Pour la dernière fois (en croisant les doigts pour que confinement ne revienne pas), ce matin, j’ai rempli cette fichue attestation de sortie m’autorisant à prendre le vélo pour faire les courses au marché. Je ne sais pas si ça se fête, mais au-moins ça s’arrose : depuis mon retour au home sweet home à des fins de préparations de risotto à l’encre de seiche (pour accompagner lesdites seiches préparées avec amour, un couteau, une poêle et de l’huile d’olive par mon homme), depuis mon retour, disais-je, il pleut il mouille en mode fête à la grenouille. Déjà, hier soir, le ciel nous annonçait un changement de temps peu propice à la bronzette sur la plage (ça tombe bien, la bronzette publique est prohibée tant que le virus n’est pas éradiqué). D’où ces quelques images :