes de seize onces étaient presque mortes en 2014, mais en 2016, elles faisaient fureur auprès des consommateurs qui les associaient à la qualité à petite échelle. Grumm savait que pour pérenniser ses sertisseuses et fournir la plus grande valeur aux clients des brasseries, il devait les concevoir pour gérer la variété de formats d'emballage que les brasseries pourraient vouloir utiliser - tout, des canettes tronquées de 8 oz aux canettes élégantes jusqu'à 19,2. cloisonnées oz et crowlers 32 oz.
Aujourd'hui, Oktober est allé encore plus loin et les clients de la brasserie peuvent acheter des ensembles d'outils qui permettent à n'importe lequel de leurs sertisseuses modèle 7 de sertir des couvercles (dans le langage industriel, des "extrémités") de différents diamètres. Une machine avec les divers ensembles d'outils peut assembler des canettes de 16 oz avant l'ouverture de l'entreprise ce matin-là, puis échanger l'outillage pour remplir à la demande des personnes de 32 oz tout au long de la journée. Ou, si les approvisionnements en emballages de Crowlers de 32 onces sont limités en raison des pics de demande, les brasseries peuvent remplacer l'outillage et remplir des boîtes de 16 onces plus facilement disponibles à la place.
"L'une des questions fondamentales que nous avions lorsque nous avons commencé était:" Où trouvez-vous une boîte non scellée? ", Explique Grumm. "Nous savions tout de suite que pouvoir fournir les boîtes vierges serait une pièce importante du puzzle. Nous avons fait les démarches et remonté lentement la chaîne d'approvisionnement. Maintenant, en fonction de la taille du client et de ses besoins, nous lui vendons directement ou nous le connectons avec une source locale qui peut lui vendre une palette ou deux de canettes ou de canots à la fois. Ou lorsque nos clients sont pressés, nous aimons être là avec des fournitures en stock pour les maintenir. Nous sommes plus qu'un fournisseur d'équipement, nous sommes un partenaire qui aide les brasseurs à résoudre les problèmes. "
Oktober s'engage également à faciliter la maintenance par l'utilisateur afin de réduire les temps d'arrêt pour les réparations. Alors que d'autres machines plus complexes sur le marché doivent être renvoyées au fabricant pour réparation - coûtant des jours ou des semaines à la brasserie sans emballage - Grumm et l'équipe Oktober ont conçu leur sertisseuse pour permettre aux brasseurs de compétence technique modérée de remplacer les pièces usées sur le machine à l'aide de kits qu'ils vendent tout en étant guidés par leurs instructions de service Youtube. Pour le prix de la réparation d'une machine concurrente, la plupart des brasseries pourraient acheter une toute nouvelle sertisseuse Oktober.
"J'essaie de concevoir les choses de la manière que j'aimerais qu'elles soient", explique Grumm. "Dans ce cas, je préférerais le concevoir si simplement qu'avec un peu d'instructions, n'importe qui pourrait réparer n'importe quelle partie de la machine qui aurait besoin d'être ajustée ou réparée. Cela résout de nombreux problèmes, comme le fait de ne pas avoir à envoyer une machine lourde dans les deux sens pour les réparations, ou de ne pas avoir à payer pour un réparateur coûteux pour effectuer un appel de service. Les machines elles-mêmes sont vraiment aussi simples que cela, donc il n'y a vraiment pas besoin d'un entretien complexe.
"Les toutes premières machines que nous avons construites fonctionnent toujours, et c'est parce que nous avons réduit la machine exactement à ce dont elle avait besoin. Il n'y a rien d'autre qui n'ait pas besoin d'être là. Aucune pièce supplémentaire à entretenir, rien d'autre qui puisse mal tourner et avoir un impact sur la machine. C'est pourquoi il est courant pour nos clients de sceller 100 000 boîtes avec seulement un nettoyage et un entretien de base. Avec juste un peu de nettoyage et de lubrification, ils continueront de fonctionner pendant de nombreuses années. "
Dans le passé, certaines brasseries ont évité les sertisseuses manuelles par crainte d'être difficiles à installer et à utiliser. Pour faciliter la transition, Oktober teste chaque machine avant sa livraison et garantit qu'elle est prête à fonctionner dès la sortie de l'emballage. Les brasseurs peuvent passer de zéro à la couture en quelques minutes. Pour les petites brasseries soucieuses de garder les lumières allumées pendant ces périodes difficiles, la dernière chose dont elles doivent s'inquiéter est que leur sertisseuse tombe en panne. Le prix d'Oktober étant un peu moins de la moitié de celui de ses concurrents, les petites brasseries pourraient même acheter des unités redondantes pour assurer un approvisionnement constant en bière aux clients.
Les brasseurs artisanaux des États-Unis et du monde entier se sont attachés à abaisser la barre à la propriété, et aujourd'hui Oktober Can Seamers accélère rapidement pour répondre à l'afflux de nouvelles commandes de sertisseuses. Partout dans le monde, les brasseries doivent mettre la bière entre les mains des clients, et le remplissage des producteurs n'est pas une option intéressante pour les brasseries soucieuses de la santé et du bien-être de leurs propres employés. Mais la montée en puissance de l'assemblage des sertisseuses de canettes Oktober n'a pas été une mince affaire, car le volume de commandes de l'entreprise a grimpé en flèche.
Pour répondre à la demande, ils ont recruté des amis d'Oktober dans toutes sortes de capacités, et les barmans et serveurs locaux mis à pied par des fermetures ont aidé à emballer des boîtes et à expédier des unités aux clients en attente. L'équipe de base d'une douzaine d'employés a consacré de longues heures à la transition de l'entreprise vers plusieurs équipes afin de réduire les contacts entre les employés. Certains membres du personnel ont installé des stations à leur domicile pour construire des pièces qui sont ensuite transportées par bateau et assemblées dans leur installation principale. D'autres se sont portés volontaires pour travailler le quart de cimetière. Alors que Grumm a rendu le lieu de travail flexible afin que les employés puissent gérer les défis de leur propre vie pendant la fermeture, les membres du personnel savent que chaque machine qu'ils expédient aidera les brasseries à fournir de la bière aux clients, et ils brûlent l'huile de minuit pour sortir les machines. la porte.
C'est difficile dans un environnement où les fournisseurs ont arrêté ou ralenti la production. L'équipe logistique a dû faire preuve de créativité dans l'approvisionnement, mais elle a su résoudre les défis de la chaîne d'approvisionnement et accélérer considérablement la production. Maintenant, ils produisent 400% d'unités de plus par semaine qu'ils ne le feraient normalement. C'est un rythme difficile à maintenir, mais c'est celui auquel toute l'équipe s'est engagée - non seulement pour le bénéfice de l'entreprise, mais pour aider tant de petites brasseries désespérées à rester des entreprises viables et à garder leurs portes ouvertes. Dans des conditions normales, l'entreprise a toujours promis un délai de livraison agressif de deux semaines. Malgré l'incroyable augmentation de la demande, ils ont pu maintenir le délai de livraison à seulement trois semaines. Avec jusqu'à 200 colis sortis à la fois, leur fournisseur d'expédition UPS doit maintenant envoyer des camions supplémentaires pour ramasser toutes les machines sortantes. Ce taux de vente par jour de la première année est plus proche de celui de l'heure aujourd'hui.
"Notre équipe est épique", dit Grumm. "C'est la plus grande partie de l'histoire. Ils sont ravis d'aider les endroits à garder une certaine quantité de revenus à venir. Tout le monde comprend à quel point c'est important, dans l'ensemble. C'est une mission importante d'aider les entreprises de bière artisanale en difficulté à traverser cette période difficile. Sur le plan personnel, c'est super important. "
L'avenir de la conserverie à petite échelle
Bien que les effets à long terme des fermetures de COVID-19 sur les brasseries restent à voir, l'un des effets de l'expansion de la livraison et de la livraison des brasseries modifie les attentes des consommateurs en matière de service. Il peut être difficile de structurer les petites brasseries pour qu'elles restent agiles tout en répondant aux demandes changeantes des consommateurs, ce qui rend les petits investissements comme une sertisseuse manuelle plus attrayants que les très gros investissements comme les lignes de mise en conserve automatisées. Quoi qu'il en soit, des marques comme Oktober qui desservent les clients des brasseries petites et grandes sont plus que jamais alignées pour aider les brasseries, les bars à bière et les détaillants de bière à traverser cette période difficile.
"J'adore la bière artisanale, nous faisons partie de cette communauté de bières artisanales et nous sommes tous dans le même bateau", explique Grumm. "Nous sommes dans cette position folle où nous pouvons aider."
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