Une étude du Général Dubois détaillée et argumentée sur ce qu'il faut faire pour enrayer l'islam en France. Chapitre 3
Par le général (2S) Roland Dubois
" Le tort des théories existe dans leur sécheresse ; le pourquoi semblerait ne pas leur appartenir, et ce pourquoi est cependant l'âme de notre action ".
Général de Brack (1789-1850).
J'aurais pu me contenter de proposer une liste de mesures à prendre pour contrer puis repousser l'islamisation de la France. Faire une sorte de mémento en quelque sorte. Séduisant par sa concision et sa compacité, le mémento fait peu de cas du pourquoi des choses qui est essentiel si on veut convaincre. Il ne convient qu'aux petites poches et aux petits esprits. C'est pourquoi j'ai pris le risque de faire long pour expliquer.
Chapitre 3 Réflexions sur la démarche de résistance à l'Islam :Dans le domaine de l'immigration, et, partant, de la sécurité intérieure, il est patent que nous n'avons pas de problèmes majeurs de police, mais un énorme problème de justice. S'il faut absolument ajuster nos lois et règlements, sanctionner sans doute les comportements déviants de certains magistrats, il faut aussi augmenter les moyens consacrés à la justice qui est une des plus mal dotée en Europe.
Le président ne s'intéresse pas à ces aspects vitaux du domaine régalien. Après avoir signé le " pacte de Marrakech pour des migrations sures, ordonnées et régulières ", il vient encore de le prouver lors d'une visite récente en Alsace qui n'a rien apporté de tangible.
Actuellement, toute notre politique en matière d'immigration est corsetée par des principes, des lois, des règles très permissives, laxistes, certaines imposées par l'Europe et que nous acceptons volontiers, quand nous n'en rajoutons pas au nom de nos " valeurs républicaines" et de notre " tradition d'accueil ". Les accès d'autorité, en paroles, sont rares, en actes, inexistants. Les récentes lois vont toutes dans le sens de l'amollissement. C'est ce qu'il faut inverser. En finir, dans ce domaine, avec le " tout est permis sauf.... " ; le remplacer par le " tout est interdit sauf.... ". C'est, pour les 20 ans à venir indispensable, vital. Ensuite, on verra.
Il faut que la politique d'immigration soit rigoureuse, restrictive, visant à l'assèchement rapide des flux migratoires, essentiellement musulmans, vers notre pays ; l'inverse de ce qu'on fait maintenant. Le filtrage doit se faire au cas par cas et, sauf exception, c'est l'intérêt national qui doit être d'abord pris en considération.
D'emblée on peut percevoir qu'il sera difficile de répondre à deux questions toutes deux très importantes :
quelle conduite adopter vis-à-vis de tous les récents immigrés, déjà citoyens français ?
quelle gestion de la situation transitoire, entre la situation actuelle et la situation qui résultera, en régime de croisière, des décisions futures ?
A moins d'un changement radical de vision politique au sommet de l'état, à l'occasion de nouvelles élections par exemple, nous ne pouvons compter sur les autorités en place, aveugles ou complices, pour changer les choses et il ne peut être espéré que leur comportement changera. Le levier d'action principal est l'opinion publique.
Il faut donc chercher à agir sur la population de souche plus ancienne et ouvrir ses yeux sur ce qu'est vraiment l'Islam, sur son emprise grandissante dans notre société qui évoluera inéluctablement à terme vers la société islamique idéale fondée sur la charia. Les Musulmans désireux d'intégration, qui est nécessaire avant l'assimilation, souhaitable, ne doivent pas être découragés ; et les autres contraints, soit à plier, soit à s'exiler ?
Toute action dans ce domaine peut être entravée, voire annihilée prématurément par des autorités politiques, policières ou judiciaires. Pour éviter cet obstacle, il convient qu'elle reste dans les limites légales ; tout en se préparant à les franchir dans l'hypothèse où l'autorité politique en place ne contrôlerait plus la situation, ou, pire, prendrait fait et cause pour l'adversaire.
L'armée française est légaliste. Elle obéira aux ordres du gouvernement élu que le peuple a choisi par des voies légales ; en tous cas tant que ne surgiront pas des événements sociaux majeurs mettant en péril la nation, que l'autorité politique se révèlerait incapable de juguler.
Le temps joue pour les islamistes. Grâce à la natalité de la population musulmane déjà présente, à une immigration invasive débouchant à terme sur la naturalisation, et à leur apparente acceptation de certaines règles démocratiques, par le jeu des élections ils vont s'emparer de postes d'influence, voire d'autorité, et imposer petit à petit leurs codes civilisationnels. Le noyautage de notre société est déjà en cours. Quand ils seront suffisamment en place, ils balaieront la démocratie dont ils se seront servis pour prendre le pouvoir et établiront la charia.
L'intérêt des islamistes n'est pas, dans l'immédiat, de susciter des événements de grande ampleur qui pourraient entrainer des réactions d'autodéfense des citoyens de souche, et qui sait, réveiller enfin nos dirigeants, et les amener à faire ce qu'ils refusent de faire depuis plus de trente ans.
Rôle des églises chrétiennes : C'est une question délicate. Depuis plus d'un siècle, et jusqu'à l'irruption de l'Islam dans notre société, la religion était considérée comme une survivance du passé que l'on tolérait dans la mesure où son rôle dans la vie de la cité était marginal. Maintenant le champ des esprits est en friche et c'est l'Islam conquérant qui envahit notre espace. Les églises sont vides mais les mosquées sont pleines. On n'a jamais autant parlé de religion que maintenant. Il faudrait ressusciter les Templiers. Mais chercher à revivifier le Christianisme dans les esprits de la masse, même dans un but " défensif ", me parait difficile si la démarche apparait purement prosélyte à but religieux. D'abord, sans précautions particulières, cela se heurtera au rejet dans des esprits façonnés par plus d'un siècle de laïcité, qui ne verront pas l'objectif de défense de leur monde gravement menacé. Ils n'en retiendront que l'impression de retour en arrière, de retour " de la calotte " et la critique implicite de la république ; ce sera contre-productif. Il faut contourner cet obstacle en insistant sur notre histoire, notre civilisation, notre genre de vie, notre humanisme, et même les " valeurs de la république ", en montrant bien que tout ce qui est essentiel nous vient du Christianisme. Il faut que le lien devienne évident même dans l'esprit de la masse. Je suggèrerais donc de mettre la pédale douce sur le côté religieux et d'insister sur le côté civilisation chrétienne ; qui ramènera sans doute doucement au côté religieux pour certains.
Cette approche n'est pas xénophobe ; elle est évidemment dictée par le souci, d'abord de résister à l'Islam, puis de le rejeter. L'hostilité à l'Islam n'est pas primaire, mais réfléchie, pour les raisons que j'ai exprimées plus haut.
La hiérarchie catholique et son chef seraient-ils des alliés dans cette démarche ou des adversaires ? Avec un pape comme celui que nous avons, la question se pose.
À suivre
(Prochain chapitre : mercredi 17 juin 2020)
Général (2S) Roland Dubois
Copyright obligatoire en cas de citation ou de transmission de cet article, vous pouvez le copier:
Général (2S) Roland Dubois
Retrouver les chapitres précédents en cliquant sur le N° :
Vous avez le droit de nous soutenir en vous abonnant simplement à :
parution chaque samedi
La Semaine du MENSONGE pour 12 € par an. Votre aide nous est précieuse !
Validation sécurisée du formulaire de paiement en cliquant ICI
En cadeau, pour tout abonnement à Semaine du MENSONGE, vous recevrez mon dernier livre en PDF " à travers mes commentaires "(V2)
*****
NB : v érifiez que notre mail n'arrive pas dans vos indésirables...